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On nous martèle souvent qu’être positif peut nous changer la vie, nous apaiser et nous épanouir. Ce que l’on ne nous montre pas assez, c’est comment devenir assez positif pour parvenir à cet épanouissement. La respiration est un moyen souvent méconnu, voire négligé, et pourtant très efficace pour devenir positif. Il suffit de savoir s’y prendre pour accéder à un niveau de vie meilleur…

 

La respiration positive

Pour ceux qui ne la connaissent pas encore, il existe une technique bienfaitrice appelée respiration positive visant l’atteinte de la paix intérieure. Il s’agit d’une combinaison entre respiration profonde ou contrôlée et suggestions positives dont les effets ne sont pas négligeables et qui conduit autant au bien-être qu’au développement personnel.

Prônée par le docteur Jean-Loup Dervaux dans son ouvrage intitulé « Adoptez la respiration positive ! » publié en 2008, la respiration positive permettrait de se défaire des mauvaises habitudes afin de parvenir à la paix intérieure. Elle peut même contribuer à renforcer la santé et à se prémunir contre certaines maladies. Elle permet de transformer positivement l’existence d’une personne, à condition qu’elle s’y prenne comme il faut.

La respiration positive consiste en pratique à se mettre à son aise, dans un endroit bien tranquille, à inspirer puis à expirer profondément et doucement en maintenant les yeux fermés. Pendant ce temps, le pratiquant doit essayer de vider ses pensées pour parvenir à un état de détente. Une fois bien détendu, il ne lui reste plus qu’à énoncer des pensées et suggestions positives à l’attention de son subconscient.

 

Comment utiliser la respiration pour devenir positif ?

Outre la respiration positive, diverses techniques de respiration peuvent aussi vous conduire à devenir plus positif. En sachant utiliser la respiration, vous pourriez vous calmer intérieurement tout en vous ouvrant à un monde positif. Il s’agit, pour cela, de s’adonner à quelques exercices de respiration puisant leur source dans la méditation, la relaxation dynamique ou encore la sophrologie.

 

Quelques exercices de respiration pratiques

femme qui respireLes exercices de respiration suivants vous sont recommandés pour devenir plus positif. Le premier consiste à pomper les épaules en vous mettant debout, les pieds largeur de hanches, le corps volontairement grandi et les épaules bien détendues. Gardez les yeux fermés puis faites travailler votre imagination.

Pensez que vous avez un grand sac à gauche et à droite de vous et transférez dans ces derniers tous vos tracas et votre stress. Déchargez-vous de tout ce qui est négatif dans votre vie dans ces sacs et imaginez-vous en train de les soulever, en maintenant vos poings fermés.

Commencez ensuite à inspirer par le nez et montez vos épaules en direction des oreilles. Retenez votre respiration et montez rapidement vos épaules comme si vous réalisiez un pompage, tout en imaginant secouer les sacs dans vos mains. Lorsque vous ne pourrez plus bloquer votre souffle, respirez en soufflant par la bouche puis relâchez vos épaules. Ramenez vos bras le long de votre corps puis remettez-vous à respirer normalement comme d’habitude. Observez ensuite les sensations que vous a procurées cet exercice et refaites-le autant de fois qu’il le faudra.

Vous pouvez aussi procéder à une respiration carrée ou à une respiration verticale. La première consiste à se mettre debout ou en restant assis. Mettez une main sur votre ventre et l’autre derrière le dos. Inspirez en comptant jusqu’à trois dans votre tête et en constant le gonflage de votre abdomen.

Retenez votre respiration tout en comptant jusqu’à trois puis soufflez par la bouche. Vous verrez la main sur votre ventre se rapprocher de celle derrière le dos. Retenez à nouveau votre respiration en comptant jusqu’à trois et recommencez à inspirer, à retenir l’air dans les poumons et souffler toujours en comptant jusqu’à trois à chaque exercice. Après les avoir répétés, respirez à nouveau normalement et constatez les changements que cet exercice à procurés à votre corps.

Cet exercice de respiration vous apaisera en période de stress ou d’anxiété et vous permettra même de réduire votre tension artérielle. La respiration abdominale apaisante est une autre technique à adopter pour être zen. Pour cela, il vous suffit de vous tenir debout et de placer votre main sur le ventre. Inspirez ensuite en comptant jusqu’à quatre dans vitre tête. Vous sentirez votre abdomen se gonfler. Soufflez en comptant jusqu’à six et refaites l’exercice. Vous verre votre mental plus détendu après.

Pour être serein, créez aussi votre propre bulle de sérénité. Mettez-vous debout, en veillant à la verticalité de votre corps. Inspirez un bon coup et tournez la taille en balançant les bras de chaque côté, tout en retenant l’air dans vos poumons. Continuez ainsi avant d’expirer en soufflant par la bouche et en ramenant vos bras le long du corps. Vous pourrez vous servir de cet exercice pour retrouver votre espace vital.

Enfin, un bon nettoyage énergétique pourra aussi vous aider à chasser le négatif de votre vie. Pour cela, mettez-vous en position debout et inspirez profondément en plaçant vos deux mains sur le front. Pressez légèrement puis expirez par la bouche tout en vous imaginant repousser le négatif dans votre vie, à l’aide de vos mains. Au final, vous aurez les bras tendus devant vous. Maintenant, inspirez puis placer vos mains entre les seins.

Soufflez par la bouche pour nettoyer le négatif, en ouvrant les bras devant vous. Inspirez une fois de plus et mettez vos mains sur le nombril. Soufflez et poussez les mains devant vous tout en tendant vos bras. Inspirez encore une fois et posez vos mains au-dessus du pubis. Soufflez une fois de plus en poussant les mains devant vous, les bras bien tendus.

Grâce à cet exercice de visualisation et de respiration, vous pourrez chasser le négatif et procéder à une purification de votre intérieur en délestant votre corps et votre mental des mauvaises énergies qui les assaillent.

Ces exercices de respiration sont à répéter au quotidien pour devenir positif. Le mieux est de les pratiquer au petit matin, après votre réveil. Cela vous permettra d’accueillir la journée avec un bon moral et de la traverser en étant plus positif.

« Là où ne pas vas le soleil, va le médecin » dit un proverbe Tchèque. Si un sujet d’actualité est trop souvent occulté ou ignoré, c’est bel et bien le manque de lumière naturelle, appelé le TAS par les professionnels de la santé (trouble affectif saisonnier), plus connu sous le nom de dépression saisonnière. A l’instar de l’automne, les journées hivernales sont plus courtes, moins ensoleillées, donc moins lumineuses. D’après les scientifiques qui s’appuient sur les unités de mesure de la luminosité (lux), les jours d’été sont mesurés à environ 100 000 lux alors que les jours d’hiver atteignent péniblement les 2 000 lux. Les experts estiment qu’une belle journée estivale offre de 50 000 à 130 000 lux, une journée hivernale ensoleillée de 2 000 à 20 000 lux, que dans votre maison vous avez entre100 et 500 lux et dans un bureau bien exposé à la lumière naturelle, entre 400 à 1 000 lux. Mais un paradoxe pose des interrogations car les symptômes des troubles affectifs saisonniers peuvent s’aggraver au point de conduire à des idées suicidaires... été comme hiver ! En effet, certaines personnes peuvent être atteintes du TAS en pleine période estivale, en raison d’une trop forte luminosité et/ou de fortes chaleurs, parfois difficiles à supporter, telle la canicule exceptionnelle qui toucha l'Europe en août 2003, faisant 70.000 morts dont plus de 19.000 dans l'Hexagone (chiffres Inserm).

 

Des différences notables

Si l’on se fie aux chiffres et aux recherches des neuroscientifiques, au rayon des différences entre le cerveau masculin et le cerveau féminin, il existe une grande disparité entre les sexes : En effet, entre 70 et 80 % des personnes atteintes par la dépression saisonnière sont des femmes. Autre particularité, les enfants et les adolescents sont rarement concernés par le TAS (2 à 3 % à partir de l'âge de dix ans). D’après les scientifiques, ces chiffres varient suivant les régions du globe, en prenant comme ligne directrice l'équateur. Comme chacun le sait, plus on monte vers l’arctique (pôle nord), plus le nombre de jours et d’heures d’ensoleillement connaît des variations et des fluctuations au cours de l’année. De surcroît, le nombre de gens touchés par le TAS augmente comme le soulignent les chiffres enregistrés en Amérique du Nord (Canada, Alaska...). Environ 18 % de la population est touchée par une dépression saisonnière qui les ampute psychologiquement et physiquement. Lassitude, motivation en berne, fragilité de la psyché, manque d’énergie, impression d’être continuellement à plat... En Europe, 1.3 à 4.6% de la population serait concerné. Au Royaume-Uni, 3 personnes sur 100 souffrent de dépression saisonnière. « Chez les personnes souffrant de dépression classique ou de maladie bipolaire (avec des épisodes dépressifs), la dépression présente une exacerbation saisonnière chez 10 à 15 % des personnes atteintes » (sources passeportsante.net).

