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Analyser les ondes cérébrales est maintenant possible grâce aux capteurs de LooxidVR, un casque de réalité virtuel. Une technologie qui contribuerait à une avancée majeure dans le domaine de la médecine et des soins de santé.

 

 

 

Une courte présentation de LooxidVR

LooxidVR est un casque de réalité virtuelle compatible avec les Smartphones développé par la startup Looxid Labs. Il possède deux caméras pour le suivi oculaire (eye-tracking) ainsi que six capteurs d’ondes cérébrales EEG. Il faut placer le smartphone dans l’emplacement réservé à ce dernier dans le casque pour pouvoir profiter des applications, des jeux et des vidéos à 360°.

La personne qui met le casque peut jouer à ces jeux ou visionner ces vidéos tandis que l’appareil analyse son activité cérébrale en temps réel. Le casque VR peut être utilisé pour rendre les jeux vidéo plus réalistes et hausser le niveau de stress ou la poussée d’adrénaline du joueur. Pour ce faire, il faut d’abord que des jeux qui y correspondent soient développés. Il pourrait également rendre possibles des expériences contrôlables par la pensée.

L’usage de LooxidVR dans le domaine médical

réalité virtuelle meditationLooxid Labs a conçu LooxidVR afin qu’il devienne un outil de recherche dans le domaine de la santé. Il rejoindra les outils de la réalité virtuelle que la médecine utilise dans le cadre de la thérapie par exposition à la VR. La réalité virtuelle est capable de placer les usages des casques VR dans un certain état mental. Un grand brûlé visualisant un environnement virtuel enneigé peut, par exemple, moins ressentir sa douleur.

De nombreux établissements médicaux se servent de la VR sans toutefois mesurer avec précision son impact. C’est dans ce contexte que le LooxidVR entre en jeu. En effet, il mesurera les ondes cérébrales de chaque patient qui l’utilise pour s’exposer à la réalité virtuelle. Cela permettra de montrer les nombreux bienfaits de la thérapie par exposition à la VR.

Le LooxidVR n’est pas encore mis à la vente. Il faudra également attendre des mois avant de voir ses effets dans le domaine des soins. De nombreuses industries sont intéressées par ce casque VR original. Le géant HTC, par exemple, a fourni un accélérateur Vive X à Looxid Labs dans le cadre du développement de ce casque. La startup compte mettre sa nouvelle technologie au secteur médical, mais également attirer l’industrie avec sa capacité et ses différentes possibilités.

 

Une équipe du Baycrest Centre for Geriatric Care avance que la musique permettrait de « recâbler » le cerveau après un accident vasculaire cérébral (AVC). Elle met en avant l’apprentissage d’un son sur un instrument de musique qui peut transformer les ondes cérébrales au point de rendre les compétences auditives de devenir bien meilleures, pendant une très courte durée.

 

 

L’hypothèse

Les chercheurs du Baycrest Centre for Geriatric Care pensent que ce changement dans l’activité cérébrale est la preuve que le cerveau est capable de se recâbler rapidement tout en compensant des blessures ou des maladies nocives pour le fonctionnement cognitif d’une personne. Ils avancent que la musique permettrait une récupération post-AVC. Ils ont ainsi entamé une étude sur le sujet.

Le Dr Ross, professeur de biophysique médicale à l’Université de Toronto et principal instigateur de l’étude en question, affirme que le fait de jouer de la musique implique une interaction entre des systèmes cérébraux tels que les systèmes auditifs, moteur et sensoriel. Son équipe de scientifiques observe des changements directs dans le cerveau après une exposition à la musique, une grande première dans le domaine scientifique.

Elle veut ainsi voir les effets de la formation musicale sur l’activité cérébrale des patients atteints d’AVC ou des personnes âgées. Cela consisterait à réadapter la fonction motrice à travers la formation musicale, à la suite d’un AVC ou de lésions cérébrales traumatiques.

Une étude sur le sujet

L’Université de Montréal avait avancé que le cerveau réagit plus vite lorsqu’on joue de la musique. Elle invitait les personnes âgées à jouer d’un instrument pour limiter la détérioration de leurs fonctions cognitives avec l’âge. C’est dans ce contexte que l’équipe du Baycrest Centre for Geriatric Care, basé à Toronto, veut développer des programmes de réadaptation du cerveau à travers une formation musicale. Ils réalisent ainsi une étude sur 32 jeunes adultes en bonne santé.

Ces participants sont en bonne santé, entendent bien et n’ont jamais souffert de troubles neurologiques ou psychiatriques. Leurs ondes cérébrales ont été enregistrées au moment où ils écoutaient des sons de sonnerie d’un bol tibétain. La moitié d’entre eux ont par la suite été invités à reproduire le son qu’ils ont entendu, sur le même rythme, tandis que l’autre moitié a dû le recréer en appuyant sur une touche sur un clavier d’ordinateur.

L’étude montre qu’apprendre le bon mouvement nécessaire à la reproduction d’un son sur un instrument change la perception de ce son par le cerveau. Cela prouve que la musique peut développer ou conserver les compétences cognitives spécifiques. L’équipe de chercheurs compte se servir des résultats de son étude pour aider des survivants d’AVC à retrouver un contrôle moteur de la partie supérieure de leur corps.

Une étude vient de démontrer que la méditation de pleine conscience est capable de transformer des structures cérébrales importantes, impactant au passage sur notre fonctionnement personnel et nos rapports avec autrui.

 

A propos de l’étude

L’étude allemande a duré neuf mois. Elle a été menée par l’institut allemand Max Planck. Elle a été réalisée grâce à la participation de plusieurs adultes âgés de 20 à 55 ans. L’étude en question se divise en trois modules de méditation de pleine conscience. Chaque module a été basé sur une fonction bien précise et a duré trois mois. Au terme de chacun d’entre eux, les participants ont subi une résonance magnétique (IRM) du cerveau combiné à des tests comportementaux.

 

Détails de chaque module et résultats

sante mentaleLe premier module a été centré sur le schéma classique de la méditation de pleine conscience. Les participants ont été invités à se concentrer sur le moment présent et à faire une introspection sur eux-mêmes via des techniques de respiration. Ces participants, qui ont été des volontaires, ont réagi différemment durant ce module. La majorité d’entre eux ont vu des régions de leur cerveau associées aux fonctions cognitives telles que le langage, le raisonnement ou le traitement de l’information s’épaissir lors de l’IRM.

Ils ont également montré de meilleurs résultats pendant les tests comportementaux. Le second module a été basé sur l’empathie, la compassion, la gestion des émotions, le rapport avec autrui ainsi que la motivation. L’IRM montre des modifications dans des endroits du cerveau associés à la conscience, aux émotions, aux addictions ainsi qu’aux comportements sociaux… Les participants ont positivement évolué du côté de leur relation avec les autres. La communication, basée sur une meilleure connaissance de soi pour mieux comprendre l’autre, a été mise en exergue dans le dernier module. Les zones cervicales liées au langage, au vécu émotionnel, à l’évaluation des expériences passées, à l’approche des autres et de l’environnement ont évolué, d’après l’IRM réalisée.

