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Les vertus de la méditation ne sont plus à démontrer à ce jour. Plusieurs études dont celle réalisée par l’Inserm montrent que la méditation permet une réduction non négligeable du stress, de l’anxiété, et est vraiment réparatrice pour le sommeil. Elle a donc un effet positif indéniable sur la santé.

 

Des études confirment l’hypothèse

Dans les années 2015, une étude faite par une université américaine a démontré à l’aide de preuves scientifiques et d'expériences que la méditation avait vraiment un impact positif sur le processus de vieillissement. D’après une autre étude menée par Gaël Chételat à Caen et à Lyon pour le compte de l’Inserm, les personnes pratiquant la méditation depuis plusieurs années avec au compteur entre 15000 à 30000 heures avaient un système cérébral assez protégé du processus de vieillissement.

 

Une étude réalisée sur des experts en méditation

Cette étude s’est principalement basée sur 73 personnes dont l’âge moyen était de 65 ans. Parmi ces séniors, six étaient des personnes expertes en méditation tandis que le reste du groupe était des non-pratiquants. Pour les besoins d’une étude assez complète, un autre groupe de personnes, 186au total, a été ajouté avec une tranche d’âge comprise entre 20 et 87 ans. L’étude visait essentiellement à évaluer les effets de la pratique de la méditation sur le cerveau ainsi que les conséquences classiques de la vieillesse.

 

femme qui mediteDes résultats assez parlants

Il est important comme le fait remarquer Gaël Chételat de savoir que les zones de notre cerveau sur lesquels nous agissons au cours des séances de méditation sont essentiellement celles les plus assujetties aux conséquences de l’âge. Ce sont ces zones qui commandent nos différentes émotions et contrôlent le mécanisme d’exécution et d’attention. Parmi ces zones, on peut citer en exemple le cortex cingulaire postérieur qui a un rôle important au sein de notre mémoire.

L’étude menée a révélé dans une même tranche d’âge que ceux qui pratiquaient énormément la méditation avaient ces zones du cerveau plus grosses et moins stressées que ceux qui n’étaient pas pratiquants. Par ailleurs, il est à souligner que les pratiquants de la méditation étaient plus performants au niveau de la mémoire.

Ajoutons à cela comme l’affirme la chercheuse Carole Chatelain que la plus grande taille de ces zones cérébrales chez ces derniers montre que les fonctions cognitives comme la mémoire ou l’attention, qui sont habituellement détériorées avec le poids de l’âge, sont mieux préservées. Enfin, il est à noter que la méditation a un impact positif sur la qualité du sommeil. Et comme il est de notoriété publique, une personne qui dort bien à un organisme fort et un bon processus de régénération cellulaire.

Même si une étude de grande ampleur devra encore être menée pour confirmer tout cela, il est déjà assez clair d’après les différents chercheurs sur le sujet que la méditation prend une part importante dans le ralentissement du processus de vieillissement et que cette dernière permet de retarder l’apparition des maladies cérébrales comme Alzheimer par exemple.

Jusqu’à aujourd’hui, la conscience des personnes dans le coma intéresse toujours les chercheurs. Elle représente un cham d’études qui pourrait connaître une évolution actuellement. Les neurologues ont découvert que la pensée a un mode de fonctionnement surprenant et qu’une nouvelle approche basée sur les interactions entre le cœur et le cerveau pourrait faire avancer le diagnostic neurologique des individus dans le coma.

 

A propos de l’approche

Cette nouvelle approche consiste à explorer les interactions entre le cœur et le cerveau. Les scientifiques de l’Inserm ont étudié les données de 127 personnes en état végétatif ou de conscience minimale. Ils ont découvert que l’activité cardiaque fonctionne suivant la perception d’une stimulation externe dans le cas des comateux conscients ou un minimum conscients. Ils ont couplé un test cardiaque avec un EEG et étudié le rythme des battements cardiaques des patients auxquels on a fait écouter des sons répétitifs entrecoupés par des variations aléatoires. Les scientifiques ont étudié le rythme des battements cardiaques pendant ces séquences. S’ils émettent des changements, cela signifie que les patients ont conscience des bruits qui les entourent.

conscience coma

Quelques explications

Stanislas Dehaene, directeur de l'unité de neuro-imagerie cognitive Inserm-CEA et titulaire de la chaire de psychologie cognitive expérimentale au Collège de France, explique le fonctionnement de l’état cérébral chez une personne normale et une personne comateuse. Selon lui, notre cerveau fonctionne suivant différents phases en une journée. Il produit des ondes rapides appelées bêta ou ultrarapides dites gamma lorsque nous nous adonnons à une forte activité intellectuelle. Lorsque nous nous reposons avec les yeux fermés, notre cerveau émet des ondes alpha qui passent vers les ondes thêta en ralentissant lorsque l’on dort ou en cas de méditation. Durant le sommeil profond, notre cerveau se met en mode veille et n’émet qu’un tracé de près de 0,5 Hz appelé onde delta.

 

Le fonctionnement cérébral d’un comateux

Selon les explications de Stanislas Dehaene, « L'électroencéphalogramme d'une personne plongée dans le coma a la même signature que ces ondes delta. Dans cet état marqué par des amplitudes cérébrales lentes, les réflexes demeurent. Un patient peut par exemple réagir à un pincement ou à un son nouveau. » Toutefois, elle ne peut être considérée comme consciente car ces signes d’éveil ne sont pas toujours issues d’une pensée. Les opérations se passent de façon non consciente dans la tête d’une personne comateuse en moins d’une seconde.

Le cerveau peut réagir momentanément face à une image ou un mot intégré dans un film. Cela ne dure qu’en très peu de temps et ne s’inscrit pas dans la mémoire. Ainsi, le sujet dans le coma n’est pas capable de s’en souvenir lorsqu’il sort de son état végétatif. S’il parvient à rapporter cette image ou ce mot comme un souvenir, cela signifie qu’il a connu un état de conscience dans son coma. Si le patient ne peut pas le rapporter, alors « on perd tout contact avec l'expérience », continue Stanislas Dehaene.