 

Les causes et l'évolution de la dépression saisonnière

D’abord, il faut prendre garde à ne pas confondre le TAS avec le blues hivernal (individuel ou collectif) ou les sauts d’humeur, ressentis par une grande majorité d’entre nous à une période précise (hiver). Que dit la science à ce sujet ? Depuis 1984, année de la découverte du lien entre lumière et dépression par le Dr Norman E. Rosenthal (psychiatre et chercheur au National Institute of Mental Health), les recherches continuent car le TAS n’a pas délivré tous ses secrets. Toujours est-il, la durée de la lumière naturelle (soleil) et son intensité variable selon les saisons semblent jouer un rôle majeur. On s‘est aperçu également qu’un « faible taux de sérotonine dans le cerveau pourrait contribuer à la dépression saisonnière ». Il y a donc 35 ans, le Dr Rosenthal a démontré le rôle majeur de la luminosité sur notre horloge biologique interne et notre humeur. Le site « passeportsanté.net » souligne que ce médecin « a constaté que l’exposition à la lumière artificielle à large spectre pouvait profiter aux personnes souffrant de symptômes dépressifs pendant la saison hivernale. La lumière joue un rôle important dans la régulation de l’horloge biologique interne. Celle-ci contrôle plusieurs fonctions du corps suivant des rythmes bien précis, comme les cycles d’éveil et de sommeil et la sécrétion de diverses hormones selon l’heure du jour... Après avoir pénétré dans l’oeil, les rayons lumineux se transforment en signaux électriques qui, une fois envoyés au cerveau, agissent sur les neurotransmetteurs. Un de ceux-ci, la sérotonine, parfois appelée « l’hormone du bonheur », régularise l’humeur et gouverne la production de la mélatonine, une autre hormone responsable des cycles éveil-sommeil. La sécrétion de mélatonine est inhibée durant le jour et stimulée durant la nuit. Les dérèglements hormonaux causés par un manque de lumière peuvent être suffisamment importants pour entraîner des symptômes liés à la dépression. »

 

Les facteurs favorisant le TAS et les symptômes spécifiques

Les facteurs déclencheurs sont multiples. Les personnes à risque ou touchées par la dépression saisonnière (en majorité des femmes), vivent dans un pays connu pour son faible ensoleillement hivernal et travaillent dans des endroits peu riches en luminosité naturelle (voire même l’inverse, à savoir excès de lumière et chaleur intense). Le plus étonnant est que nous pouvons « hériter » du TAS d’un proche de la même famille. Les symptômes connus à ce jour se manifestent en priorité pendant la période hivernale (novembre à janvier) avant de se dissiper avec la venue du printemps ou lors d’un séjour dans un pays ensoleillé. Les principaux signes du TAS sont : l’irritabilité, le manque d’entrain et d’initiative, la somnolence, la fatigue chronique, une humeur maussade, les agents stressants négatifs qui engendrent des réflexes incontrôlés et des comportements irrationnelles (nourriture, alcool...), la perte de la concentration, le besoin de sommeil, la recherche de la solitude, la baisse d’intensité professionnel, un sentiment de désespoir, la perte d’intérêt en général, l’évitement des situations sociales, la baisse de la libido... Pire, des idées suicidaires peuvent traverser l’esprit des personnes atteintes du TAS. C’est ce qu’on appelle le paradoxe scandinave : Les pays où les gens sont les plus heureux sont connus également pour leur taux de suicide très élevé, tels la Norvège, qui selon une étude de l'ONU est le pays le plus heureux du monde, la Finlande avec 28,9 %, le Danemark avec 16% alors qu’on enregistre 2,5 % au Koweit et 0,3% en Iran. Comme quoi le proverbe Danois « On se tourne plus volontiers du côté du soleil levant que du soleil couchant » est plein de bon sens.

 

Quels sont les traitements ?

Le mois prochain, nous aborderons les traitements, les exercices physiques conseillés, les mesures préventives de base, la luminothérapie, les bains de lumière naturelle, la climatisation, les voyages dans des régions ensoleillées... capables d’enrayer et soulager les personnes touchées par le TAS, connu également sous le nom de “dépression hivernale récurrente”. Tous les dictons du monde en lien avec le roi soleil renferment toujours une once de vérité, tel ce proverbe provençal « Une heure de bon soleil sèche beaucoup de lessives ». A suivre...

 

 

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« La plupart des hommes, pour arriver à leurs fins, sont plus capables d’un grand effort
Que d’une longue persévérance. » (Jean de La Bruyère, Caractères).

 

« Fait nuit », « Fait trop chaud », « Suis fatigué », « Pas envie », « J’irai la prochaine fois », « Fait trop froid », « Il pleut », « Mal foutu », « Pas le temps »... Qui n’a jamais utilisé ces « excuses préfabriquées » pour ne pas aller à l’entraînement, éviter une séance de méditation ou écouter de la musique thérapeutique ? Sénèque disait à juste titre « Si tu n’as pas de but et toujours le même but, tu n’auras jamais le bon vent... ». Certes, l’entité la plus complexe de l’univers (notre cerveau), prend souvent des décisions à l’insu de notre plein gré. Mais alors comment progresser sans motivation quand on sait que patience, confiance, motivation et courage figurent parmi les qualités requises sur la voie de la persévérance ? Il faut savoir qu’« une foule de facteurs entre en jeu dans la formation des réseaux neuronaux qui portent notre mémoire, donc notre conscience et notre identité : les 3 créateurs incontournables sont l’imitation, l’émotion et la répétition » dixit Van EERSEL (rédacteur en chef du magazine CLES).

 

Une grande majorité d’entre nous pointe du doigt notre société en profonde mutation pour expliquer le phénomène de l’absentéisme et le manque de motivation. Mais est-ce vraiment un problème générationnel ? Certes le monde a changé, les mentalités également. Jadis, la notion du respect envers son professeur et ses camarades n’avait pas la même tonalité. On nous enseignait que le respect des autres commençait par le respect de soi-même. Qu’en est-il aujourd’hui dans un monde dans lequel l’omniprésence des pollutions attentionnelles, magistralement orchestrées par des experts en « neuro-marketing », facilitent le lâcher prise ? La technologie (internet, réseaux sociaux, presse...) et les choix multiples qui nous sollicitent en permanence nous confrontent au paradoxe de l’âne de Buridan, légende selon laquelle un âne est mort de faim et de soif entre son picotin d'avoine et son seau d'eau, faute de choisir par quoi commencer. « Dans la théorie de ce conte, il existe une concurrence des contraintes (faim et soif) mais ces contraintes sont asymétriques et cette asymétrie entraîne par conséquent une hiérarchisation des contraintes ». Alors comment renforcer sa volonté et sa motivation pour aller au sport, suivre un régime, s’arrêter de fumer, méditer, se relaxer ou écouter des sons isochrones par exemple... ?

 

D’abord, gardez toujours en tête qu’on ne sait que ce que l’on pratique. Une véritable séance (quelle que soit la discipline choisie) doit atteindre puis enlever (une à une) les couches des blocages, jusqu’à retrouver le sens d’un mouvement naturel, afin que l’esprit et le conscient puissent rester calme, libre et serein. C’est la « pédagogie dite de l’oignon ». Elle permet de juger l’aptitude et l’ambidextrie dans le présent et l’espace, de révéler sa propre personnalité, parfois même de déclencher l’éveil à travers un mouvement, la méditation ou la respiration volontaire. L’épluchage couche par couche permet également d’accéder à nos couches émotionnelles passées et aux MOI (basique, conscient et supérieur). Ce mode opératoire pédagogique parfois déroutant s’adresse à celles et ceux qui veulent atteindre leur propre épanouissement. La majorité des Français(e)s encore imprégné(e)s d’un cartésianisme à tous les étages, n’est pas forcément au diapason avec cette forme de discipline ou de philosophie. Pourtant, il faut bien comprendre qu’en restant ancré dans une pensée rationaliste, l’élève se concentre sur le mouvement et nullement sur le dynamisme de l’utilisation du corps (biomécanique) et l’intuition (psyché). Nous vivons dans un monde de marchands d’illusions dans lequel le PARAITRE prime sur le verbe ETRE. Prenons un exemple propre aux adeptes des arts martiaux (Japonais, Chinois, Coréens...). Nombreux sont ceux qui pratiquent la musculation afin d’obtenir (dans le temps) un coup de poing plus puissant, alors que la vitesse est plus importante que la masse (E= ½ MV2). Or, la vitesse nait de la relaxation du corps et de l’énergie accumulée à travers le Tai chi chuan, le yoga, le Qigong, bien aidés par une musique douce en adéquation avec la discipline. Pas convaincu ? Le meilleur exemple reste le fouet, qui d’un simple mouvement de la hanche dépasse la vitesse du son (340 m/s = 1225 km/h à 15 °C). A-t-on besoin de la musculation pour dépasser mach 1 ?