 

Conclusion de l’étude

Cette étude allemande a eu pour principal objectif de démontrer l’effet de la méditation de pleine conscience sur le cerveau. Les résultats de chaque module démontrent des changements entraînés par chaque module. Ils montrent que la méditation de pleine conscience transforme les structures cérébrales. Les scientifiques à l’origine de cette étude pensent qu’elle pourrait influencer le traitement de différents troubles dont le déficit de l’attention et l’hyperactivité (TDA/H). La méditation pourrait également avoir un effet sur la prise en charge de l’autisme et de la schizophrénie. Ils avancent la possibilité de l’introduire dans les écoles, les entreprises et de la pratiquer à la maison au vu de ses effets sur le plan relationnel et personnel.

Toutes les facultés de l’être humain sont générées par son cerveau. Entraîner ce muscle situé dans la tête permet de le rendre performant mais également de l’user. De nombreux experts en neuroscience du succès associent capacités cérébrales et réussite et proposent toutes sortes d’entraînement dans ce sens. En d’autres termes, ils avancent qu’on peut entraîner le cerveau pour réussir dans la vie. Faut-il le croire ou pas ?

 

Bien entretenir son cerveau à travers un travail de mémoire

cerveauLe cerveau est une partie mystérieuse de notre corps. Il a besoin autant d’activités que de repos et de relaxation. Son fonctionnement intégral échappe encore à l’être humain et ce muscle a un rôle majeur dans l’entièreté de sa vie. Pour bien entraîner son cerveau, tout en l’entretenant, c’est de le faire travailler à travers des exercices de mémoire, par exemple. Ces exercices sont capables de ralentir la dégénérescence cérébrale. Nous nous servons de notre cerveau dans son plein potentiel en réalisant un effort de mémoire. Les souvenirs qui apparaissent à ce moment-là résultent d’un encodage. Les souvenirs olfactifs et musicaux sont les encodages les plus puissants du cerveau. Un bon entraînement de ce muscle consiste ainsi en la prise de conscience de l’olfaction et de musique.

 

Un bon repos pour un bon fonctionnement cervical

Si entraîner son cerveau est nécessaire, le laisser se reposer l’est tout autant. La qualité du sommeil est primordiale, le cerveau restant des plus actifs pendant ce temps. Le sommeil est important pour le cerveau. Il faut permettre au cerveau de vagabonder, dormir et se déconnecter de temps en temps des écrans de téléphone, d’ordinateur… pour avoir un cerveau en bonne santé.

 

capacite mental

 

Les comportements à éviter pour le bien de notre cerveau

Surentraîner son cerveau s’avère nocif. Comme nous le savons tous, l’excès n’amène jamais à rien de bon. Un mauvais sommeil, dû à la présence omniprésente des écrans, impacte sur la santé du cerveau. De même, l’usage ainsi que l’abus de substances addictives peuvent détériorer le cerveau. L’obésité, un des problèmes les plus répandus de notre siècle, a également un effet considérable sur la mémoire. Manger trop de graisses et de sucres peut nuire au quotient intellectuel, précisent des scientifiques américains. D’ailleurs, de nombreuses études prouvent que l’alimentation influe sur les performances scolaires.

Entraîner son cerveau conduit ainsi à de bons résultats, tant que cela reste couplé à un bon repos, à un sommeil de très bonne qualité, ainsi qu’à une bonne alimentation. De plus, il faut éviter de trop solliciter ce muscle au risque de le rendre défaillant.

Des travaux d’Oersted (1777-1851) relatifs au courant électrique qui produit un champ magnétique, aux recherches scientifiques de nombreux médecins, ingénieurs ou physiciens tels Ampère, Faraday, Sturgeon, Maxwell, Tesla, Ewing, curie ou Poulsen..., les propriétés magnétiques des métaux (les forces attractives ou répulsives) et les liens établis entre électricité et magnétisme ne sont plus un secret de polichinelle. Mais si un sujet engendre toujours de nombreux débats depuis des lustres, c’est bel et bien le magnétisme curatif et les magnétiseurs.

Les premiers écrits qui relatent l’utilisation de cette forme de magnétisme, remontent à environ 1600 ans avant J.C, grâce aux fouilles de l’égyptologue Ebers (19ème siècle). Il découvrit un papyrus à Louxor, dont les hiéroglyphes révélaient les bienfaits du magnétisme curatif. Depuis l’aube de l’humanité, les preuves de ses effets positifs jalonnent toute l’Histoire aux quatre coins de la planète, à travers les témoignages des peuplades aborigènes, des chamanes, du simple paysan de nos campagnes, aux rois de France ou d’Angleterre dont la coutume voulait qu’ils imposent leurs « mains royales » (synonymes de pouvoir de guérison) le jour-même de leur cérémonie de sacre.

Que ce soit Jésus-Christ ou le célèbre empereur romain Vespasien, de nombreuses personnalités historiques ont utilisé le magnétisme curatif. Mais le père incontestable du magnétisme moderne reste (ironie du sort), un médecin occidental, en l’occurrence le docteur Franz Anton Mesmer (1734-1815). Il comptait de nombreux disciples dont le marquis Armand de Puységur (1751-1825), qui découvrit un jour « au cours d’une séance de magnétisme, la réalité et les possibilités du sommeil hypnotique qui peut parfois survenir au cours d’une séance de magnétisme curatif. Le marquis fit de nombreuses expériences sur les plantes de son jardin et sur pratiquement tout ce qui lui passait entre les mains. ».

De Mrs Deleuze, Charles Lafontaine, Hector Durville, Gaston Durville, médecin qui fit des recherches sur « l’effet Kirlian » au docteur Encausse (1865-1916), Paul-Clément Jabot (1865-1962) ou au professeur Rocard (ancien directeur au C.E.A.), le magnétisme fut étudié sous toutes les coutures. Avec l’aide de la technologie de pointe, les recherches d’Yves Rocard ont permis de mettre à jour des éléments primordiaux en faveur des magnétiseurs. « Ces derniers possèdent une quantité remarquable de ferro-magnétite dans les mains et une concentration de silicium dans le cerveau. Un magnétiseur possède bien de la magnétite dans les mains car ses doigts provoquent un affaiblissement notable du champ magnétique terrestre local d’environ 0,15 mG (milliGauss)... ». En dépit des conclusions de l'Observatoire zététique (association loi de 1901 Française sceptique, fondée en 2003, membre du European Council of Skeptical Organisations, ECSO) faisant suite à des protocoles expérimentaux destinés à tester les capacités de deux magnétiseurs (sans résultat positif), on ne peut plus nier les découvertes contemporaines faites par des biologistes, des physiciens et autres chimistes. De surcroît, une question s’impose : En respectant l’unicité, sommes-nous toutes et tous des magnétiseurs en puissance, sachant que chacun(e) serait doté(e) de dispositions génétiques différentes, comme le soulignait le professeur Rocard ci-dessus (ndlr : « les magnétiseurs possèdent une quantité remarquable de ferro-magnétite dans les mains et une concentration de silicium dans le cerveau ») ? Cette différence notable est-elle synonyme de don physique particulier ?