 

Comment cela se passe dans l’état comateux

La fonction cérébrale dans le coma est stimulée et traite une information avant de retomber. Afin de permettre à la personne d’être consciente, il faut amplifier la réaction afin que d’autres zones corticales soient atteintes par l’information qui sert ici de déclencheur. On assiste alors à un partage de l’information. Son traitement devient possible via une mise en mémoire ou si on entame un dialogue avec le patient. La conscience connaît une renaissance, un phénomène que les neuroscientifiques appellent « effet de réverbération ». Cela aboutit à des échanges électriques cohérents et stables entre des parties éloignées du cerveau. Un cerveau comateux, par contre, ne peut pas traiter les échanges de manière stable malgré l’existence de l’activité électrique.

Une personne dort pendant près de sept heures chaque jour. Il passe donc un tiers de sa journée à dormir. Pendant le sommeil, son corps se relaxe et essaie de reprendre des forces pour la journée suivante. Cependant, plus une personne vieillit, plus son sommeil diminue. La nuit de sommeil d’une personne de soixante-dix ans n’est pas identique à celle d’une personne de vingt ans.

Le fonctionnement du sommeil

Le cerveau suit quatre phases bien précises pour mettre notre corps en état de sommeil. Pendant la première phase appelée endormissement ou ondes cérébrales alpha, le cerveau consacre une dizaine de minutes pour passer de l’état d’éveil à l’état du sommeil. Ensuite, il passe au sommeil  léger ou ondes thêta. Avant de passer à la dernière phase appelée sommeil lent profond, le cerveau passe au sommeil léger ou ondes delta.

 

Le sommeil varie d’un dormeur à un autre

Il est à noter que le temps de sommeil varie d’une personne à une autre. Pour certains, sept heures de sommeil suffisent pour affronter une journée tandis que pour d’autres, onze heures de sommeil ne semblent pas suffisantes. Les personnes âgées ont souvent l’impression de mal dormir. Cela est dû à l’augmentation du temps d’éveil partiel qui peut atteindre les 30 éveils par nuit pour une personne âgée de cinquante ans. Les temps d’éveil partiels d’un enfant de cinq ans ne sont qu’au nombre de quatre ou cinq. On peut ainsi en déduire qu’ils se multiplient avec l’âge. Cette diminution du sommeil est constatée à la quatrième phase qui devient un sommeil plus léger.  Mais il est difficile de compenser le manque de sommeil pendant la nuit avec le sommeil matinal car le corps s’est déjà habitué à des horaires fixés auparavant.

bien dormir

Qu’en est-il de la sieste ?

Que nous soyons âgés de sept ou soixante-dix sept ans, la sieste fait partie de notre quotidien. L’envie d’une sieste peut survenir à n’importe quel moment de la journée. Elle provient du sommeil diurne. Elle peut durer dix minutes chez une personne âgée et jusqu’à vingt minutes chez les jeunes. Il est fortement conseillé de faire une sieste de vingt à trente minutes tous les jours, sauf si l’on a des difficultés à dormir.

A propos de l’insomnie

Ces difficultés à dormir peuvent être engendrées par l’insomnie ou provoquer ce trouble du sommeil. Plusieurs personnes âgées souffrent d’insomnie. Le stress, les problèmes médicaux et différents autres facteurs peuvent en être à l’origine. Il existe deux types d’insomnie dont l’insomnie occasionnelle que l’on considère comme normale et l’insomnie chronique. Si une personne est atteinte d’insomnie chronique, il est préférable de la soigner. Avec l’âge, des maladies pouvant causer des troubles au niveau du sommeil tels que l’insomnie surgissent. Il s’agit des  maladies respiratoires, des angines de poitrine, du diabète, des problèmes vésicaux et de la prise de certains médicaments.

 

L’apnée du sommeil

A part l’insomnie, l’apnée du sommeil est aussi un facteur de manque de sommeil. Elle est due à l’arrêt total de la respiration pendant la nuit. Comme le sommeil permet à notre corps de se relaxer, la fréquence respiratoire n’est pas la même que lorsqu’on est éveillé. Elle ralentit au cours du sommeil et peut même s’arrêter. Ce phénomène est considéré comme étant normal. Toutefois, si l’apnée d’une personne dépasse le nombre de cinq, celle-ci est considérée comme étant un syndrome. Ainsi, il est préférable de consulter un spécialiste de cette maladie pour éviter les complications.

Comment bien dormir la nuit ?

Voici quelques astuces pour passer une bonne nuit de sommeil. D’abord, sachez que l’abus d’alcool au  dîner est fortement déconseillé. Il faut aussi éviter de faire des activités sportives très tard dans la soirée. Ne mangez  pas trop et essayez de pratiquer des activités reposantes comme le Yoga le soir. Evitez les excitants et surtout essayez de vider votre esprit avant de dormir. Cela vous aidera a bien vous relaxer. Il existe une méthode appelée sophrologie pour vous aider à mieux vous relaxer. Elle consiste à bien harmoniser le corps et l’esprit pour une meilleure connaissance de soi. Sur ce, dormez bien !

Relaxation psychosomatique

Un génie qui a toujours défendu l’idée majeure De la conscience du corps à la maîtrise du mental

Savez-vous qui fut couronné « Apollon 1935 » et plus bel athlète de France en 1936 et en 1943 ? Pour tous les culturistes de son époque et du 20éme siècle, cet homme est le chef de file du culturisme, mais il est avant tout un homme remarquable, un chercheur infatigable, un humaniste d’avant garde qui nous a légué une oeuvre de culture humaine considérable en lien avec les méthodes de développement personnel. Son nom : Marcel ROUET.

Né en 1909 et décédé en 1982 à la suite d’une intervention chirurgicale bénigne, Richard RAMOND nous rappelle dans un article consacré à Marcel ROUET, que ce chercheur à l’esprit curieux était « Professeur de culture physique, créateur de la culture physique scientifique (par zones corporelles) appliquée au tempérament humain, Docteur en Psychosomatique, écrivain et conférencier, Officier d'Académie (Palmes Académiques), médaillé du Ministère de la jeunesse et du Sport pour services rendus à l'Education Physique, créateur de la Psycho- Morpho-Synthèse appliquée à la Culture Humaine, concepteur de la Relaxation Psychosomatique appliquée à travers le monde et du Reconditionnement Psychophagique, (tiré de sa méthode d'Amaigrissement Psychosomatique concernant le traitement des obésités et cellulites d'origine psychique), créateur des méthodes de Kinélaxie, d'Hypnophorèse et de Reconditionnement par le Psychodiovisuel, Fondateur du culturisme intégral véritable philosophie de l'existence... ». Un curriculum vitae long comme le bras et une réputation internationale amplement méritée. Il faut dire que Marcel ROUET s'intéressa avec succès à de nombreux sujets tels, l'hypnose, l’occultisme, la psychologie, la suggestion, la diététique la psychosomatique, la sexualité, les sciences psychiques, le magnétisme, l'hygiène physique, l'éducation sportive par l'entraînement athlétique, la maîtrise de soi par l'éducation mentale, la relaxation... somme toute Marcel ROUET fut un personnage hors du commun « à la recherche de l'équilibre humain sur tous les plans de sa personnalité » comme le résume si bien Mr RAMOND.