 

A travers le lâcher prise, on accuse les autres de ses propres fautes.

Confucius disait que « l’archer a un point commun avec le sage : quand sa flèche n’atteint pas sa cible, il en cherche la cause lui-même ». Alors si vous n’êtes pas ou plus motivé(e) pour vous entrainer (qu’importe la discipline choisie), ne cachez pas votre manque de sincérité dans de fausses vérités en guise d’excuses car la liberté intérieure ne peut s’acquérir à travers des mensonges. De nombreuses personnes s’emmurent dans leurs propres illusions afin de satisfaire leur « liberté extérieure ». Pire, certains ont fini par croire leurs mensonges en ne distinguant plus le vrai du faux. Or, « Un homme qui n’est pas fidèle à lui-même devient un mensonge à deux jambes » dixit Rushdie. Mais quand faut-il cesser d’insister et quand faut-il encore persévérer ? Pour poursuivre sur la voie de la persévérance, il faut être avant tout sincère avec soi-même, sinon à travers le refus de l’effort, la désillusion vous tendra les bras. Les neurosciences ont prouvé que « lorsque vous choisissez une activité qui vous plait, vous établissez une connexion émotionnelle positive. Ainsi, vous avez davantage tendance à respecter votre routine d'exercices. Trouvez un moyen de créer un lien émotionnel positif avec vos séances et vous aurez toutes les chances de rester motivé à vous entrainer encore et encore... » dixit Karine Aubry (coach certifiée et accréditée EMCC). Quelle que soit votre discipline choisie (sportive, spirituelle, méditative...), posez-vous les bonnes questions pour obtenir les bonnes réponses. Toute vraie transmission comporte deux parties : la première enseigne ce qui doit être fait, la seconde enseigne comment faire ce qu’enseigne la première. Alors vais-je m’entrainer ou non ? « En de multiples situations personnelles et professionnelles, cette question se présente à nous quand le résultat de notre action se fait attendre, quand l’effet semble nul ».

 

Persévérer ou lâcher prise : Comment être sûr que l’on ne persévère pas pour rien ou dans une mauvaise voie ?

Karine AUBRY nous rappelle l’histoire de Thomas EDISON. « Pour réaliser son idée d’ampoule à filament – qui éclaire le monde depuis 1878 – EDISON a envoyé ses équipes chercher la matière idéale partout autour du globe ; ils ont rapporté plus de 6 000 substances végétales à partir desquelles Edison a fait 1200 tentatives… jusqu’à réussir avec un filament de coton carbonisé ». Sa conclusion est célèbre : « Je n’ai pas échoué. J’ai simplement trouvé 10.000 solutions qui ne fonctionnent pas. » En sport, cette vision de l’effort prolongé nous offre aussi de beaux exemples de persévérance. Donc « Il faut distinguer la ténacité de l’obstination : savoir insister et persévérer au bon moment, savoir aussi se retirer et renoncer quand il le faut. » (Shafique KESHAVJEE, extrait de « Le roi, le sage et le bouffon »). « C’est bien joli tout cela me direz-vous, mais comment me motiver pour pratiquer ou continuer à pratiquer la méditation, le Qigong ou le Yoga, écouter des sons ou de la musique pour me relaxer... ?

 

Lorsqu’on tombe, ce n’est pas la faute de notre pied. Plutôt que de maudire l’obscurité, allumez plutôt un bout de chandelle en établissant un objectif facile. Mettez votre plan par écrit, prenez votre entourage à témoin. Pour nourrir votre motivation, gardez bien en tête vos objectifs, faites une mise au point personnelle à travers votre propre analyse de votre manque de volonté, faites un bilan régulier de vos progrès. Partagez vos objectifs avec les autres en vous souvenant que l’entretien de vos acquis va de pair avec la régularité. Même si en occident, on ne s’entraîne pas autant qu’en orient, la progression passe par la régularité et l’assiduité : “Pareil à l’eau en ébullition, un art martial externe ou interne perd son ardeur, s’il n’est pas entretenu par une flamme” dixit l’un des 20 préceptes du karate-Do. Les motivations s’articulent également autour d’une recherche d’une maîtrise de soi, de la voie de l’accomplissement, d’un bien-être, d’un anti-stress ou d’une meilleure santé. Efforcez-vous de ne jamais sauter un entrainement d’une journée qui se termine par la lettre « i ». Chaque jour, vous avez un rendez-vous avec vous-même, car vous seul(e) êtes l’obstacle à votre réussite. Il n’existe aucun ascenseur pour vous emmener au dernier étage de votre objectif. Pour parvenir à celui-ci, vous devez monter les étages marche par marche, sans vous limiter à vos défis. Défiez plutôt vos limites car vous êtes votre propre et seule limite.

 

La capacité de faire face à nos défaites sans abandonner, réside dans le refus de nous chercher des excuses, meilleur moyen de trouver des résultats. Le chemin est long, souvent singulier, parsemé d’écueils. 1000 km commencent par un pas et chaque pas, fut-il quotidien, mène à de grands changements. Négligez ce grand principe et votre objectif sans plan demeura simplement un souhait. Vos excuses sont les ennemis de votre condition physique et psychologique. Ne laissez pas votre esprit défaitiste ruiner vos efforts même « si vous arrivez le dernier, car même en fin de peloton, vous serez toujours premier devant tous ceux qui n’ont pas couru ». A vous de choisir, la voie de l’accomplissement ou la voie de garage avec au bout du chemin, le sempiternel « Si j’avais su... » et sa cohorte de regrets. Persévérer et faire preuve de motivation est pour vous un rêve ? Alors comme le souligne le Sage : « Un rêve est presque un chuchotement. N’ayez pas peur de faire le silence autour de vous pour pouvoir l’écouter ». Votre futur dépend de ce que vous faites au présent.

 

 

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La musique a un grand pouvoir de guérison. Il est possible de modifier une situation en se servant du subconscient et du cerveau musical. Charles Baudouin possède une technique que l’on peut découvrir dans l’ouvrage intitulé « La puissance de votre subconscient » écrit par le Dr Joseph Murphy.

 

La technique de Charles Baudoin

Charles Baudoin était psychothérapeute, psychanalyste et directeur des recherches à la Nouvelle Ecole de Nancy. Il a mis au point une technique qui permet d’imprégner le subconscient d’une situation précise. Selon cette dernière, il faut penser à entrer sans faire d’effort dans un état de somnolence et transmettre son idée lorsqu’on s’y trouve, pour nourrir notre cerveau au mieux.

Charles Baudoin se sert de la puissance du subconscient et de la musique dans sa méthode. Elle repose sur l’explication suivante qu’il a livrée :

« Un moyen très simple de parvenir à l’imprégnation du subconscient est de condenser l’idée qui doit être l’objet de la suggestion, de la résumer en une courte phrase qui peut être facilement gravée dans la mémoire, et de la répéter à maintes reprises comme une berceuse ».Il impute ainsi un certain pouvoir au subconscient et que nous allons découvrir de suite.

charles baudoin

Le rôle du subconscient

Nous sommes généralement à 10% conscients de ce que nous disons ou pensons et à 90 % inconscients de ces faits. On parle et agit donc majoritairement de manière inconsciente, presque automatique, en journée. Et pourtant, la conscience est importante car elle permet de provoquer ce que l’on souhaite.

Nous avons besoin de notre subconscient pour cela. Il s’agit de la partie de notre mental qui peut influencer notre manière d’agir. C’est lui qui peut provoquer nos souhaits, en donnant les résultats que nous lui transmettons. Il est capable d’enregistrer dix milles messages par jour chez une personne active vivant dans une grande ville. Il stocke tout ce que nous avons vu, entendu ou perçu depuis notre conception.

