Aussi demandons-nous si notre corps ne recèle pas des structures musculaires ou osseuses équivalentes à de petites cloches légères dans le haut et de grosses cloches compactes dans le bas. A ma connaissance, rien de cela n’existe. Bien au contraire, alors que les muscles et os ont à peu près la même consistance dans le haut et le bas du corps, chacun ressent les résonances s’étager en gros de la même façon, qu’il soit lourd, dense et grand, ou petit, léger, aérien, homme ou femme. Cela n’est donc pas uniquement un phénomène physique. Or le corps est sous-tendu par un emboitement de corps subtils et un réseau de chakras. Ce sont les chakras qui semblent correspondre à ces structures résonnantes. Les chakras sont des structures énergétiques associées à des régions de notre corps qui régulent les principales fonctions du corps (voir article Les corps énergétiques et les chakras). Il faut également prendre en compte que chakras et corps subtils sont reliés à l’environnement et à l’univers et non pas des structures isolées, et que de plus tout cela est influencé et modulé par notre mental (voir plus loin l’influence de l’imaginaire). L’étagement des résonances dans le corps en fonction des hauteurs de notes se retrouve logiquement dans les chakras. La gamme de 7 notes se déploie sur les 7 chakras, du DO au niveau du chakra racine au SI au chakra de la couronne. La tradition indienne en a fait une méditation connue sous le nom de Sapta Swara qui veut dire “méditation des 7 notes”. Toutefois, ces notes ne sont pas fixées en hauteur absolue. Le LA est définie par une fréquence, par exemple 440 hertz ou une autre valeur, est une notion moderne. Autrement dit, on peut sentir que la note convenable du bas n’est pas obligatoirement un DO moderne. De même, la gamme n’est pas obligatoirement la gamme majeure occidentale. Les notes peuvent appartenir à un autre mode, c’est-à-dire comporter des dièses et des bémols.
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