Parmi tous ses travaux, on peut citer ses recherches expérimentales avec l’hypnose, le magnétisme et la suggestion (traitement de la cellulite), « dans les cas extrêmes et douloureux » qui fit l’objet d’une thèse intitulée "Le Traitement de la Cellulite dans l'Anesthésie Magnétique", rééditée avec de nouveaux arguments en 1981 sous le titre « Psychosomatique de la cellulite par l'hypnose la relaxation la sophrologie » (Editions Maloine). Le mérite de la synthèse de Marcel ROUET est d’avoir su et pu réaliser une synthèse sous forme de méthode scientifique aux aspects multiples, capable de s’adapter au simple quidam, à travers différents exercices physiques, respiratoires ou en lien avec la relaxologie. Richard RAMOND le souligne dans ses écrits « Marcel ROUET a posé les bases d'une méthode moderne de transformation plastique qui rétablit l'équilibre endocrinien, nerveux, humoral de la femme avant de la soumettre à des exercices musculaires. En résumé, il a créé une méthode synthétique, en jetant les bases pratiques d'un humanisme moderne, il a forgé l'instrument de la Rénovation de l'Etre Humain. Sa méthode, utilisée par tous ceux qui recherchent l'équilibre de la personne humaine, doit servir de modèle et de canevas à une méthode officielle, cohérente et efficace de culture humaine applicable à la collectivité, pour toutes les races et sous toutes les latitudes... ». A l’instar du professeur John MEDINA, (biologiste moléculaire du développement et enseignant- consultant-chercheur), reconnu comme l'un des plus grands neuroscientifiques de notre époque (auteur des "12 Lois du cerveau"), Marcel ROUET a toujours défendu les notions d’unicité et la relation du corps de l'esprit de l'être humain. Il a bouleversé les codes moraux en lien avec la culture physique féminine, la sexualité... et la « Relaxation psychosomatique », dont il écrira un best seller en 1960, une véritable référence dans le monde entier. De nombreux professionnels de la santé ont opté pour la relaxation psychosomatique, capable d’annihiler les effets des agents stressants négatifs, « une méthode de relaxation qui repose sur l'imprégnation du subconscient par l'écoute d'enregistrements spécifiques » dixit Mr RAMOND.

 

Les bienfaits de la relaxation psychosomatique

La relaxation psychosomatique est l’action en synergie du psychisme et du physique, du mental et du corps à travers la relaxation. « Ce n’est que lorsque les réflexes de détente sont bien établis, que la prise de conscience en prend le relais pour prolonger dans le temps les effets bénéfiques de la relaxation. » dixit le créateur de cette méthode qui agit dans le sens du rééquilibre fonctionnel. « Par son action de régulation du système sympathique, celle-ci retentissant favorablement sur le fonctionnement glandulaire ». Les bienfaits de la relaxation psychosomatique découlent de la récupération des énergies, de la régulation des organes, de la réduction des tensions, de la gestion émotionnelle, du renforcement des aptitudes physiques et mentales...Elle s’adresse également à celles et ceux qui souffrent de troubles, nerveux, de la nutrition, sexuels, cérébraux, intoxications (alcool, tabac, drogue...). A noter que cette méthode est également une excellente préparation psychologique à l'accouchement sans douleur...

De « L'amaigrissement par l'hypnose », à l’encyclopédie (six volumes) consacrés à la sexologie du « Dictionnaire de la Culture Physique » à la Psycho-Morpho-Synthèse (une méthode de pensée originale « modulable suivant l’individu »), de la relaxologie à l’amaigrissement psychosomatique et au reconditionnement psychophagique, de la prânoxygéno-relaxation à la méthode d’hypnophorèse, de la psycho-morpho-synthèse à la méthode de psychodiovisuelle... Marcel ROUET, chercheur et auteur prolifique (plus de 60 ouvrages) a toujours œuvré pour un monde meilleur, un esprit sain dans un corps sain, persuadé que nous avons un potentiel énorme qui sommeille en nous, comme il le souligne dans son dernier ouvrage testament "La Maîtrise de votre Subconscient".

Suite à une intervention chirurgicale d'une hernie inguinale, Marcel Rouet décède le 3 décembre 1982 d’une embolie. Un « génie de la forme » nous quittait sans jamais avoir été malade. Aujourd’hui il est possible de découvrir son œuvre à travers ses nombreux livres, un véritable héritage pour toutes et tous, plus ou moins enclins aux agents stressants négatifs engendrés par une société aseptisée, formatée et sans âme.

 

 

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Dans le domaine du chamanisme, chacun a son animal-totem. Il peut s’agir d’un tigre, d’un loup et souvent d’un animal que vous semblez convoiter sans en connaître la raison. Une enseignante chamanique ayant étudié à la Foundation for Shamanic Studies (FSS) aux Etats-Unis, explique que l’animal-totem ou animal de pouvoir est un pont entre notre être et les qualités du monde animal. De ce fait, chaque individu a son propre animal-totem également appelé « guide » dans la tradition chamanique.

Les totems et leurs histoires

Avant de bien comprendre comment fonctionne la rencontre avec son animal-totem, il est primordial de savoir d'où viennent vraiment les totems. Sculptés dans du cèdre rouge par les amérindiens, les totems ont été faits en forme d'animal. Chaque animal présent sur un totem représentait une chose précise pour les Amérindiens. Il peut s’agir d’un trait de caractère. A l'époque, les totems représentaient une force surnaturelle qui avait la capacité de transmettre ses pouvoirs aux Indiens. Les totems étaient utilisés pendant les cérémonies importantes et comportaient plusieurs figures placées les unes sur les autres et qui se lisaient de haut en bas. Ils comportaient également les histoires des ancêtres de la tribu. Les rituels qui sont liés aux totems ne sont exécutés que par des chamanes, les seuls êtres possédant le pouvoir de nous faire rencontrer notre animal-totem.