Il faut ainsi penser à faire bien attention à tout ce que l’on fait entrer dans notre subconscient. Le subconscient est à notre service mais ne sait toutefois pas ce qui est bien ni ce qui est mal. Ainsi, il faut lui soumettre très précisément nos demandes car il agit comme un robot et ne donne que ce qu’on lui demande, sans penser à une éventuelle erreur de notre part ni à une rectification. Le subconscient est ainsi incapable de raisonner.

Il ne fait que suivre fidèlement les ordres de nos pensées et travaille toujours sur le dernier message que nous lui donnons. Il requiert donc une grande précision et de la positivité de notre part.

 

Le subconscient et son pouvoir

Le subconscient est fort, puissant. Son pouvoir peut être maîtrisé via une grande lucidité vis-à-vis de nos pensées. Si vous développez des peurs ou des mauvaises pensées à l’égard d’endroits ou de votre propre personne, vous pouvez être sûr que votre subconscient les enregistrera et les représentera une nouvelle fois. Vous devez donc vous concentrer pour utiliser son plein potentiel. Comment parvenir à maîtriser le subconscient ?

 

La maîtrise du subconscient passe par quelques techniques

Pour maîtriser votre subconscient, évitez de vous laisser influencer par l’opinion des autres. En effet, le fait de changer la direction de votre désir pourrait vous coûter très cher. Pour que le subconscient travaille comme on le souhaite, il faut apprendre à lui donner un autre et le laisser nous guider. Si vous envoyez le même message à votre subconscient, vous pourriez provoquer la réalisation de certaines situations ou d’événements qui contribueront à concrétiser vos souhaits.

Cela fait du subconscient un allié de taille ! Pour qu’il devienne plus efficace, servez-vous d’images et de visualisations en tous genres au quotidien.

Pensez aux bonnes actions à entreprendre et visualisez leurs résultats. Et surtout, ne doutez plus. Faites plutôt confiance à votre subconscient et laissez-le faire son travail. Le subconscient attend de vous que vous lui commandiez le produit fini sans lui faire part de détails en chemin. Demandez donc ce que vous voulez et non la manière dont vous le voulez. Lorsque vous parlez à votre subconscient, n’utilisez que le présent ou ce qui a été accompli car c’est uniquement ce qu’il peut comprendre.

 

Musique et subconscient

Comme nous l’avons dit, la musique a un grand pouvoir et le subconscient est puissant. Ensemble, ils forment un duo invincible. La musique et les sons ont un pouvoir d’une importance capitale que la science et la médecine veulent connaître. La musique est capable d’agir sur nos émotions ou notre état intérieur.

Elle peut même influencer notre imagination. Elle est puissante car elle peut influencer nos trois corps physique, émotionnel et mental à la fois. Le cerveau produit une véritable symphonie neuronale quand on écoute de la musique. Tout notre cerveau est influencé par les sons de la musique. Le cerveau les écoute et les gère.

Le pouvoir de la musique est presque indéfinissable. Elle agit sur l’inconscient, en dehors de notre volonté, et entre en relation avec toutes les fonctions cognitives de notre corps. Il existe des musiques capables de raviver nos souvenirs, de rendre les schémas négatifs plus positifs ou d’éliminer les souffrances qui ont traumatisé notre âme.

 

Comment la musique agit sur le subconscient et peut guérir

Charles Baudoin a une technique de guérison reposant sur la musique. Il s’agit de chanter une phrase de manière répétitive, à l’image d’une berceuse, pour que le subconscient intègre mieux. Dans ce sens, la répétition représente un outil d’intégration mentale, le chant un outil d’intégration émotionnel et la berceuse un univers rassurant et accompagnant.

Elle conduit au lâcher prise et permet de se libérer de nombreuses peurs, doutes, souffrances… Elle apaise, et combinée aux autres effets de la musique, elle pourrait conduire une guérison à celui qui suit bien la technique de Charles Baudoin. Maintenant que vous savez comment vous pouvez utiliser votre subconscient ainsi que la musique pour vous soigner, qu’attendez-vous pour passer à l’action et changer de vie ?

La confiance en soi est très subjective. D’un côté, certaines personnes semblent avoir entièrement confiance en elles jusqu’à virer au narcissisme. D’un autre côté, on rencontre des individus qui ne croient en rien de ce qu’ils font. Et si l’on vous disait qu’ils pourraient restaurer leur confiance en soi via le mouvement et le son ?

 

Confiance en soi : ce que c’est vraiment et son importance

Avoir confiance, se faire confiance et être confiant sont trois concepts différents. Les deux premiers dépendent des résultats que l’on obtient suite à nos comportements. Le fait de se faire confiance ou d’avoir confiance en soi trahit un jugement et une valorisation de soi sur la base des résultats que l’on obtient. Une telle personne fait toujours son possible pour garder ou faire évoluer sa confiance en elle-même. Cela la conduit à douter d’elle-même et l’oblige à toujours se prouver ou aux autres qu’elle est extraordinaire.

confiance par le son

Une soif de reconnaissance destructrice. La vraie confiance en soi est bien plus profonde que ce fait. Elle se trouve au niveau de l’Etre et représente une attitude et un état intérieurs. Quand une personne se dit confiante, elle expérimente des situations qu’elle pense nécessaires à son épanouissement. Elle ne se juge pas et se montre plus courageuse. Elle ose revivre les expériences antérieures qui n’ont pourtant pas abouti à ce qu’elle désirait.

Au final, être confiant signifie utiliser ce que l’on vit, ce qui nous arrive pour apprendre, aller plus loin et continuer à évoluer. Il faut apprendre à avoir confiance en soi en stimulant notre conscience, puis en validant et en passant à l’occasion. En même temps, il faut penser à reconnaître ses qualités, ses défauts et ses compétences et les accepter. On ne peut pas bien entendre, s’exprimer ou être lucide lorsqu’on n’a pas assez confiance en soi.

Etre confiant nous aide à nous focaliser sur notre chemin, nos objectifs ainsi que sur le moment présent. Cela permet de maintenir notre autonomie et notre liberté tout en nous aidant à communiquer avec les autres. Bref, nous reprenons les rênes de notre vie en étant confiants et en prenons également l’entière responsabilité.

 

Le son de la pensée positive permet de retrouver la confiance : l’exemple de Bernard

On peut voir l’effet positif du son sur la confiance à travers le livre de Don Campbell intitulé « L’Effet Mozart, les bienfaits de la musique sur le corps et l’esprit. » A la page 28 de cet ouvrage, l’auteur raconte l’histoire d’une personne souffrant d’anxiété et de dépression chronique malgré une vie qualifiée de « normale ». L’histoire est celle d’un homme d’affaires âgé de 47 ans prénommé Bernard. Il est heureux autant dans son couple qu’en ménage mais n’était pas épargné par l’anxiété et la dépression. Il a lu de nombreux livres sur la pensée positive et essayé en vain de se soigner avec des affirmations positives et des stratégies de motivation. De plus, il gérait une société qui évoluait énormément, une progression qui le rendait de plus en plus abattu.

Bernard a entendu une interview de l’auteur Don Campbell à la radio en rentrant du travail. Dans cette interview, l’auteur expliquait l’usage des sons avec succès pour traiter des difficultés d’apprentissage et de la dépression. De plus, il précisait que l’on peut apprendre à utiliser sa propre voix pour mieux fonctionner autant à la maison qu’au travail. Après avoir entendu ces explications, Bernard a acheté un des livres de Don Campbell ainsi que des cassettes. Il n’a pourtant pas réussi à faire du toning ou à fredonner suivant les besoins du traitement. Six mois après, Bernard n’a toujours pas trouvé de solution à ses maux mais il est tombé sur une cassette dans laquelle il a entendu le commentateur Art Ulene expliquer à la télévision comment on pouvait combattre la dépression.

Dans son interview, Art Ulene a expliqué comment la musique pouvait influencer la dépression : en bougeant. Le commentateur conseille l’action et d’attendre que le bien-être suive naturellement. L’exercice physique favorise la production d’endorphines dans le cerveau. Il s’agit des hormones responsables de la sensation d’euphorie et capables de soulager la douleur. Il suffit de marcher sur place en balançant les bras et en travaillant sa sève créative pendant une vingtaine de minutes en écoutant la musique de John Philip Sousa.

musique relaxanteEn entendant ces conseils, Bernard s’est exécuté et s’est entraîné sur un appareil Nordic Track en repos depuis un an pour s’entraîner tout en écoutant une musique militaire. La cadence de celle-ci était rythmée au point de ne pas convenir à Bernard qui n’était pas au mieux de sa forme sur le plan physique. Au troisième jour d’entraînement, l’homme d’affaires a décidé de mettre une cassette New Age qui ralentissait sa cadence et lui semblait plus apaisante. En entendant la chanson, il s’est mis à fredonner tout doucement. Cinq minutes après, il s’est rendu compte que son corps en entier commençait à se détendre.