Mais comment définir le magnétisme exactement ? Cette dernière question importante demande une réponse rationnelle car trop de personnes attribuent leur pouvoir aux forces cosmiques, à un Dieu, aux sciences divinatoires voire même aux sciences occultes. Si à « l’échelle atomique moléculaire, l’électromagnétisme est une réalité », il est également de bon ton de méditer su ce proverbe anglais « Nul ne détient la vérité, même une horloge arrêtée a raison 2 fois par jour ». Néanmoins, il faut dénoncer les charlatans et les gourous qui polluent les médecines alternatives. Il est indispensable que la médecine officielle (trop souvent rationnelle) accepte la thérapeutique « ondulatoire » avec un autre regard sur les magnétiseurs dignes de ce nom, à l’instar de l’hypnose ou du Qigong (désormais présents dans les hôpitaux). Le bien-être et la santé de l’homme passent par un rassemblement et un travail commun entre tous les intervenants, aucunement par l’art de diviser pour mieux servir les lobbies pharmaceutiques, refusant toute approche avec le Mesmérime, pourtant soutenu par des personnalités tel le psychiatre Henri Ellenberger.

Pourquoi entretenir une certaine défiance et une relation ambiguë à l’égard des magnétiseurs quand en parallèle certains services d'urgences font appel à ces derniers (notamment pour des grands brûlés), afin de renforcer les traitements et optimiser les résultats ? Certes les pratiques restent mystérieuses pour la science, qui ne parvient pas expliquer les mécanismes de ces thérapies alternatives. Mais l'efficacité éprouvée du magnétisme dans de nombreux traitements (brûlures engendrées par la radiothérapie par exemple) en adéquation avec les soins conventionnels devraient favoriser le dialogue entre les guérisseurs et les médecins. Qu’il soit un effet placebo pour certains ou un phénomène inexplicable qui fonctionne sous le contrôle du personnel médical pour d’autres, le Dr Michel Gouiric (centre médical de Castanet-Tolosan) souligne que : « Si le patient peut tirer une amélioration de son état en complément et sans interférence avec son traitement médical, pourquoi se priver de cet adjuvant ? ». Concernant l’effet placebo, même les scientifiques les plus cartésiens restent perplexes. « Des scientifiques se sont intéressés à cette question, explique Audrey Mouge, auteur du Mystère des guérisseurs (Editions de la Martinière), et font valoir que si tous les êtres vivants émettent des ondes électromagnétiques, les mains des guérisseurs et des maîtres de méditation émettent des champs magnétiques de basse fréquence mille fois plus puissants. Ces champs électromagnétiques de basse fréquence sont réputés soulager les douleurs. Certains kinésithérapeutes les utilisent à l'aide d'un appareil pour apaiser les tensions. » La journaliste Martine Betti-Cusso soulignait en 2013 (article paru dans le Figaro santé) que « d'autres hypothèses font appel à la physique quantique et aux biophotons, ou particules de la lumière, qui seraient présents dans notre ADN, mais sans pour autant résoudre l'énigme de cet étrange pouvoir de guérison... ».

Si vous choisissez le magnétisme pour vous soulager, en aucun cas votre choix ne doit remplacer les diagnostics et traitements de la médecine traditionnelle. Méfiez-vous de la pseudo-science et ses cortèges souvent dévastateurs, car parmi de nombreux praticiens honnêtes et efficaces se cachent des charlatans. Gardez-bien en tête cette phrase de Voltaire : « Le charlatanisme est né le jour où le premier fripon a trouvé le premier imbécile ». Renseignez-vous auprès du Groupement pour l'organisation de la médecine auxiliaire (GNOMA), auprès du SNAMAP (Syndicat national des magnétiseurs et praticiens des méthodes naturelles et traditionnelles, créé en 1997) ou auprès de la Fédération Internationale du magnétisme et des énergéticiens Canada-France(FIMECF). Dans l’hexagone, le magnétisme n'est toujours pas reconnu par l'Académie de médecine. Surtout, n’ayez aucun grief contre votre médecin traitant car il n’a pas le droit de vous envoyer officiellement vers un magnétiseur selon l'article R. 4127-39, du Code de la santé publique.

 

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Qu'est-ce que le développement spirituel ? Qu’est-ce que la spiritualité ? Qu’est-ce qu’une personne spirituelle ? Ces questions dignes d’un sujet de philosophie pour bachelier demandent réflexion car le mot spiritualité, qui vient du latin ecclésiastique « spiritualitas » (d’après le petit Robert), est un terme relativement nouveau. Il comporte aujourd'hui une signification largement fluctuante, un sens et une portée différentes selon le contexte de son usage. « Le concept de spiritualité est un concept très vaste a pris successivement trois sens principaux au fil des siècles, religieux, philosophique et un sens juridique par antithèse au "temporel" » d’après le P. Aimé Solignac, bibliothécaire, enseignant en philosophie et surtout l'un des principaux rédacteurs du Dictionnaire de spiritualité (1969-1994 en vingt volumes -Beauchesne). Ainsi il en concluait que "le sens philosophique ne subsiste guère que dans des expressions consacrées, comme la spiritualité de l'âme. Le sens juridique a pratiquement disparu à la fin du 16ème siècle. Par contre, le sens religieux a fini par prédominer ».

Aujourd’hui, la spiritualité se comprend comme dissociée de la foi dans un Dieu. Elle désigne désormais une certaine quête de libération et l’accomplissement de soi à travers la dissolution de l’égo. Plusieurs scénarii s’offrent à la personne en recherche de spiritualité. Ils permettent ainsi de se fondre à travers une forme d'attention portée à ses propres sensations ou états, appelée introspection. Que ce soit dans la beauté de la nature, dans l’union avec une musique, la lecture, la peinture ou un lieu de culte... de nombreux arts et disciplines facilitent la fusion avec l’univers, tels que le tai chi chuan, le yoga, le zen, la méditation, le Qigong, le chant, la sculpture, les mantras... Chacun peut découvrir et devenir observateur de son propre monde intérieur en détournant son attention de l'extérieur tout en savourant pleinement l'instant présent. Mais si la spiritualité est « être libéré du passé et du futur » alors que penser des doctrines qui nous enseignent des vérités choisies par des décideurs, qui vous obligent à les adopter et de suivre scrupuleusement « ce qu'il faut croire et ce qu'il faut rejeter » ?

Le proverbe chinois « 10 000 moines, 10 000 religions » a désormais un allié de poids avec les neurosciences et la notion incontournable de l’unicité (les 12 lois du cerveau de John Medina). Si aujourd’hui de nombreuses disciplines vous proposent les clés vous permettant d’ouvrir des portes de la spiritualité au-delà du monde matériel et au-delà de la matière, il est indispensable de réapprendre à apprendre à élever la qualité de notre niveau de conscience, afin de devenir réceptif à d'autres « réalités ». Percevoir cette énergie bienfaisante qui procure une sensation de bien-être, de plénitude, de paix avec soi-même et son environnement, demande à notre égo de se mettre en veilleuse, de dépasser les frontières de notre égoïsme, de partager, d’échanger et d’accepter les différences afin d’accéder à une dimension plus généreuse de l'existence. « Le chemin spirituel qui ne conduit pas au quotidien et à nos semblables est une voie erronée », écrivait Willigis Jäger. Ce moine bénédictin et Maître zen qui dirige l'École de vie intérieure (un centre interconfessionnel en Allemagne), revendique le droit de regarder autrement les vérités révélées.