Rencontrer son animal-totem

animal-totem 2Il est possible de rencontrer son animal-totem pendant une simple promenade. Certes, il est possible de croiser plusieurs animaux en se promenant. Toutefois, notre façon de voir les choses peut différencier une simple balade d’une rencontre entre notre animal-totem. Il ne faut pas oublier que la nature en elle-même est une porte qui nous montre constamment de nouveaux horizons. Elle serait même capable de nous indiquer le chemin de la spiritualité. Pour ce faire, il faut bien sûr être attentif à notre environnement quand nous nous promenons car notre animal-totem peut prendre forme n'importe où et peut même être représenté par un simple rocher ou encore un arbre.

Votre animal-totem peut également être cet oiseau qui vous survole pendant votre marche ou un animal que vous croisez subitement. Comment savoir qu’il s’agit de votre animal-totem ? Quand vous rencontrez un simple animal, rien ne se passe, la rencontre est ordinaire. Lorsque vous vous retrouvez face à votre animal-totem, vous ressentez une sensation particulière. C’est comme si vous étiez lié à cet animal et attiré par lui. Il ne faut pas se trouver dans la nature pour rencontrer son animal-totem. L’image d’un animal sur une affiche publicitaire ou un t-shirt qui vous attire et semble vous parler peut être une représentation de votre animal-totem qui essaie de s’adresser à vous.

Rencontrer son animal-totem grâce à un chaman

En remontant un peu dans le temps, on s’aperçoit que la pratique la plus courante pour rencontrer son animal-totem est de faire appel à un chaman. Le chaman est considéré comme la personne nouant un lien spirituel très fort avec l'animal-totem. Le chamanisme, quant à lui, représente la voie spirituelle qui lie profondément l'homme à la nature. Souvent, pour entrer en contact avec l'animal-totem, les chamans dansent tout en frappant leurs tambours. Cette pratique leur permet d’entrer en état de conscience modifiée. Il s’agit de la danse de l’Esprit Gardien qui s’accompagne des gestes qui correspondent aux animaux de pouvoir ou animaux-totems. Pour entrer en contact avec l'animal-totem, les chamans font un rituel appelé « voyage chamanique ». Lors de cette cérémonie, ils se connectent au pouvoir qu'il y a dans le monde animal et établissent un lien entre l'animal-totem et la personne en phase avec elle.

Le chamanisme nous fait découvrir qu'il existe une autre vie plus profonde que notre monde où résident des esprits qui veillent sur nous avec compassion et amour. D'après la thérapeute pratiquante chamanique Sandra Ingerman, cette autre vie peut apparaitre dans notre vie sous forme d'animal, d'un arbre ou encore d'une plante. Il ne faut pas oublier qu'une bonne relation entre le monde animal et les humains est très importante dans le chamanisme.

L'animal-totem est considéré comme l'animal du pouvoir car il y a une spécificité entre les bienfaits de chaque animal gravé sur un totem. Cette spécificité varie selon l'animal-totem. Certains ont le pouvoir de "médecine" ou encore de "force". D’autres que l'on connaît bien possèdent d’autres spécificités. L'ours, par exemple, représente l'intériorité, le cerf symbolise le leadership tandis que l'aigle est synonyme de vision perçante…

Comprendre le message envoyé par l’animal-totem

chamanLe fait de rencontrer son animal-totem par hasard peut être un signe. Cet animal a souvent un message à nous transmettre. Nous devons apprendre à le décrypter car cela peut avoir une influence sur notre vie. Le plus souvent, votre animal-totem peut vous apparaître dans un moment décisif de votre vie. Il peut alors vous aider dans cette période. Il ne faut pas oublier que l'animal-totem est votre guide spirituel et qu'il est toujours là pour votre bien. Il peut vous éclairer, vous aider à résoudre votre problème ou encore vous guider. Il vous soutiendra comme vous ne l’avez jamais été et vous donnera une force que vous ne soupçonniez pas auparavant.

Dans notre société aseptisée, assistée et formatée, nous évoluons quotidiennement « à l’insu de notre plein gré », parmi les agents stressants négatifs responsables d’une respiration erronée, bien loin de la respiration naturelle du nourrisson dite abdominale. Depuis notre premier cri jusqu’à notre dernier soupir, notre vie est ponctuée d’inspirations et d’expirations. Mais d’après les dernières données scientifiques, « ceux qui respirent vite, vivent moins longtemps que ceux qui ont une respiration plus lente ». Somme toute, on vit comme on respire. Malheureusement, alors avec le temps et le poids du stress, nous respirons de plus en plus mal, de plus avec la partie supérieure (thoracique), ce qui a une incidence sur le remplissage des poumons (utilisés à 50% seulement). Pourtant, à l’instar des nouveaux nés et des animaux, d’autres hommes en totale adéquation avec les lois universelles de la nature, respirent toujours avec la partie abdominale.

Aujourd’hui, on redécouvre les techniques respiratoires (occidentales ou orientales) profondes et régulières dont le but est de diminuer la fréquence BPM (battement par minute) et augmenter l’amplitude. Mieux encore, cette respiration volontaire et consciente permet non seulement d’atténuer les perturbations (sensorielles, cognitives et motrices) engendrées par une mauvaise gestion émotionnelle, mais surtout elle améliore les fonctions corporelles et psychologiques, préserve des maladies et accroit la résistance de l’organisme. Dans le cadre de la gestion émotionnelle, on sait dorénavant que la vie psychique influe bel et bien sur la respiration et... La respiration influe sur la vie psychique. Pour annihiler les effets néfastes des agents stressants négatifs, il faut en premier lieu prendre conscience des différents types de respiration et de la manière correcte de respirer et d’expirer (buccale et nasale). Dans la majorité des écoles dites de respiration (yoga, Qigong...), on retrouve trois étages en lien avec cette dernière. L’étage inférieur (diaphragme), l’étage moyen (thorax) et l’étage supérieur ou scapulaire.