A ce moment-là, Bernard s’est souvenu de l’ouvrage titré The Roar of Silence écrit par Don Campbell. Il a aussi pris du plaisir à chanter et à s’entraîner à la fois. Il se détournait de la pensée envers les efforts qu’il devait fournir en fredonnant. En racontant son histoire à l’auteur, il avait expliqué : « J’avais glissé dans l’état d’euphorie du coureur sans l’extrême épuisement qui accompagne généralement cet état. A la fin de ma séance d’exercice, je flottais sur un nuage et, ce qui est étonnant, cette sensation était toujours présente trois heures plus tard » L’homme d’affaires reprend son expérience deux jours plus tard, en écoutant de la musique militaire tout en fredonnant doucement sur un air proche d’une berceuse pendant une dizaine de minutes.

Il était heureux de voir les mêmes résultats que ceux obtenus deux jours auparavant. Il se souffla et repris ses exercices après trois jours. Cette expérimentation lui a permis de se rendre compte qu’il avait le pouvoir de modifier la chimie de son cerveau. Il pouvait « relâcher la frustration accumulée sans l’intellectualiser ». Plus il s’entraînait tout en fredonnant, plus il ressentait moins de peur obsessive. Au final, il a fini par troquer sa peur contre une journée des plus optimistes. Bernard a ainsi retrouvé sa confiance en soi grâce à la musique. On constate ainsi qu’elle lui a procuré un nouvel épanouissement.

 

D’autres moyens pour développer sa confiance en soi

La confiance en soi nous permet de maîtriser chaque domaine de notre vie. En plus de la musique, d’autres méthodes permettent de la développer et de la maintenir. A titre d’exemple, démarrez votre journée en vous demandant ce que vous voulez faire aujourd’hui juste après votre réveil. Demandez-vous d’abord ce que vous voulez être et comment vous voulez vous sentir durant la journée puis ce que vous pourriez faire pour y parvenir.

Vous pouvez aussi commencer par visualiser votre objectif et prendre du temps pour le vivre en vous, comme si vous l’aviez déjà atteint. Cette méthode vous donnera l’énergie nécessaire pour agir dans la joie et le plaisir. Pour devenir plus confiant, n’hésitez pas à rester humble et à solliciter l’aide dont vous pourriez avoir besoin pour réaliser vos tâches difficiles.

Acceptez le fait que vous ne puissiez pas y parvenir seul. Restez aussi fixé sur votre objectif, rappelez-vous la personne que vous voulez être et faites en sorte de le devenir. Pour cela, n’hésitez pas à afficher des citations, des images de ce que vous souhaitez pour que votre mental s’en imprègne. Et parce que chacun de nous est exceptionnel, dressez une liste de vos qualités, capacités et talents et utilisez-les le plus possible. Dans cette lignée, n’oubliez pas de vous féliciter, de vous rappeler à quel point vous êtes fière de votre personne. Rappelez-vous ces instants durant lesquels vous avez eu le plus confiance en vous et le chemin que vous avez parcouru tout en ayant confiance en vous.

La méthode Hipérion suit celles de Tomatis et de Bérard. Elle consiste en une musicothérapie réceptive basée sur l’écoute de la musique. De quoi s’agit-il ? Quels en sont les bienfaits et dans quelle mesure cette méthode s’avère-t-elle efficace ?

 

Ce que signifie la méthode Hipérion

La méthode Hiérion représente une stimulation psychosensorielle qui rééduque l’écoute à travers des musiques retraitées pour corriger ses possibles distorsions. Elle vise ainsi une restauration de l’écoute. Elle rappelle l’importance de l’audition sur laquelle repose de nombreuses fonctions supérieures telles que l’attention, la concentration, le langage, la lecture et le chant. Le cerveau est sensible au son qui représente un véritable phénomène interactif de notre corps.

Comment fonctionne la méthode Hipérion ?

La méthode Hipérion est un traitement basé sur un « bilan d’écoute », un test en cinq épreuves très spécifiques. Il se sert de l’oreille pour informer sur l’état psychoaffectif d’un patient. Ce bilan représente une méthode d’évaluation puissante permettant de favoriser le bon déroulement du traitement. Il montre la grande sensibilité de chacun d’entre nous à certaines fréquences musicales tandis que d’autres nous procurent moins de sensations.

Ce test révèle aussi que certaines personnes n’entendent pas les nuances des tonalités existant entre les différents sons. Il existe aussi des individus à l’équilibre auditif orienté à droite et d’autres à gauche. On note enfin que certains supportent et apprécient même la musique hard et les bruits tandis que d’autres ne les supportent as alors qu’ils ont une bonne écoute.

Le rôle de l’organisme dans la méthode Hipérion

Notre corps réceptionne les infirmations sensorielles. Il les traite, les filtre, les modifie et peut refléter son état psychosomatique dans différentes parties de l’organisme, y compris dans l’oreille. L’organe de l’ouïe nous informe, les fréquences auditives représentant des dynamiques psychiques et comportementales précises ainsi qu’à des endroits du corps, les plus graves correspondant aux pieds et les moins graves à la tête.

 

Dans ce contexte, l’oreille représente un portail qui permet d’accéder au plus profond de notre être. Un traitement personnalisé est proposé en cas de déformations de l’écoute identifiées via les donnes du bilan d’écoute. Il s’agira de séances d’écoute au casque de musiques retraitées visant la restauration de l’écoute. Ce traitement a des effets bénéfiques. Il pourvoit à la libération de différentes zones d’angoisses, fait disparaître les douleurs. A l’issue, le corps se retrouve détendu et la personne retrouve son énergie.

Ce traitement défait ses entraves et réussit à résoudre des problèmes psychiques de type dyslexie, angoisse, dépression… tout en soulageant différentes douleurs ou gênes de tension. La méthode Hipérion permet aussi une amélioration des capacités à apprendre, à mémoriser, à se concentrer et à faire preuve de créativité. Elle peut devenir un outil psychopédagogique des plus efficaces pour tout le monde et aider dans l’apprentissage de langues étrangères toutes tranches d’âge confondues.

Cet article traite de l’épigénétique, la révolution biologique du siècle, et du solfège sacré, une gamme faite de neuf fréquences aux vertus presque miraculeuses. Toutes deux se complètent et œuvrent ensemble pour le bien du corps et de l’esprit.

 

La révolution biologique que représente l’épigénétique

L’épigénétique est la branche de la biologie consacrée à l’étude de la modulation de l’expression des gènes humains sur la base de leurs comportements. Elle permet de voir et surtout de penser les choses différemment. Elle est considérée comme la révolution de la biologie des cinq dernières années.

Le conférencier, scientifique et écrivain Joel de Rosnay a réalisé une vidéo dans laquelle il aborde l’épigénétique. Il y explique que « le programme de la vie ne code que 15 % des machines outils qui font fonctionner la cellule vivante. » Les 85% restants, appartenant à l’ADN, servent à réguler le fonctionnement des gènes à partir du comportement que nous affichons dans notre vie de tous les jours.

La nourriture que l’on mange, l’activité physique, la manière dont nous gérons notre stress ou dont nous ressentons du plaisir dans nos actions font partie de nos comportements quotidiens. Dans sa vidéo, Joel de Rosnay explique que chacun de nous est capable d’agir en vue de l’amélioration de sa santé et devenir acteur et responsable de sa propre vie.

Dans ce sens, Joel de Rosnay a écrit plusieurs ouvrages traitant de la vie de tous les jours dont La Malbouffe : comment se nourrir pour mieux vivre, (Éditions Olivier Orban, 1979), La Plus Belle Histoire du monde – Les Secrets de nos origines Éditions du Seuil, 1996) et Une vie en plus – la longévité pourquoi faire ? (Éditions du Seuil, 2005).

 

La théorie de Deepak Chopra

Ce médecin endocrinologue, conférencier et homme éclairé indien a écrit plusieurs livres parlant de spiritualité et de médecine alternative. Il avance que le corps et le cerveau ne sont pas des structures, mais plutôt des processus. Dans sa conférence, Deepak Chopra explique que « Les gènes ne sont pas déterministes… » Il postule aussi que les composants de la nature sont parfaits : « Les fleurs ne peuvent pas décevoir les insectes qui se nourrissent de pollen, elles envoient un signal mesurable qui les informent si elles ont du pollen ou pas…. » Deepak Chopra a aussi de nombreux livres sur le sujet et sur d’autres sujets dot Le Chemin vers l’Amour, Vivre la Santé : Comment la pensée guérit….