Donc, qu’ils soient modernes, new-age ou traditionnels, de nombreux outils nous invitent à un retour aux sources de la spiritualité. Ils sont à notre disposition pour nous relier à l’instant présent et pour changer notre regard sur notre société aseptisée. En aiguisant nos sens et nos instincts à travers la spiritualité, on mobilise nos potentialités à travers un nouveau regard, une nouvelle vision et une nouvelle compréhension du monde qui nous entoure. A travers l’initiation au développement spirituel, on réapprend également à respirer comme un nourrisson, à se mouvoir comme un enfant, à réduire son stress et contrôler ses émotions, à dépasser les limites du moi, somme toute à penser comme un guerrier pacifique et à agir comme un sage. Au fur et à mesure de sa construction personnelle à travers la spiritualité, la manière de respirer va changer puisque le souffle est le miroir de nos émotions. Le sage Lao Tseu le disait déjà en son temps : « La vie d’un homme n’est que du souffle qui se rassemble » Selon le psychothérapeute allemand K. G. Dürckheim, ces états de fusion avec le présent et le monde qui nous entoure est "l'un des buts de la vie, ce qui fait sa valeur et la justifie... Lors de ces expériences, c'est notre "être essentiel" que nous contactons... ».

Le développement spirituel demande quelques clés pratiques pour vous permettre d’ouvrir les portes de la plénitude de la vie et l'élévation vibratoire des corps physiques et énergétiques. Nourrissez votre conscience, contemplez et communiez avec la nature et/ou avec la discipline que vous aurez choisie, tout en respirant profondément afin d’entrer en contact avec votre être intérieur. Ainsi, en faisant le lien entre le corps et l'esprit, nos sens deviennent plus performants, permettant d’entrer en communication avec un monde imperceptible dans l'état ordinaire. Notre vie est le miroir de vos pensées. Grâce à la spiritualité, nous pouvons découvrir les mécanismes émotionnels qui agissent comme de puissants aimants, ceux qui régissent nos peurs et nos doutes. Que ce soit à travers la méditation, les sons, la lecture, des images ou des paysages... qu’importe le noble support que vous aurez choisi, la spiritualité est capable de reculer les frontières de notre moi et elle nous offre la possibilité de nous relier à un autre niveau de la réalité. Mais nous devons être maître de notre esprit et plus esclaves de nos pensées : « Notre conscience du moi n'est qu'un élément de l'ensemble de notre conscience, mais elle prend des allures de monarque et mène un combat perpétuel avec notre être profond. Tant que le moi conserve sa suprématie, la paix n'est pas possible", dixit Willigis Jäger.

Comme le souligne mama Chia, personnage principal (une femme chamane) dans le livre de Dan Millman « Le voyage sacré du guerrier pacifique », « il existe des archétypes dans les recoins les plus profonds de l’être humain ». Mais attention, à l’heure du « Mac tout à toute heure », la spiritualité est un chemin qu’il faut avant tout vouloir parcourir. Avant d’apercevoir la lumière, il faut s’occuper de l’obscurité. Qui se donne la peine de vivre le moment présent à travers un voyage merveilleux dans sa conscience sera en mesure de voir l’invisible et de comprendre cette belle phrase signée James Barrie « Dieu nous a donné des souvenirs pour que nous puissions avoir des roses en décembre ».

 

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Voilà un thème générique et énigmatique qui fascine le public comme en atteste l’étonnant succès populaire des livres en lien avec l’ésotérisme, tel l’ouvrage de Dan Brown « Da Vinci Code » (plus d’un million d’exemplaires vendus en France) ou encore la popularité des émissions télévisées traitant de ce terme. L’intérêt croissant pour l’occultisme, la numérologie, la kabbale, les sociétés secrètes ou encore l’astrologie..., révèle un fantastique engouement et le grand retour du substantif « ésotérisme » qui n’a été inventé, rappelons-le qu’au 19ème siècle. Mais que cache exactement ce mot d’origine Grecque (ancien esôteros, « intérieur ») ? Comment le définir ? D’après le dictionnaire Larousse, c’est une « Partie de certaines philosophies dont la pratique devait rester inconnue des profanes. (L'ésotérisme est surtout la caractéristique des philosophies pythagoricienne, kabbaliste et, de façon générale, des doctrines qui visent à créer une initiation et une hiérarchie sociale.). Se dit d'un mode d'expression, d'une œuvre qui n'est compréhensible que des initiés ; hermétique, abstrus, abscons. Les plus proches synonymes sont hermétisme et occultisme... ». « Dans l'Antiquité, ce terme désignait habituellement des enseignements réservés à un petit nombre d'initiés, notamment au sein des Mystères, par exemple les Mystères d'Éleusis ».

Selon les époques et les auteurs, le sens du mot diffère de façon notable. Si vous visitez les réseaux sociaux, de nombreux sites s’accordent pour dire que « |. En principe, la partie de l'enseignement « cachée » au profane ne contredit pas l'enseignement donné au public. Il apporte en général un « deuxième sens » aux aspects de l'enseignement exotérique. Il l'ouvre sur des états de conscience supérieurs, sur des perspectives métaphysiques... ». Comme le soulignait en 2004 l’écrivain-Philosophe-sociologue et historien des religions Frédéric Lenoir (article paru dans le Nouvel Observateur Hebdo), « Le mot ésotérisme est effectivement un mot fourre-tout qui recouvre des choses très disparates. Il faut commencer par distinguer l’adjectif « ésotérique » du substantif « ésotérisme ». L’adjectif lui est antérieur et vient du grec « esôtirokos », qui veut dire « aller vers l’intérieur ». Il s’oppose à « exoterikos », « vers l’extérieur ». Cette mise au point permet d’éclairer le chemin qui mène à « une harmonie universelle et une mathématique sacrée à l’œuvre dans l’univers », un fondement mis en relief par Pythagore.