Aujourd’hui, nous vous proposons des exercices orientés vers un objectif bien précis, la respiration volontaire, consciente et contrôlée, capable de gommer et éviter les effets négatifs propres au stress, souvent déclencheurs d’une hyperventilation spontanée. Le contrôle volontaire de la respiration corrige la capnie (ou PaCO2, pression partielle en dioxyde de carbone - c'est-à-dire gaz carbonique - dans le sang artériel) et prévient l’emballement de la panique. En parallèle avec le travail diaphragmatique, on inclut des apnées qui permettent de remonter le taux de CO2 dissout dans le sang. Le cycle de respiration volontaire est toujours le même : il se compose d’une inspiration lente suivie d’une rétention d’air ventre gonflé, puis d’une expiration lente suivie d’une apnée avec le ventre creusé.

 

La respiration tactique : 3333 ou 4444 :
Très efficace pour appréhender une situation à venir, prise de parole dans une conférence, examen, oral, entretien professionnel... mais également lors de situations de stress intense propres aux professionnels de la sécurité, de l’éducation, de l’administration ou de la santé... La technique 3333 ou 4444 consiste à effectuer trois fois un cycle de respiration complète en effectuant :

1-3 secondes d'inspiration nasale
2- 3 secondes de blocage respiratoire (apnée)
3- 3 secondes d'expiration buccale
4- 3 secondes de blocage respiratoire (apnée)

 

La respiration de pré-action : 331
Très efficace en complément de la respiration tactique, à effectuer juste avant une action. La technique s’appuie sur un cycle de 3 respirations :

1- Une respiration profonde de 3 secondes en respiration complète 2- Bloquez 3 secondes (apnée)
3- Expirez en 1 seconde (buccale)

 

La respiration pendant l’action : 2242
1- 2 secondes d'inspiration nasale
2- 2 secondes de blocage respiratoire 3- 4 secondes d'expiration buccale
4- 2 secondes de blocage respiratoire

 

La respiration post-action, apaisante ou relaxante : 2310/15/20 ou plus

Pour un retour au calme après une confrontation, un échange vif, une agression, une négociation difficile ou une journée stressante, chacun aspire à retrouver ses facultés, le calme, la sérénité... La technique consiste à effectuer 4 cycles de respirations complètes :

1- Inspiration rapide de 2 secondes
2- Blocage respiratoire de 3 secondes (apnée)
3- Expiration buccale de 10 à 15 secondes, voire plus

Lors de l’expiration buccale, imaginez que vous soufflez des bougies posées sur un gâteau avec les lèvres légèrement pincées. Il est possible et même recommandé d’associer mentalement une image qui vous sied (mer, nature, une couleur) lors de l'expiration buccale en associant votre vision à un mot ou une phrase synonyme de bien être, favorisant le retour au calme. Le cycle de respiration volontaire est toujours le même : il se compose d’une inspiration lente suivie d’une rétention d’air ventre gonflé, puis d’une expiration lente suivie d’une apnée avec le ventre creusé.

 

Apprendre à mieux respirer pour vivre mieux

Il n’est jamais trop tard pour apprendre à bien respirer car comme le constate le thérapeute Alain Marillac dans son guide Dynamique du souffle, « ... Notre quotidien affecte de mille et une manières notre comportement respiratoire... La première démarche est donc de prendre conscience de sa respiration ». En cas difficulté respiratoire, consultez votre médecin. Pratiquez quotidiennement une gymnastique respiratoire à travers des inspirations et des expirations profondes volontaires tel l’exercice de la cohérence cardiaque qui s’appuie sur le chiffre 365 (3 fois par jour, cycle inspiration/expiration calqué sur environ 6 secondes, pendant 5 minutes), un exercice qui augmente la circulation de l’oxygène dans le corps et permet « un massage régulier des organes abdominaux et du plexus, ce qui favorise la détente neuromusculaire ».

Le Pr Mounier-Vehier (Présidente de la Fédération française de cardiologie et chef du service de médecine vasculaire et hypertension artérielle au CHU de Lille) constate « L’effet bénéfique sur le stress, la pression artérielle et la fréquence cardiaque qui dure trois à six heures ». La relaxation avec de la musique ( voir Mental Waves) axée sur une respiration contrôlée, aide à diminuer la pression artérielle. La dépêche.fr nous révèle que « des chercheurs australiens de l'université de Melbourne et de l'université Macquarie ont mis en évidence l'activité entre les neurones pilotant la respiration et la tension lors du développement de l'hypertension, un facteur de risque prépondérant d'accident cardiovasculaire qui affecte 30% de la population mondiale... Les auteurs de l'étude expliquent ce phénomène par le lien entre la respiration et la tension artérielle qui se fait via le système parasympathique qui envoie des signaux nerveux au coeur et aux vaisseaux sanguins... ». Il est de bon ton de rappeler que les maladies cardiovasculaires sont à l’origine en France d’environ 150.000 morts chaque année, soit 28 % des décès. L’art du souffle est bel et bien notre meilleur allié santé... Il ne vous reste plus qu’à mettre en pratique les exercices recommandés ci-dessus !

 

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On entend souvent parler du fait que notre âme puisse avoir la possibilité de quitter notre corps et d’errer en tant qu’esprit. Ce sujet est discuté que ce soit dans le domaine religieux ou scientifique. Les personnes ayant expérimenté une expérience de mort imminente (EMI) et celles Est-ce réel ? Comment cela ce passe-t-il ? Reste-t-on toujours conscient quand notre âme sort de notre corps ?

 

Qu’est-ce que la décorporation

La décorporation est par définition le phénomène qui se produit quand notre âme s'échappe de notre corps. Il s’agit d’un voyage que notre âme fait alors qu'on est encore en vie, raison pour laquelle on l’appelle « voyage astral ». La décorporation peut être causée par divers facteurs tels qu’un accident avec un choc violent, la consommation de substances comme les drogues, une mort clinique temporaire… On peut également entamer un voyage astral avec de l'hypnose ou encore de la méditation.

 

La décorporation du point de vue religieux

Chaque religion a sa propre conception et acception de la décorporation. D’un côté, la religion bouddhiste ou hindouiste semblent plus ouvertes sur le sujet tandis que l'église catholique se montre plus réticente par rapport à ce concept. Pourtant, certaines peintures bibliques et certains textes sacrés témoignent de ce phénomène de décorporation qui peut même être représenté sous plusieurs formes. Le karma, les phénomènes paranormaux ou encore la réincarnation sont des formes de voyage astral, si l'on se fie aux textes sacrés. D'après les chercheurs, l'Ascension est également un cas de décorporation dans le domaine de la religion.