 

La relation entre épigénétique, la musique pour bien-être et le solfège sacré

L’épigénétique  montre que nous avons des gènes inhibés, d’autres silencieux et d’autres qui s’expriment. Il existe cinq points du comportement dont nous faisons preuve au quotidien et qui doivent être travaillés pour parvenir à un mieux-être. Ces points sont liés les uns aux autres et impactent sur les comportements voisins.

Au final, chacun de nous a la responsabilité de ses comportements. Ils sont capables d’impacter sur notre santé. Nous avons ainsi de l’emprise sur nos comportements et pourront tenter de rester en meilleure santé ou de vieillir moins rapidement.  A titre d’exemple de comportements interdépendants, on retrouve une meilleure activité physique qui permet d’avoir plus de plaisir dans ce que l’on veut et d’améliorer nos relations avec les autres.

 

L’influence de la musique

Elle impacte sur le stress et les comportements de bien des façons, à travers son rythme, son harmonie, sa mélodie, ses fréquences. Ces derniers sont capables de générer des émotions diverses en chacun d’entre nous, allant de la joie à la sérénité, l’apaisement ou la détente. Ils peuvent même favoriser la confiance en soi ou pas.

La cymatique ajoute des précisions à ces faits en prouvant que chaque fréquence peut influencer sur la matière et que chacune d’elles a sa propre influence. En harmonisant les vibrations à travers la musique, le son et les fréquences, on réussit à restaurer l’équilibre énergétique, physique et psycho-émotionnel en nous.

La résonance physique, émotionnelle ou mentale diffère d’une fréquence à une autre. L’effet de résonance permet d’équilibrer ces plans via la répétition d’une fréquence. Ce processus tout à fait normal repose sur les lois de synchronisation, de résonance, de proximité et répétition…

 

Le solfège sacré

Le solfège sacré existe depuis plus d’un millénaire. Il désigne une gamme de musique faite de neuf fréquences hertziennes dont 174, 285, 396, 417, 528, 639, 741, 852 et 963 Hz. Ces fréquences ou diapason sont capables de guérir de nombreux maux. La fréquence 528 Hz, qui se trouve au milieu de la gamme, est la « fréquence de l’Amour ». Elle est également surnommée « fréquence miracle » grâce à sa faculté à activer la transformation de l’ADN tout en favorisant sa restauration.  

En réparant l’ADN, ce diapason et l’ensemble de la musique ont une influence sur la partie des 85% de nos gènes qui intéressent tant l’épigénétique. L’expression de certains gènes se trouve modifiée au quotidien, le fait d’écouter cette fréquence contribuant à une modification de nos comportements.

Les pouvoirs du diapason 528 Hz et de la musique ne sont pas négligeables. Notre ADN peut se retrouver endommagé par certaines expériences de vie que nous avons vécues. Pour survivre, aller de l’avant et aller bien, il faut écouter de la musique et cette fréquence. Elles sont capables de hausser notre vitalité et éveillent notre conscience. Elles éveillent notre esprit créatif et nous reconnecte avec la joue de vivre ainsi que la paix intérieure. Combinées à un massage sonore, elles sont tout simplement bénéfiques pour notre corps et notre esprit.

 

En fin de compte, nous détenons la clé pour nous améliorer et améliorer nos vies : la musique et la fréquence 528 Hz. Elles sont aptes à nous faire retrouver notre bonheur et notre envie de vivre, surtout en période difficile. Toutefois, elles peuvent ne pas être suffisantes dans certains cas. Ainsi, il ne faut pas miser entièrement sur l’équilibre vibratoire obtenu à partir des sons et de la musique. Consulter un médecin pour soigner sa maladie est également nécessaire !

L’eau, les ondes ainsi que la musique sont capable d’influencer l’eau et de soigner. L’eau peut enregistrer les vibrations et peut ainsi traiter le corps et l’esprit. Zoom sur un phénomène difficile à expliquer et pourtant compréhensible. Ces témoignages vous permettront de parvenir à cette compréhension.

 

Le documentaire intitulé « On a retrouvé la mémoire de l’eau » du Professeur Luc Montagnier sorti en 2013

L’on doit la citation « Le jour où on admet que les ondes peuvent agir, on peut agir par les ondes, et à ce moment là on peut traiter par les ondes ». Ce professeur qui a découvert le VIH Sida et reçu un prix Nobel de médecine pour cela, s’est inspiré des travaux de recherches de Benveniste. Il a identifié des ondes électromagnétiques en faisant une première expérience sur le plasma sanguin de patients infectés par le VIH.

Le Pr. Luc Montagnier, en reprenant les travaux de Benveniste, a montré que l’eau peut scientifiquement garder, véhiculer puis retransmettre des données, vibrations et éléments qui la traversent ou qui s’approchent d’elle. L’eau ressemble donc à une bande magnétique, elle possède une mémoire. Elle est capable de stocker en mémoire les propriétés des molécules qui sont entrées en contact avec elle, bien qu’elles n’y soient plus. Tous les détails de son expérimentation sont disponibles dans ce documentaire d’une durée de 52 minutes réalisé par Christian Manil et Laurent Lichtenstein, en collaboration avec France Télévisions.

 

Un extrait de conférence de Didier Rauzy

Didier Rauzy disait : « Un jour notre médecine sera uniquement fréquentielle, ou sonore, ou lumineuse ». Ce bio-énergéticien qui est aussi guérisseurs celte et formateur en thérapie des signatures fréquentielles parle des ondes et de leurs bienfaits dans l’extrait de l’une de ses conférences. Il avance que’« au niveau de l’infiniment petit, au niveau nanométrique, le son et les fréquences sont plus puissantes que la chimie la plus puissante qui soit ».

 

La conférence « Quelle eau boire ? » du Professeur Marc Henry

La conférence du Pr. Marc Henry se base sur l’eau que nous buvons. Il y parle aussi des moyens par lesquels on peut dynamiser l’eau et la faire réagir, à l’instar de la tension électrique, du vortex, de la lumière, des sons et ondes subtiles. La science montre que l’eau entend et enregistre les fréquences électromagnétiques ELF et infrarouge.

L’ensemble de ces travaux met en évidence la capacité de réception, d’écoute, d’enregistrement et de retransmission des fréquences électromagnétiques que l’on retrouve dans l’eau. Une eau qui compose 99% du corps humain sur le plan cellulaire. L’eau est capable de stocker les mémoires fréquentielles des molécules qui entrent en contact avec elle, bien qu’elles ne s’y trouvent plus. L’eau est capable d’exprimer à l’aide de fréquence ce qui est entré en contact avec elle. Elle possède une mémoire bien active.

Enfin, ces travaux ont aussi prouvé une dynamisation de l’eau par le biais des sons. Ces sons peuvent influencer l’eau comme c’est le cas dans les traitements et voyages sonores. Ainsi, les ondes ou sons sont capables de traiter et soigner différents maux du corps.

La musique a un pouvoir insoupçonné. Les fréquences sacrées ou solfège sacré forment une gamme précise dans laquelle on retrouve neuf fréquences dont 174, 285, 396, 417, 528, 639, 741, 852 et 963 Hz. Elles sont connues pour rééquilibrer notre être tout entier et nous aider à changer, à devenir plus intuitifs, à vaincre nos peurs…

 

Le pouvoir des fréquences et des sons

Marie-Louise Aucher a mis en évidence l’effet direct du son et des fréquences sur le corps physique. De même, il existe des mélodies, musiques, gammes, harmonies et instruments capables d’impacter sur notre état émotionnel et mental. Les fréquences et les sons ont ce pouvoir d’induire des images capables de stimuler et structurer la conscience tout en libérant des émotions bloquées.

Le dictateur russe Lénine l’a d’ailleurs remarqué, en avouant : «Je ne peux pas écouter de la musique trop souvent, cela me donne envie de dire des bêtises et de caresser la tête des gens ». Pour aller plus loin, les travaux de Tomatis, la méthode Hypérion et bien d’autres postulent que certaines fréquences que nous entendons pendant les thérapies sonores, et qui sont filtrées, peuvent stabiliser une personne à nouveau.

Les fréquences sacrées en font partie et font du bien autant aux émotions qu’au physique, à l’esprit et au mental de chacun.

 

L’origine des fréquences sacrées

frequence sonore
 
Les fréquences sacrées ont été découvertes durant l’hymne de Saint Jean-Baptiste. Un hymne dont les six premières lignes correspondent aux six premières notes successives des fréquences sacrées. Dans celui-ci, la première syllabe de chaque ligne est chantée sur une note au degré plus élevé que la première syllabe de la ligne qui la précède.