D’après l’écrivain, en imposant une forme de pensée théologique verrouillée, les religions ont étouffé le mystère, l’imaginaire et le sacré. A travers ce verrouillage, elles ont progressivement perdu leur dimension symbolique d’où la désaffection de nombreuses personnes pour ces systèmes de dogmes ou de croyances, de pratiques rituelles et morales à sens unique. Ces personnes sont parties à la recherche d’une nouvelle voie spirituelle dans l’ésotérisme, à travers des courants parallèles qui mettent en avant la pensée symbolique. Il faut bien avouer qu’aujourd’hui notre société cartésienne, rationnelle et aseptisée a « cloisonné les domaines du sacré et de la raison. L’imaginaire et la pensée symbolique n’ont plus leur place... » dixit Frédéric Lenoir. En rompant la loi de UN si chère à Edgar Cayce, de nombreux occidentaux ne se considèrent plus comme des « habitants du monde » mais plutôt comme des propriétaires de celui-ci, devenant de surcroît des défenseurs d’un monde matériel illusoire et désenchanté, en totale contradiction avec les lois universelles et la nature. Or, l’homme est en totale inadéquation avec le « métro-boulot-dodo » et la mondialisation. Pour se « réaliser », il a besoin de symboles et de mythes pour être à nouveau en harmonie avec l’univers et prendre conscience de sa nature divine. Las d’entendre cette pensée unique qui lui impose une certaine forme de croyance et d’action, il désire plus que jamais se relier à la profondeur du réel en s’appuyant sur l’ésotérisme.

L’histoire de l’ésotérisme est désormais mise à jour grâce à internet, livres et aux mass médias... A l’heure de la technologie médicale de pointe, les magnétiseurs, rebouteux autres guérisseurs de campagne ne désemplissent pas. C’est un signe qui devrait interpeller les pro-mondialistes ! Jamais autant de livres ayant pour scénario l’ésotérisme, ne sont devenus de véritables Best-sellers à travers le monde (littérature et cinéma), tels le « Seigneur des Anneaux », « Harry Potter », « L’alchimiste » ou le « Da Vinci Code ». Pourquoi un tel succès planétaire ? Frédéric Lenoir prend l’exemple du livre de Paulo Coelho « L’alchimiste », pour expliquer l’engouement du grand public aux quatre coins de la planète. Cet ouvrage « reformule le vieux concept d’âme du monde en le reliant à l’individualisme moderne. Le leitmotiv du livre est que : « l’univers conspire pour réaliser notre légende personnelle », c’est-à-dire nos vœux les plus chers... ». Néanmoins, l’écrivain nous met en garde contre certains livres qui présentent le meilleur et le pire de l’ésotérisme. « Le meilleur, parce qu’il fait rêver et redonne une dimension symbolique à la religion, le pire parce qu’il détourne parfois les symboles de leur sens véritable et qu’il donne des informations totalement erronées ». Il faut prendre garde également aux dérives sectaires nées dans l’imagination de pseudo gourous qui obéissent (soi-disant) à des maitres invisibles. Il en résulte parfois des tragédies meurtrières (par exemple l’Ordre du Temple solaire) pour les uns, une coupure rationnelle avec le réel pour d’autres, bien souvent au détriment des « adeptes » du groupe. Un autre exemple célèbre dans lequel les délires ont engendré la peur, une imagination débordante ou l’interprétation d’un événement considéré comme l’œuvre du diable, est celui du roman d’Umberto Eco « Le nom de la rose », porté à l’écran avec brio par Jean-Jacques Annaud, avec Sean Connery, Christian Slater et Helmut Qualtinger. En l’an de grâce 1327, alors que la chrétienté est en pleine crise, « des moines interprètent les crimes commis dans leur monastère comme une réalisation des prophéties de l’Apocalypse ». Un véritable chef d’oeuvre à l’arrière-goût du cyanure, à découvrir ou à revoir.

Si à l’heure de la mondialisation et de la pensée unique certains s’interrogent à propos de la renaissance de l’ésotérisme dans notre société, d’autres estiment que le retour aux sources n’est qu’une juste réponse à travers le rééquilibrage de l’imagination, de l’intuition, des instincts et des sens avec la logique et la capacité de raisonnement rationnel que nous a offerts la nature. Certes nous voyons le monde à travers le filtre de nos connaissances, mais les idées principales à prendre en considération pour être en parfaite communion avec le monde qui nous entoure, reposent sur des niveaux de conscience indispensables pour vivre pleinement une existence digne de ce nom. Pour ce faire, l’homme a autant besoin d’amour, de compréhension et d’émotions que de connaissances scientifiques et de rationalité, de certitudes et de sécurité que de mythes et de voyages dans l’imaginaire. Malheureusement La voie du juste milieu n'est pas suivie par les décideurs, souvent pour des raisons politiques, stratégiques et financières. Ils préfèrent choisir des voies de garage, en totale inadéquation avec les valeurs même de la vie. « Les hommes intelligents vont au-delà, les ignorants restent en deçà. Les sages veulent trop faire, et l'homme de peu pas assez. C'est ainsi que tout homme boit et mange, et peu savent juger des saveurs » dixit Confucius. En toutes choses, le plus sage est de tenir un juste milieu, pour l’équilibre de notre société dans son ensemble. Il est indispensable que l’homme associe le sacré à la raison pour revenir aux fondamentaux que la nature nous a confiés. Comme le soulignait Nicolas de Chamfort, Le plaisir peut s’appuyer sur l’illusion, mais le bonheur repose sur la Réalité.

 

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Comme le dit un célèbre proverbe, « La musique adoucit les mœurs ». Et si cela est bien vrai, il est alors d’autant plus véridique que chaque type de musique a une vertu qui lui est propre. Les unes tendent à arracher des larmes à ceux qui les écoutent, les autres tendent à faire sourire ou encore à entrainer dans une mélancolie profonde. Elles ont cette capacité à toucher l’homme au plus profond de son être et à lui arracher ses sentiments les plus enfouis. Considérant cet état de choses, il est donc compréhensible de considérer la musique relaxante comme ayant des effets apaisants sur l’homme.

 

Réaliser un massage en écoutant de la musique de relaxation : pourquoi ?

musiqueLe massage est l’une des techniques les plus utilisées depuis des millénaires afin de pouvoir détendre les corps stressés. Ses bienfaits tant sur le corps que sur l’esprit de celui par qui il est pratiqué ont toujours été connus depuis des générations. Parmi ces nombreux points positifs, figure le fait que le massage aide à la réduction des tensions au niveau des muscles, apporte une meilleure forme.

C’est également un outil efficace contre le stress d’une vie de plus en plus modernisée et un stimuli pour le système immunitaire. De nombreuses formes de massages existent et ont chacune leurs spécificités. Parmi ces dernières, nous avons le massage californien permettant de se relaxer et combattre de nombreuses tensions, la réflexologie afin de lutter contre l’anxiété, le massage ayudermique, le massage amma, le massage shiatsu ou encore le massage thaïlandais.

La musique pour sa part permet d’agir sur le cerveau de façon directe, ce qui fait de la combinaison entre le massage et la musique, un excellent moyen de relaxation apportant tant sur le plan physique que psychologique, bon nombre de bienfaits. En plus de vous apporter des avantages tels que la relaxation, elle soulage les tensions, améliore la santé mentale, permet d’avoir une énergie meilleure ainsi qu’une meilleure gestion des émotions.