 

sommeil

 

Décorporation volontaire et décorporation involontaire

La décorporation peut être provoquée ou volontaire quand on sait s’y prendre. Certaines personnes ont recours à la méditation pour faire leur voyage astral. La méditation est efficace car un expert en méditation est capable de maitriser son esprit et d'utiliser cette maitrise pour contrôler son âme et la séparer de son corps. Même si cela a un effet positif sur la psychologie de la personne, la décorporation ne représente pas pour autant un moyen de guérison physique. Si la plupart des gens affirment réussir à faire ce voyage astral de leur plein gré, certaines personnes la vivent par hasard. La plupart entrent en phase de décorporation en vivant une Expérience de Mort Imminente (EMI). Certains médiums peuvent également faire inopinément un voyage astral lorsqu’ils tentent de communiquer avec des personnes dans l’au-delà.

 

Le principe du voyage astral

Le voyage astral désigne le fait que notre conscience sorte hors de notre corps et se promène dans un corps dit « astral » ou « émotionnel ». Lorsque nous sommes éveillés, nous vivons avec notre conscience de veille qui nous permet d’interagir avec le monde à l’aide de nos cinq sens. Lorsque nous dormons, une autre conscience prend la relève. C’est dans celle-ci que nos rêves prennent place. Une troisième conscience attribuée au voyage astral existe également. C’est elle qui se déplace hors de notre corps pendant le voyage astral. Pendant ce temps, notre corps est plongé dans un état végétatif. Vu de l’extérieur, il semble plongé dans un sommeil profond voire en état de transe. Notre corps astral, celui qui voyage hors du corps physique, se déplace dans un monde constitué d'atomes et qui se divise en deux : le bas astral et l'astral supérieur. L'ensemble de ce nouveau monde est appelé l'univers astral. Il est possible d’en faire le tour rien qu'en accélérant les émotions ou les sentiments que notre corps astral perçoit.

 

La lumière et le tunnel dans le voyage astral

espritD'après le témoignage de certaines personnes ayant vécu une décorporation, le corps astral est transporté dans un tunnel sombre avant d’apercevoir une lumière éclatante au bout. Si on se base sur ces informations, le processus de décorporation est semblable à celui de la mort ou plus exactement au concept qu'on a après la mort. D’ailleurs, au bout de ce tunnel, on ne retrouve pas seulement une lumière blanche et salvatrice, mais également un magnifique champ de fleur, un paysage enchanteur qui ne peut exister sur terre. Il est assimilable au paradis où nous sommes censés passer notre nouvelle vie après la mort du point de vue religieux.

 

La décorporation selon la science

Le phénomène de la décorporation est si fascinant qu’il intéresse jusqu’aux scientifiques désireux d’en connaître le fonctionnement. Selon certaines personnes ayant déjà vécu cette expérience, elle donne la sensation de flotter au-dessus de notre corps. Une chose qui semble à priori impossible au commun des mortels puisqu’elle conduit donc à une dissociation de l’âme du corps tout en restant en vie. Un phénomène qui a conduit les scientifiques à creuser un peu plus loin dans ce contexte. Pour ce faire, une équipe  de l'Université d'Ottawa formée par Andra M. Smith et Claude Messierwere a mené une expérience sur une femme qui dit être capable de faire le voyage astral à volonté. En effet, il faut préciser que le voyage astral peut être déclenché dans certains cas et qu’il n’est pas uniquement provoqué par des événements survenant au hasard.

Dans cette expérience dont les résultats ont été publiés dans la revue scientifique Frontier of Huma Neuroscience, la patiente a été passée au scanner afin de savoir comment réagirait son cerveau une fois qu'elle entamerait sa décorporation. Dès qu’elle a commencé son voyage astral, le scanner a montré que le cortex visuel de la patiente était désactivé tandis que plusieurs points sur le côté gauche en relation avec l'imagerie kinesthésique étaient activés. Une fois le scanner terminé, la patiente a expliqué qu'elle s'était tenue au-dessus de son corps à plat et qu’elle a glissé le long d'un plan horizontal. Elle a senti une déconnexion de son âme et de son corps tout en ressentant sa présence physique.

Toutefois, elle n’a pas ressenti de sensation particulière relative à son présumé voyage astral. Pour les scientifiques, c’est son cerveau qui lui a fait ressentir la sensation que son âme était hors de son corps alors qu’elle ne l’était pas dans la réalité. En d’autres termes, la patiente n’a pas plané comme elle le pensait. Son imagerie mentale liée au mouvement corporel s’est activée avec les domaines relatifs à l’imagerie kinesthésique. Cette zone du cerveau est responsable de notre interaction avec le reste du monde. Lorsqu’elle s’active, nous avons l’impression de vivre une décorporation alors que notre âme reste à sa place.

Depuis toujours, la science essaie de décrypter l’existence et le fonctionnement de l’esprit et du cerveau. Sont-ils complémentaires ou indépendants ? L’esprit existe-t-il réellement en dehors du cerveau ? Autant de questions auxquelles une étude publiée dans NeuroQuantology apporte de nouvelles réponses.

 

La théorie du Dr Dirk KF Meijer

NeuroQuantology est une revue scientifique traitant des neurosciences et de la physique quantique à la fois. Elle a donc l’habitude de publier des articles scientifiques traitant de la relation entre l’esprit et le cerveau. Au mois de septembre, NeuroQuantology a sorti un article de synthèse et de développements des théories les plus récentes sur le cerveau et qui relèvent de la neuroscience et de la physique quantique à la fois. Dans cet article, le docteur Dirk KF Meijer, professeur à l’Université de Groningen aux Pays-Bas, avance une théorie intéressante autour de l’esprit et du cerveau. Selon lui, la conscience se trouve dans un champ entourant le cerveau. Ce champ se situe dans une autre dimension et se connecte au cerveau via une intrication quantique. Ce champ arriverait à stocker les informations provenant du champ magnétique terrestre et de l’énergie sombre. Il passe les informations qu’il reçoit au tissu cérébral dont le rôle est de traiter rapidement les informations conscientes et subconscientes qu’il reçoit. Ce champ dont le Dr Meijer parle, c’est notre esprit qui existe donc autour du cerveau. Il reçoit des informations extérieures au cerveau et les lui transmet le plus rapidement possible.