Le moine bénédiction Guido d’Arezzo (991-1050) a été le premier à développer le solfège original. Celui-ci permettait d’aider les chanteurs à chanter plus facilement et se traduisait par six notes ascendantes dont Ut-Re-Mi-Fa-Sol-La. Plus tard, il a été découvert que la syllabe UT était difficile à être chantée car elle ne se terminait pas par une voyelle. Il a donc été naturellement remplacé par le DO de Dominus.

Les recherches montrent aussi que la septième note SI n’a été baptisées ainsi que dans le XVIe siècle. Son nom résulte de la contraction entre le S de Sancté et le J de Johannes. L’apparition de ces fréquences a nettement modifié la façon dont les gens chantaient les fréquences. Tombées dans l’oubli, les anciennes fréquences sont réapparues grâce aux travaux du Dr Joseph Puleo.

Il a retrouvé le modèle des six codes dans le Livre des Nombres, chapitre 7, versets 12 à 83. Il a décrypté ces notes en se servant de l’ancienne méthode de réduction des numéros de versets vers des chiffres entiers développée par Pythagore. Il a ainsi découvert que les six premières fréquences sonores électromagnétiques correspondaient aux six notes disparues de la gamme des fréquences sacrées.

 

Les fréquences sacrées et leurs bienfaits.

Chacune des fréquences sacrées mentionnées en introduction a ses propres bienfaits :
 

La fréquence 174 Hz

Elle est considérée comme la base des fréquences et joue un rôle d’un anesthésique naturel. Ce diapason procure un sentiment de sécurité, de sérénité et d’amour aux organes du corps humain. Il les pousse à toujours s’améliorer et soulage la douleur physique.
 

La fréquence 285 Hz

Le diapason 285 Hz est capable de régénérer les tissus au point de leur faire retrouver leur forme première. Il impacte sur le corps ethérique et les chakras en leur envoyant un message qui restructurera les organes détériorés dans le corps. Au final, il redonne de la santé et du dynamisme à notre organisme.
 

La fréquence UT-396 Hz

Les personnes en proie au sentiment de culpabilité et à la peur peuvent s’en défaire grâce à la fréquence UT-396 Hz. Elle est reliée au premier chakra et à la couleur rouge et peut défaire le sentiment de culpabilité.

Ce sentiment, combiné à la peur, représente un des principaux obstacles à la réalisation de soi et nous empêche d’assouvir nos objectifs. Ils nous empêchent d’exprimer qui nous sommes réellement au fond de nous. Avec la fréquence 396 Hz, on parvient à se libérer des blocages dissimulés en nous et des croyances négatives dans notre subconscient.
 

La fréquence RE – 417 Hz

Il s’agit de la fréquence idéale pour vos envies de changement. Elle vibre à hauteur des expériences difficiles et traumatisantes en se connectant en ces dernières et en les modifiant. Pour ce faire, elle permet au corps de côtoyer une source d’énergie sans fin capable de modifier les schémas émotionnels qui nous nuisent.
 

La fréquence MI-528 Hz

Une fréquence miraculeuse capable de nous transformer et de réparer notre ADN. On l’appelle ainsi la « fréquence des miracles ». En réparant l’ADN, elle hausse la quantité d’énergie vitale dans le corps, rend l’esprit plus clair et élève la conscience.

La fréquence Mi 528 Hz peut aussi nous conduire à une paix intérieure absolue. Elle rend plus imaginatif, plus intuitif et stimule l’intention. Pour le mathématicien Vic Showell, « la fréquence 528, musique de la Lumière, est la clé de la liberté spirituelle ». Elle serait étroitement liée au nombre d’Or et au nombre Pi.
 

La fréquence FA – 639 Hz

Elle permet de reconnecter et d’équilibrer les relations tout en unifiant et en connectant les neurones. Cette fréquence rend les liens relationnels plus harmonieux. Elle peut résoudre les difficultés relationnelles à différents niveaux : familial, amical, professionnel… Ce diapason peut aussi stimuler la communication des cellules avec leur environnement. Elle rend une personne plus communicative, compréhensive, tolérante et pleine d’amour !
 

La fréquence SOL – 741 Hz

Pour éveiller et activer l’intuition, favoriser l’expression de soi et résoudre différents problèmes, le diapason Sol 741 Hz est recommandé. Il élimine les toxines dans notre cellule et permet d’accéder à une existence plus saine et simple.

Elle nettoie la cellule en usant de différents rayonnements électromagnétiques et résout toutes sortes de problèmes. Ce diapason mène à une vie pure et stable en favorisant l’expression de soi.
 

La fréquence LA – 852 Hz

Une fréquence qui éveille l’intuition, restaure l’ordre spirituel et pouvoir à l’Amour inconditionnel. Elle peut nous faire voir à travers les illusions de la vie et communiquer avec l’Esprit. Elle contribue à la restauration de l’ordre spirituel et permet une transformation cellulaire de niveau supérieur.
 

La fréquence SI – 963 Hz

Elle permet une maîtrise et une connexion avec l’énergie universelle et octroie une sensation d’unité. Ce diapason relié à la Lumière concerne autant l’infiniment petit que l’infiniment grand et reconnecte l’être à l’Unité. Elle permet aussi une reconnexion avec l’énergie universelle et les énergies spirituelles et permet d’exprimer notre vraie nature à travers l’Unité.

 

L’histoire de la fréquence 528 Hz

Selon la légende, le diapason 528 Hz aussi appelé fréquence d’Amour était chanté en permanence pour ouvrir les cœurs et recevoir la paix. Il consiste en une vibration capable de restaurer la confiance, la sérénité et le potentiel infini de son auditeur.

Certains avançaient que cette fréquence pouvait libérer de certaines émotions négatives et favoriser l’intuition, l’imagination et la réalisation de soi. Des vertus auxquelles s’ajoute sa capacité à restaurer l’ADN, une faculté qui lui a valu le surnom de « fréquence miracle ».

D’après l’histoire, le diapason 528 Hz rayonnerait et vibrerait aux doux sons d’instruments acoustiques tels que l’accordéon, le violoncelle, la kora, le chant, le kalimba, les bols tibétains, etc.

Cette fréquence magique serait un jour « révélée et présentée au centre d’une musique relaxante, une musique adaptée, permettant son écoute inlassablement. L’auditeur, pourrait ressentir sa présence dans différents environnements sonores. »
 

Zoom sur l’évolution scientifique conduisant à l’usage des fréquences

En cent ans, l’évolution scientifique a mis en évidence différents paradigmes :
 

Les travaux de Georges Lakhosky (1869-1942)

Ce scientifique et ingénieur a évoqué pour la toute première fois le fait que les cellules et leurs noyaux représentent des « oscillateurs biologiques » desquelles des données sont transmises par voie d’émission d’ondes électromagnétiques.
 

Emile Pinel (1906-1985)

Ce mathématicien a étudié les mécanismes biologiques régissant la vie des cellules en se servant de ses analyses mathématiques
 

Les travaux du Dr. Fritz-Albert Popp

Le Dr. Fritz-Albert Popp, fondateur de The International Institute of Biophysics in Neuss, a mesuré des photons émanant de divers organismes en utilisant des appareils modernes d’une sensibilité et d’une précision infaillible.

Ses travaux conduits dans les années 1980 avec une équipe scientifique de l’Université de Marbourg en Allemagne permettent de voir que les photons transportent puis transmettent des informations aux autres cellules du corps. Ces biophotons permettent l’échange d’informations entre les cellules et créent des réactions biochimiques.
 

L’hypothèse d’Etienne Guillé

Ce biologiste affirme que la biologie repose sur une combinaison matière/vibration. La matière serait le support tandis que la vibration véhicule l’information. En complément, il annonce en 1983 que le fonctionnement de certains endroits de l’ADN ressemble à celui des récepteurs et des émetteurs de vibrations électromagnétiques. Dans ce sens, l’ADN est considéré comme une antenne qui émet et transmet des données aux autres cellules du corps.
 

Les constats du docteur Peter Gariaev

Peter Gariaev, Directeur  du  Wave Genetics Institute de Moscou, avance que l’ADN ne fait pas seulement que recevoir et émettre des informations. Il représente un lieu de stockage qui traite, interprète, décrypte, modifie et enregistre les données qu’il reçoit et réagit en conséquence. Il aurait les mêmes fonctions qu’un ordinateur biologiques.
 