 

Des bienfaits confirmés par la science

Mises à part les nombreuses spéculations existantes à ce sujet, de nombreuses études ont été réalisées et montrent qu’écouter de la musique de relaxation a un effet positif sur le rythme cardiaque en permettant de ralentir ce dernier, ainsi que la respiration et la tension. Elle permet également d’améliorer l’humeur de celui qui l’écoute. Des études ont également prouvé que le massage permet de tonifier et d’adoucir la peau, de réduire les tensions et d’assouplir les différents muscles du corps ainsi que de favoriser un meilleur sommeil et une meilleure circulation du sang. Il est à noter que tout comme la musique de relaxation, le massage a un effet relaxant sur l’organisme de l’Homme et lui procure une sensation de bien-être. Il est aussi une source de bien-être psychologique et une arme très efficace contre le stress ainsi que contre l’anxiété.

Au regard de tout ce qui précède, il apparait évident que la musique relaxante a des effets positifs sur l’homme. Elle est d’autant plus efficace lorsqu’elle est combinée à une forme de massage donnée.

Pour la grande majorité d’entre nous, respirer est un acte naturel, inconscient qui consiste à absorber et rejeter l'air par les voies respiratoires pour renouveler l’oxygène et ce, dès le premier jour de la vie. Mais contrairement aux idées préconçues, respirer est une chose, savoir respirer en est une autre. En effet, une respiration correcte qui n’est ni automatique, ni innée, s’apprend à travers l’art du souffle. Ce dernier demande un travail particulier qui permet de prévenir certaines affections (troubles du sommeil, lombalgie...), dysfonctionnements pulmonaires, stimuler les intestins, tonifier l’abdomen, calmer une douleur, nettoyage des sinus, gymnastique des narines... ou atténuer le stress, les peurs, la panique responsables des perturbations sensorielles, motrices et cognitives.

 

Comme le souligne Alain MARILLAC dans son ouvrage « Dynamique du souffle », « Nous nous contentons souvent de respirer en surface, alors que l'apprentissage d'une respiration juste pourrait améliorer notre vie de façon remarquable à bien des égards ». Alain Marillac nous propose une initiation à « la pratique consciente d'une respiration quotidienne comme technique de mieux-vivre ». « De la respiration dynamique à la respiration détente, il existe autant de nuances que de bonnes raisons d'apprendre à respirer différemment ». D’après l’auteur, « les bénéfices d'une respiration appropriée peuvent être ressentis dans tout notre corps, comme sur notre mental ». Toujours est-il, n’oubliez pas qu’en cas de difficulté respiratoire, il est évident de consulter son médecin pour établir un bilan.

 

Dans une société aseptisée qui marche sur la tête, notre quotidien affecte notre comportement respiratoire. Avant de commencer un exercice de l’art du souffle, la première marche à franchir est de prendre conscience de sa respiration. Ensuite, il est de bon ton de respirer « à fond » car cette habitude « augmente la circulation de l’oxygène dans le corps et permet un massage régulier des organes abdominaux et du plexus, ce qui favorise la détente neuromusculaire ». Le Qigong et le yoga sont des disciplines qui nous invitent à pratiquer la respiration abdominale. Quel que soit la méthode choisie (les arts énergétiques susnommés précédemment) ou le tai chi chuan, les randonnées, les activités sportives, des cours de chant, de théâtre, d’art dramatique, voire même un discours (avocats, politiciens, enseignants, formateurs...), SAVOIR RESPIRER EST UNE PRIORITE.

 

D’après les experts, il est bon de « prendre l’habitude de faire des inspirations et expirations profondes volontaires de deux ou trois minutes au moins deux fois par jour... Une inspiration par le nez qui fait se gonfler le ventre avant la cage thoracique, suivie d’une expiration profonde pour faire monter le souffle du bas vers le haut et bien évacuer l’air... ». Il existe de nombreux exercices respiratoires bien spécifiques selon les besoins. Raymonde VITET (célèbre professeure de chant) qui se définit comme une professeure de vie, souligne dans son livre « Trouvez votre voix ! » que « L’art du chant, c’est l’art de la respiration… Chanter, c’est gérer son air... et parler sans s’épuiser impose de « retrouver le cri primal du nouveau-né qui, d’instinct, ouvre la bouche, inspire profondément, descend son diaphragme et émet un cri très puissant qui peut durer des heures, sans abîmer ses cordes vocales ». A l’instar d’un autre grand professeur de chant Paule METGE-SANDRA, Mme VITET encourage « une gymnastique respiratoire basée sur le mécanisme de cette respiration physiologique profonde que chacun possède à la naissance ». Cette méthode bénéfique dans la lutte contre le stress et de nombreuses affections accorde une importance majeure à l’expiration spontanée qui, indique Marlène TURCOT (disciple de Paule METGE-SANDRA), « assure le développement des muscles profonds (les dorsaux, abdominaux, transverses et obliques), permettant au diaphragme d’être le moteur de l’acte respiratoire... un contrôle attentif de la respiration et surtout du temps expiratoire contribue à vous apaiser dans les moments de tension et de contrainte ».

 

Nous possédons toutes et tous une voix unique à notre naissance, mais elle commence à changer vers l'âge de 6-7 ans (croissance naturelle et tensions émotionnelles). En retrouvant le cri primal du nouveau-né (profonde inspiration, ventre gonflé, descente du diaphragme...) à travers une respiration bien maîtrisée, un réconfort physique et psychique va s’installer, véritable « outil de découverte de soi, voire un éveil à la spiritualité car dans toutes les croyances de la planète, le souffle est symbole de vie et son sens est souvent confondu avec l’esprit » précise Alain MARILLAC. Bien respirer facilite également les accouchements, autant du côté de la future maman que du côté des médecins, sages-femmes, infirmières et auxiliaires de puériculture (évacuation du stress). Dans un précédant article sur la cohérence cardiaque, le Pr Claire MOUNIER-VEHIER (Présidente de la Fédération française de cardiologie et chef du service de médecine vasculaire et hypertension artérielle au CHU de Lille) soulignait « L’effet bénéfique sur le stress, la pression artérielle (d’une respiration volontaire) et la fréquence cardiaque dure trois à six heures ».

 

Les conseils : Concentrez-vous sur la respiration, soyez attentif aux mouvements de votre corps, recentrez vos idées sur l’instant présent et suivez la longueur de sa respiration...Par exemple, allongez-vous sur le dos, étendez vos bras le long du corps et surtout lâchez prise en vous centrant sur votre respiration. Comptez mentalement la durée de votre expiration (4, 5,6,7...), mais aussi de votre inspiration. La durée « inspiration/expiration doit être la même, ponctuée par une légère pause entre les deux. 10 à 20 respirations sont suffisantes pour amorcer une certaine relaxation et un recentrage vers l’instant présent.

 

L’une des techniques de base du yoga nous conseille la respiration alternée pour équilibrer nos énergies car sans nous en rendre compte, nous respirons plus par l'une de nos narines que par l'autre. Le cycle nasal permet entre autres, l’accès à un plus large panel d’odeurs et de se sentir mieux.