 

L’esprit traite l’information suivant les principes de la physique quantique

Le Dr Meijer avance donc que l’esprit, qu’il appelle champ mental, interagit avec le cerveau et pourrait expliquer le fait que les processus mentaux soient si rapides. Ce scientifique explique cette relation esprit-cerveau à travers les principes de la physique quantique. Selon ces principes, les électrons et photons peuvent être perçus comme des ondes et des particules à la fois. De la même manière, l’esprit représente une part du cerveau tout en étant immatériel. Il dépend donc de la physiologie du cerveau sans lui être soumis. Cela suggère une connexion entre esprit et cerveau. Tous deux interagissent sans pour autant être collés l’un à l’autre. En effet, l’esprit se situe dans une autre dimension spatiale. Il s’agit d’une quatrième dimension dérivée de la nôtre et que l’on ne peut pas directement percevoir. Le chercheur précise que cette dimension dérivée n’est pas le temps mais plutôt un espace-temps dans lequel on pourrait retrouver l’esprit.

 

L’esprit ressemble à un trou noir

Le Dr. Meijer va plus loin en assimilant l’esprit à un trou noir. Il évoque une limite similaire à l’horizon des événements d’un trou noir entre le monde extérieur et l’esprit. L’horizon des événements est un écran extérieur appartenant au trou noir. Il recueille les informations externes qui entrent dans un trou noir. Chez l’homme, cet horizon sépare la réalité interne à ce qui se passe à l’extérieur tout en restant connecté au cerveau. Il est capable d’assembler des données à l’intérieur du cerveau.

capacite mental

L’esprit a une structure ressemblante à un tore

La structure du champ mental ou esprit ressemble à celle d’un tore. Le tore est une surface créée par un cercle autour d’une droite non diamétrale de son plan. Nombreuses sont les théories de la physique pouvant expliquer pourquoi le scientifique a choisi d’assimiler l’esprit à cette forme. Il a étudié la façon dont l’activité électrique se meut dans le cerveau et découvert des mouvements de tore multidimensionnels. Le tore représente un modèle concret pouvant expliquer comment l’information pénètre autant l’esprit que le cerveau.

 

Conscience et cerveau

Le Dr. Meijer apporte des réponses aux questions du scientifique cognitif et philosophe David Chalmers qui demande commet la conscience de soi qu’il considère comme immatérielle peut être le fruit d’un cerveau tout à fait matériel. Pour ce scientifique, la conscience est une des principaux composants de la nature et se trouve à tous les niveaux des tissus de la réalité.

 

Les conclusions d’autres scientifiques

Le physicien Sir Roger Penrose et l’anesthésiste Dr Stuart Hameroff ont également exploré la piste de la relation entre conscience et cerveau. Ils ont élaboré la théorie de la « réduction objective orchestrée » selon laquelle la conscience a pour origine des vibrations quantiques situées dans les polymères protéiques des neurones du cerveau. La conscience se trouve donc ainsi dans des microtubules dans le cerveau.

 

Une mise à jour de son article

Après la parution de son article sur la relation entre le cerveau et l’esprit, le Dr Meijer a réalisé une mise à jour qu’il a confiée à The Epoch Times et dans laquelle il donne plus de précision à son article. Il y explique que le tunneling quantique et l’enchevêtrement ne représentent pas les méthodes les plus probables de transfert de données entre l’esprit et le cerveau. Ils servent juste à corréler deux particules sans pour autant transférer des données.

 

Comment le cerveau traite rapidement l’information

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Nous sommes toujours fascinés devant la faculté qu’a le cerveau de traiter rapidement des informations. Le cerveau dispose de neurones chargées du traitement de ces informations et qui agissent avec une telle rapidité que l’on vient à se demander comment elles font. En neuroscience, il s’agit du fameux « problème de liaison » qui n’a pas encore de réponse jusqu’à ce jour. Ce problème de liaison concerne notre inaptitude à expliquer comment le cerveau arrive à traiter rapidement les informations. Le cerveau ressemble à une conscience unifiée quand elle trait ces données alors qu’il possède différentes neurones chargées de différentes tâches et qui, au final, semblent se coordonner. Elles réunissent ces informations et les partage à grande vitesse dans le cerveau à partir d’une liaison dont on ne comprend pas le fonctionnement.

Pour le Dr Meijer, l’intrication quantique peut l’expliquer car elle représente une connexion de particules sur de grandes distances. Quand une des particules bouge, le changement se fait ressentir sur les autres. Quant au tunneling quantique, il met en scène une particule capable de passer à travers une frontière qui devrait pourtant lui être infranchissables si l’on se fie à la physique classique. Les processus de traitement sont rendus plus rapides grâce à ces phénomènes, à tel point que la physique classique n’arrive pas à suivre le mouvement.

Clubhouse France est une association d’intérêt général ayant vu le jour il y a sept ans et qui tente de combattre l’isolement et tente de rendre plus facile l’intégration des personnes atteintes de troubles psychiques dans le domaine socioprofessionnel. Elle essaie également de déstigmatiser ces troubles en usant d’un modèle de lieu d’entraide qu’elle a baptisé « Clubhouse ». Au mois de janvier dernier, Clubhouse France a conduit un baromètre « Santé mentale et emploi : impacts et réalités en entreprise ». Les résultats viennent de sortir et font état d’un manque d’implication de l’entreprise dans la prise en charge et la prise en considération des employés souffrant de troubles psychiques.

 

Le but de l’étude

Le baromètre a été lancé au mois de janvier 20172 et s’est terminé en avril. Les instituts Chrysippe et Randstad ont participé à sa réalisation.  Mi-octobre, Clubhouse France a énoncé l’objectif de cette étude dans un communiqué. Elle a pour but de rendre plus facile la prise en considération des troubles psychiques en entreprise. Les personnes interrogées ont livré leurs impressions et expériences des troubles psychiques dans le milieu professionnel. Les données récoltées serviront à sensibiliser les entreprises par rapport à ces troubles. Ils permettront également de voir comment on pourrait mieux accompagner les personnes sujettes à ces troubles au travail.