Un enregistrement d’informations par l’eau

Le Docteur Luc Montagnier, qui a découvert le virus du Sida, a repris les travaux de Benvéniste dans un reportage intitulé « On a retrouvé la mémoire de l’eau ». Il a été réalisé avec l’aide du docteur Masuru Emoto qui a proposé un procédé de photographie des cristaux d’eau congelée. Ce docteur japonais a prouvé que l’eau reçoit l’information et réagit en conséquence.

 

La cymatic

Nous entrons ici dans l’univers des fréquences et vibrations. La cymatic étudie les images que les vibrations des sons et des fréquences sur différentes matières créent.
 

L’épigénétique

Elle fait partie de la biologie et étudie la modulation de l’expression de nos gènes en se basant sur nos divers comportements. Elle nous invite à penser autrement qu’aujourd’hui. Selon l’épigénétique, il est possible de moduler l’expression de nos gènes en fonction de la manière dont nous nous comportons chaque jour. Dans cette lignée, faire du sport ou des efforts physiques, manger, interagir en société, ressentir du plaisir en vivant, l’environnement ainsi que l’état de bien-être ont un impact sur l’expression de nos gènes.

L’ensemble de ces informations montre que les fréquences sacrées peuvent modifier notre intérieur, voire notre extérieur, durant une thérapie sonore.

 

L’université de Yale propose un cours sur le bonheur auquel 1 200 étudiants sont inscrits, d’après les statistiques dévoilées le 26 janvier. Ledit cours intitulé «Psychology and the Good Life», soit «Psychologie et belle vie» en français, a débuté le 12 janvier dernier.

 

Un cours basé sur la psychologie positive

Selon le New York Times, le cours sur le bonheur de l’université américaine de Yale, dans le Connecticut, regroupe 1 200 étudiants de première et deuxième année de psychologie. Il s’agit du cours le plus populaire de cette université. Corinne Cosseron, fondatrice de l’Ecole internationale du rire et rigologue depuis seize ans, y apprennent à « emmagasiner suffisamment de bonheur, pour affronter les moments difficiles de la vie ». C’est un cours qui vise à améliorer la manière de vivre des gens afin qu’ils deviennent plus optimistes et plus enthousiastes. Corinne  Cosseron organise un weekend « Training bonheur » deux à trois fois par an.

Durant ces séances, une dizaine de personnes, la grande majorité étant des femmes entre 30 et 65 ans, apprend le bonheur dans la Maison du bonheur basée à Frontignan. Elle s’adonne à des exercices à base de tests de personnalité, de méditation, de séances de rire et de théories sur la psychologie positive. Les participants réalisent une réflexion en groupe et individuelle sur la vision qu’ils ont du bonheur. La formation dure quatorze heures et permet à chacun d’entre eux de rentrer chez lui avec une résolution concrète qu’il pourra mettre en application dans sa vie quotidienne.

 

Des cours particuliers sur le bonheur

Certaines personnes n’aiment pas les formations en groupe. Elles préfèrent suivre des cours particuliers sur différentes plateformes telles que Superprof. Des cours dispensés par Thierry Penda, professeur de psychologie positive et ex-professeur de salsa. Ils consistent en exercices simples à refaire chez soi et basés sur l’estime de soi, la gratitude ainsi que la satisfaction.

Ils visent  rendre plus heureux au quotidien en puisant dans les forces de chacun. Florence Servan Schreiber, auteure et professeure de bonheur, propose des conférences-ateliers durant lesquels elle invite ses pratiquants à créer leur propre bonheur. Des exercices créatifs à base de collage, l’interprétation de photographies ainsi que la rédaction de lettres dont le destinataire n’est autre que soi-même sont disponibles durant ces conférence-ateliers.

Le géant Microsoft a déposé un brevet décrivant un système de contrôle de Windows par le biais d’un décodage des ondes cérébrales. En d’autres termes, il prévoit un contrôle de Windows par la pensée, en complément aux interfaces gestuelles sur les ordinateurs et les casques de réalité virtuelle ou augmentée. Ce dispositif n’en est qu’au stade de projet mais pourrait bien faciliter l’usage de Windows. De même, il pourrait être combiné à des casques VR et se baserait sur une expérience intuitive et naturelle.

 

Un projet en cours

Les usagers des ordinateurs pourraient un jour contrôler Windows par leur simple pensée. Microsoft a déposé et obtenu un brevet allant dans ce sens auprès du bureau américain des marques et des brevets (USPTO). A travers ce contrôle mental, la firme compte améliorer l’utilisation de l’OS et des applications en identifiant l’intention de l’usager de Windows rien qu’en analysant ses ondes cérébrales. La personne pourra ainsi jouer à des jeux ou utiliser des applications VR ou augmentée ainsi que des logiciels de traitement de texte et des navigateurs web.

Ce dispositif serait naturel et ne consisterait pas en un système de commande cérébrale permettant de commander des fonctions en pensant à une action précise. Il prévoit plutôt de détecter lui-même ce que l’utilisateur veut faire ou souhaite dans un contexte donné. Le brevet indique que : « L'état de l'application est automatiquement modifié pour s'aligner avec l'opération prévue telle que déterminée par les données neurologiques de l'utilisateur correspondant à son intention ». Aucune précision sur la méthode de collecte des données neurologiques n’y est faite.

Toutefois, le brevet indique l’utilisation de l'électroencéphalographie, la magnétoencéphalographie et l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle. De même, ce brevet reste dans le domaine de l’idée. Rien ne garantit, pour l’instant, qu’il deviendra réel et que Microsoft arrivera à le développer.

Un dispositif compatible avec HoloLens

Dans ce brevet, Microsoft précise aussi la possibilité de combiner ce dispositif avec un contrôle gestuel. Cela renvoie à l’usage d’un casque de réalité virtuelle ou augmentée tel que HoloLens. L’intégration des électrodes nécessaires à l’interface neuronale serait d’ailleurs nécessaire au fonctionnement du contrôle par la pensée de Microsoft. Cela permettrait de décoder l’activité cérébrale. Microsoft détient là une idée qui pourrait prochainement inspirer d’autres géants de la technologie. Le contrôle de Windows par la pensée rendrait plus facile son utilisation, à condition de concevoir un système pas trop difficile à assimiler.

Les ondes cérébrales sont classées suivant leur intensité et leur fréquence : ondes Alpha, Beta, Delta et Gamma. Les ondes Gamma ont une fréquence supérieure ou égale à 30 Hz. De nombreuses pratiques telles que la méditation sont capables de développer les ondes Gamma.

 

La méditation peut développer les ondes Gamma

Le rêve, les états altérés de conscience ainsi que la méditation sont capables de produire, voire développer des ondes Gamma. La méditation est capable d’amener à ce qu’on appelle des « moments Aha ! », des moments de découverte caractérisés par un pic d’ondes Gamma. La méditation permet au corps de se détendre. Certains pratiquants parviennent même à accéder à des états transcendantaux durant lesquels ils développent des idées profondes « spirituelles ».

Des expériences mesurables que la science traditionnelle ne semble pas encline à assimiler. Un article sur les états de l’électroencéphalographie (EEG) des pratiques méditatives des pratiquants de longue date de la méditation a été publié par le Proceedings of the National Academy of Sciences il y a quatorze ans. Elle a montré que les pratiquants de la méditation avaient une fréquence gamma plus élevée que ceux qui ne font pas du yoga, que ce soit dans la marge initiale ou en pleine méditation.

Une autre étude portant sur les pratiquants de la méditation « Vipassana » comparés aux non-pratiquants, sortie il y a huit ans dans le magazine Cognitive Processes, montre que la puissance gamma pariéto-occipitale (35-45 Hz) des pratiquants augmente de manière significative. « Ces découvertes suggèrent que la méditation Vipassana sur le long terme contribue à un accroissement de la puissance gamma occipitale, reliée à l’expertise de la méditation sur le long terme et une conscience sensorielle accrue », peut-on lire dans cet article.

 

Le cas des moins tibétains pratiquant la méditation

Le neuroscientifique Dr Richard Davidson a analysé l’EEG des ondes cérébrales chez ces moines tibétains il y a quatorze ans de cela. Son étude a révélé une activité d’ondes Gamma bien plus puissante et beaucoup plus élevée que tous les cas connus jusqu’alors. Une autre étude dirigée par ce même scientifique, auprès du moine bouddhiste Matthieu Ricard, a montré que ce dernier avait des signaux EEG à la puissance « en dehors des estimations ». Ce moine est considéré comme « l’homme le plus heureux au monde. » Les ondes Gamma des moines bouddhistes peuvent atteindre 80 voire 200 Hz et sont considérées comme « irréelles ».

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