 

Comment faire ? Vous respirez alternativement par l'une ou l'autre des narines, en bouchant simplement l'une ou l'autre. D’après futura-sciences, l’objectif de la respiration alternée est « d’équilibrer les énergies qui circuleraient par les deux canaux passant par nos narines. En effet, selon les principes du yoga, le côté gauche de notre souffle renvoie au féminin, au froid, au paisible, au calme, etc. Le côté droit, quant à lui, représente le masculin, le chaud, l'actif, etc. Ainsi, si le cycle nasal est déséquilibré, c'est notre équilibre qui pourrait en être tout chamboulé... ». Une bonne respiration bien assimilée nous invite à une meilleure connaissance de nous-mêmes car elle constitue le pont entre le corps et l'esprit, somme toute elle est le lien entre le conscient et l'inconscient à travers une fonction volontaire ou non. Comme l’écrivait en son temps Honoré de Balzac “Le regard, la voix, la respiration, la démarche sont identiques ; mais comme il n'a pas été donné à l'homme de pouvoir veiller à la fois sur ces quatre expressions simultanées de sa pensée, cherchez celle qui dit vrai, vous connaîtrez l'homme tout entier.”

 

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Les entreprises accordent de plus en plus, une place importante au bonheur de leurs employés. Avec la montée en puissance des salariés assujettis aux crises de « burn out », elles sont dans la recherche permanente de nouvelles idées. La nouvelle venue, c’est : le smart working.

 

Pourquoi repenser le travail en entreprises ?

Avec l’évolution de la société moderne, les salariés sont soumis à un stress constant. Dans de nombreux pays en particulier la France, il n’est pas rare de voir des personnes rentrer très tard avec l’impossibilité de consacrer du temps à d’autres activités ou à la famille. D’autres trouvent même cela normal et le prennent pour une preuve d’efficacité. Mais contrairement à cet état de choses, les pays scandinaves et anglo-saxons voient d’un très mauvais œil le fait de revenir tard du boulot.

Cela s’assimile même pour eux à une mauvaise organisation comme le fait remarquer l’expert en gestion du temps du cabinet Dalett, Gérard Rodach. Cette situation crée parfois des conflits, car la vie professionnelle tend à se confondre avec la vie privée. Et d’après une étude de l’IFOP, près de 78% des travailleurs consultent leurs mails durant leur temps de repos.

 

smart working

 

 

Comment retrouver le bonheur au travail ?

De nombreuses méthodes existent pour permettre de retrouver le bonheur au travail.

Le géant des services informatiques Atos lançait il y a quatre ans, un projet qui a permis de dégager 25% de temps avec une chute de 70% des mails interne : il s’agissait de son objectif zéro e-mail. Les différents échanges s’effectuant à travers le réseau social de l’entreprise, le directeur du travail collaboratif François-Régis d’Anselme affirmait que cela permettait à l’information de ne plus être subie, mais plutôt choisie.

Il n’est pas rare de constater que les réunions tendent à s’éterniser sans être pour autant efficaces et efficientes. Il est donc important de mettre en œuvre des stratégies visant à passer moins de temps en réunion. Chez Elan Edelman par exemple, l’ordre du jour est envoyé en avance, avec un temps limité lors des prises de paroles. D’un autre côté chez Adidas, tout le monde n’est pas tenu d’assister à la réunion jusqu’à la fin, car cette dernière est séquencée.

De nombreuses entreprises développent de plus en plus des salles dites « espaces de silence » ou des employés sont encouragés à passer du temps. D’autres comme Adidas ont créé des salles de sport pour leurs employés.

Certaines entreprises pour laisser leurs employés profiter d’une vie après le boulot ont opté pour une limitation des heures. Par exemple, les bureaux sont fermés à 20 heures chez Wavestone, 21 heures chez Elan Edelman. Par ailleurs, les temps de réunions sont assez limités avec une bonne planification.

L’un des défauts des managers submergés par le travail, c’est qu’ils veulent tout contrôler. Il est donc essentiel qu’ils fassent confiance à leurs collaborateurs afin de déléguer le travail.

Si on devait choisir un thème qui fait débat, la radiesthésie retiendrait notre attention, tant ce sujet à controverse reste dans l’impasse. Pour certains, ce procédé divinatoire repose sur une croyance engendrée par la sensibilité des êtres vivants à certaines radiations émises par un tiers (minéral, végétal, animal, humain, substances chimiques...). Pour d’autres, les mouvements d’un pendule ou d’une baguette seraient engendrés par « un phénomène psychologique où un sujet exécute des mouvements musculaires inconscients » appelé effet idéomoteur... Les spéculations vont bon train et il est difficile de se retrouver dans ce capharnaüm. Du côté de la science, des études rigoureuses menées (entre autres) à l'université de Munich ou Kassel, n'ont nullement prouvé l’efficacité de la radiesthésie. Les essais scientifiques de Michael Faraday (physicien), Eugène Chevreul (chimiste) et de William James et Ray Hyman (psychologues) ont démontré que la majorité des phénomènes dits paranormaux (énergies spirituelles, forces mystérieuses...) peuvent être dus à l'effet idéomoteur, à l’insu du plein gré des « personnes honnêtes et intelligentes dont les suggestions peuvent influencer le comportement ».

 

Le mot « radiesthésie » (du latin radius, « rayon » et du grec aisthêsis, « sensibilité ») fut inventé par les abbés Bouly et Bayard. Les accessoires les plus utilisés sont le pendule, différentes baguettes et plus récemment l’antenne de Lecher (invention d’Ernst Lecher) qui aurait non seulement le pouvoir de tester (réception), mais aussi celui d'émettre. A noter que certains radiesthésistes n’utilisent aucun support pour effectuer des recherches. Le plus étonnant est que la radiesthésie remonterait non pas à plus de 3000 ans avant JC comme l’atteste un bas-relief retrouvé en Chine, mais à 4500 - 5000 ans, comme le prouvent les premières traces de son usage découvertes en Bretagne. La première description écrite date de 1556 dans l'ouvrage du savant Allemand Georgius Agricola sur les techniques minières.

 

Des questions en lien avec la radiesthésie (souvent restées sans réponse) s’imposent :
- Est-elle un mythe, un fantasme ou une réalité ?
- Doit-on considérer la sourcellerie (chercher de l'eau dans le sol), la géobiologie (étude de l'ensemble des influences de l'environnement sur le vivant), la radionique (ondes de forme)... comme des véritables sciences ou du pur charlatanisme ?
- La radiesthésie serait-elle l’art de voir l’invisible ?
- Est-ce le subconscient qui oriente le pendule ou la présence d’ondes de forme qui le dirigent ?
- Les protocoles expérimentaux scientifiques qui contrecarrent les affirmations des radiesthésistes sont-ils inadéquats ou inadaptés ?
- ...

 

Si la science a choisi son camp depuis bien longtemps, le public n’est pas en adéquation avec les conclusions des experts scientifiques. Pour une grande majorité de défenseurs de la radiesthésie et de la géobiologie, de nombreux champs de rayonnement (Lignes Curry, Hartmann et Ley) ne seraient pas mesurables via des moyens modernes. Il est vrai que l’exemple du radon (gaz noble radioactif, incolore, inodore et d'origine le plus souvent naturelle), longtemps mis en avant par les amateurs du pendule et de la baguette universelle, ne fut confirmé que depuis peu par les scientifiques. Mais certains problèmes géométriques et de polarité infirmeraient les théories des sourciers et autres géobiologues. Parmi les « détracteurs » de la radiesthésie, une personne se pose la question suivante : « Avec de tels "puissants outils" à leur disposition, pourquoi ne s'en servent-il pas de façon vraiment utile au service de l'humanité, par exemple en détectant les milliers de mines anti-personnelles qui amputent encore de nos jours des centaines de personnes ?...Les baguettes en L, en Y, le pendule, le bobber (ou baguette universelle), l’antenne de lecher, le corps humain lui-même... peuvent-ils détecter les rayons E à l’heure ou la technologie de pointe très sensible est capable de mesurer l'activité du cerveau, les signaux des satellites géostationnaires dans l'univers, les fréquences radios des étoiles, le rayonnement fossile de l'univers... ? Ces rayons-E auraient déjà dû être détectés et mesurés depuis bien longtemps s'ils étaient réellement de nature électromagnétique. Pour certains signaux, venant des confins de notre système solaire, la puissance est de l'ordre de 20 watts (soit celle d'une ampoule). Nous serions donc capables de détecter un rayonnement éloigné de millions de kilomètres mais incapables de détecter celui des champs négatifs terrestres ? ». Il est vrai que ces arguments jettent une pierre dans le jardin des radiesthésistes. Et pourtant Charles Richet, prix Nobel de médecine et de physiologie déclarait en son temps « Nous devons accepter la radiesthésie comme un fait. Il est inutile de faire des expériences pour prouver son existence. Elle existe. Ce qu'il faut maintenant, c'est en développer les possibilités. »

 

La radiesthésie qui, on ne peut le nier, a des bases scientifiques, fut pratiquée par de très célèbres hommes de sciences tel l’inventeur de la bombe H atomique Française, le Pr Yves Rocard. Ce fervent défenseur de la radiesthésie a d’ailleurs écrit de nombreux ouvrages, véritables références sur le sujet. "Là où la technologie, c’est-à-dire la science appliquée, s’est avérée incapable de produire un instrument de mesurage valable, le Pr Walter Kunnen pense pouvoir apporter la preuve, contrôlable et donc scientifique, que l’être humain, moyennant une formation ad hoc, et à condition de disposer d’une antenne Lecher dûment étalonnée, est capable d’effectuer des mesurages parfaitement reproductibles, sans précédents dans le monde de la radiesthésie... ». Comme on peut le constater, le débat est ouvert entre les physiciens, les scientifiques (qui attendent les preuves de nouvelles lois fondamentales de la physique) versus les adeptes de la théorie du complot scientifique contre la radiesthésie ou la sourcellerie.

 

Du côté de la communauté scientifique, on avance que depuis des centaines d’années, aucune preuve tangible n’est venue conforter les dires des radiesthésistes malgré les tentatives officielles effectuées pour affirmer les conclusions des géobiologues -radiesthésistes. Et pourtant, des milliers d’exemples confirment les dires de ces derniers, notamment dans l’art de chercher de l’eau. Ces « Monsieur tout le monde », réputés dans le monde entier, sont loin d’être des fantasmes. Du Sahara à nos vertes campagnes, de la Chine à l’Argentine, tout le monde connait un sourcier armé d’un pendule ou d’une branche en bois de coudrier, capable de trouver de l’eau pour créer un puits. Pour certains, c’est le fruit du hasard, pour d’autres (tel le Professeur Rocard) c’est la preuve que « la baguette joue le rôle de simple détecteur d'un tremblement inconscient plus ou moins prononcé des mains et provoqué par une variation géophysique du champ magnétique terrestre ». D’ailleurs des sourciers auraient été utilisés par les différentes armées pendant la guerre de 14/18, dans le but de détecter des galeries, des caches et des mines (recherches publiées par Armand Viré Directeur de laboratoire au muséum d'histoire naturelle, Henri Mager et l'abbé Bouly).

 

Dans l’attente de preuves tangibles scientifiques, jamais ce proverbe Anglais n’aura « sonné » aussi juste. « Nul ne détient la vérité, même une horloge arrêtée a raison 2 fois par jour ».

 

 

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Parmi les innovations de ces dernières années, trotte en bonne place le casque de réalité virtuelle. De plus en plus utilisé dans la médecine, les jeux vidéo et le cinéma, il a fait son entrée dans le domaine de la méditation et est une expérience extraordinaire à faire. Explications

 

Les bénéfices de la méditation

La méditation est l’action de s’abandonner à une réflexion profonde tout en se concentrant sur un point, un but, un guide. Elle a un effet assez positif puisqu’elle permet de s’éloigner du flot de pensées quotidien et de dissiper le stress accumulé, surtout avec les nombreux inconvénients de la vie moderne.

Elle a de nombreux autres avantages, dont l’amélioration de la nature du sommeil, le développement d’un meilleur équilibre émotionnel, l’amélioration de la qualité de la santé et le développement de la pleine conscience à relativiser. Même si c’est un exercice qui peut s’avérer un peu compliqué pour les débutants, il est assez bénéfique dans le but d’avoir un mode de vie plus sain et positif. Et pour faciliter les choses, la technologie met à ce jour à notre disposition la réalité virtuelle.

 

réalité virtuelle meditation

 

Une immersion totale

Il est de plus en plus loin le temps où l'on associait la méditation à un exercice qui consistait à être assis à ras le sol, les jambes croisées pendant des heures, le tout sur un fond de musique assez nonchalant.  Avec la réalité virtuelle, cet exercice longtemps paru ennuyeux est devenu assez tendance, plus facile et même plus amusant en le transformant en une véritable activité ludique.

La méditation étant une activité permettant de se focaliser sur un point tout en se concentrant sur ses sentiments et sensations, le casque de réalité virtuelle est un véritable atout. En effet, ce dernier utilise tous les sens. Avec ses écouteurs et son écran, il exploite et utilise les principaux sens que sont l’ouï et la vue. Ainsi donc, il permet à son utilisateur de vivre une expérience totale et complète d’immersion.

Si vous désirez pour vous déstresser vous retrouver en bordure de mer ou en pleine forêt, vous n’aurez plus aucune difficulté à cela, puisqu’avec les images et le son à l’appui, cela devient très facile. Vous aurez la sensation d’être dans l’image projetée à l’écran tout en gardant pleine conscience de votre corps et des sensations. La difficulté principale est que cette technologie n’est pas encore assez démocratisée et comporte un aspect financier qui n’est pas du tout négligeable.

Mais si vous avez envie de la tester, deux options s’offrent à vous : l’une consiste radicalement à avoir chez soi un casque de réalité virtuelle afin de pouvoir faire à tout moment les exercices et en tester les options ; et l’autre consiste à s’inscrire et à se rendre à des séances organisées de façon ponctuelle dans de nombreux hôpitaux ou centres de bien-être. Il y a notamment le programme Diacalm qui propose différents tarifs à tous ceux qui aimeraient tester cette nouvelle méthode.

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