 

Les détails de l’étude

Dans le cadre de ce baromètre, Clubhouse France a choisi d’interroger des personnes actives de dix-huit ans et plus ainsi que des individus en recherche d’emploi, en arrêt de travail temporaire ou en invalidité. En tout, 672 personnes ont été interrogées par Internet, via Email, dans des associations et sur les réseaux sociaux. Un questionnaire simple et respectant leur identité et confidentialité leur a été soumis par ces moyens. Il leur a fallu une vingtaine de minute pour y répondre. 81% des répondants sont actifs et 60% sont cadres dans des entreprises.

mentale

L’entreprise doit prendre en considération la santé psychique de ses employés

Le baromètre a mis en évidence le fait que les entreprises ne s’impliquent pas dans la prise en compte des troubles psychiques de leurs employés. 40 % des personnes interrogées estiment que l’entreprise dans laquelle ils travaillent ne se soucie pas de la santé mentale des employés. Six répondants sur dix trouvent que leur société ne prend pas en considération la santé mentale des collaborateurs. Pourtant, 80% des personnes interrogées estiment qu’elle devrait le faire. Selon les statistiques, cette prise en charge peut avoir un impact positif autant sur l’employé que sur ses collaborateurs. En effet, la personne se sent plus entourée, comprise et accompagnée et son environnement professionnel s’e trouve amélioré. Dans les faits, cet impact positif est observé dans sept cas sur dix. Malheureusement, seules quelques entreprises s’inquiètent de la santé mentale des personnes qu’elles emploient.

 

Les employés ont peur de se livrer aux employeurs

Ils ont beau clamer que les entreprises doivent voir de près la santé mentale des collaborateurs, les répondants ne sont toutefois pas prêts à parler de leurs troubles psychiques à leur entreprise. L’étude révèle que 70% d’entre eux auraient peur de se confier à leur entreprise s’ils étaient confrontés à un problème de santé mentale. Est-ce parce qu’ils ne ressentent pas l’implication de leur société à l’égard des troubles psychiques ou parce qu’ils ont peur d’être stigmatisés ? Dans tous les cas, 90% d’entre eux pensent que les individus souffrant de ces maux ont bel et bien leur place dans le monde du travail. Avec une meilleure attention de la part des firmes qui les emploient, ils pourraient même s’épanouir sur leur lieu de travail.

 

Plus d’accompagnement de la part de l’entreprise

sante mentale et emploi70% des répondants à l’étude estiment que quand l’entreprise s’investit dans la santé mentale de ses employés, cela a un impact positif autant pour le travailleur que pour l’ensemble de l’entreprise. On peut donc en déduire que l’implication de l’entreprise change réellement les choses et améliore jusqu’au cadre de travail. Toutefois, force est de constater que seul un collaborateur sur trois pense que l’entreprise a pris en charge le cas de santé mentale. Un constat plutôt alarmant.

En général, l’accompagnement des collaborateurs en proie aux troubles psychiques devrait se faire au niveau managérial. Interrogés sur ce fait, 60% des managers ayant participé à l’étude et qui se sont retrouvés face à un cas de difficulté psychique de la part d’un salarié avoue qu’il n’a pas été accompagné. En cas d’accompagnement, l’’entreprise a opté pour un suivi individualisé basé sur la personne elle-même. Il n’est donc pas étonnant de voir que le nombre des collaborateurs sujets au stress ait autant augmenté ces dernières années. Ils sont passés de 38% à 61% en une décennie, si l’on en croit les résultats du Baromètre Cegos 2015. De plus, personne n’est à l’abri des troubles psychiques, que l’on soit salarié ou non. Ces troubles, qu’ils soient sévères ou non, pourraient affecter près d’un individu sur quatre.

Quel management adopter ?

Pour Clubhouse France, c’est au niveau managérial que les choses doivent changer afin de mieux accompagner les personnes souffrant de troubles psychiques en entreprise. L’environnement professionnel d’aujourd’hui évolue sans cesse et les employeurs se retrouvent un jour ou l’autre devant des cas liés à la santé mentale de leurs collaborateurs. Ils doivent ainsi mettre en place un plan d’action concret dans ce sens.

Les entreprises devraient penser à rendre moins tabou la problématique des troubles psychiques chez leurs collaborateurs et commencer à la prendre en main. Céline Aimetti, déléguée générale de Clubhouse France, ajoute que les managers ne sont pas les seuls concernés par ce problème. Il existe différentes parties prenantes telles que les professionnels de la santé, les employeurs, les salariés, la société civile ainsi que les dispositifs publics qui devraient collaborer ensemble pour leur prise en charge. Il s’agit pour ces parties de co-construire des solutions en s’inspirant de différents outils tels que le baromètre.

Clubhouse, pour sa part, veut mettre en place un plan d’action baptisé « Programme de promotion de la santé mentale en entreprise » à partir de l’année prochaine. Elle compte également reconduire son baromètre tous les deux ans pour voir l’évolution de la situation.

Vous êtes-vous jamais demandé comment cela se passe après la mort ? Grâce à une étude menée par l'Ecole de médecine de l'Université de Stony Brook à New York, on sait maintenant qu'il est possible de vivre pendant encore un moment après la mort.

 

Les détails de l’étude

Il s’agit d’une étude très révélatrice pour le genre humain qui n'a jamais réellement imaginé ou envisagé que vivre après la mort serait possible. Elle prouve que notre conscience ne meurt pas directement comme notre corps mais qu'elle continue de "vivre". De ce fait, même si notre cerveau sait que nous n'avons plus de vie, il continue de fonctionner mais plus avec le même dynamisme que lorsque nous étions en vie. L'Ecole de l'Université de Stone Brook a utilisé des rats de laboratoire pour MENER ses expériences sur la vie après la mort. Avec cette étude, elle a découvert que nos ondes cérébrales restaient momentanément actives même si le cœur ne bat plus. Ce phénomène a été observé chez les rats utilisés pour l’expérience.

 

Comment le cerveau peut-il rester actif après l’arrêt du cœur ?

Le processus entre la vie et la mort semble plus facile à comprendre au premier abord par rapport à cette activité cérébrale après que le cœur cesse de battre. Heureusement, les scientifiques ont trouvé une explication à ce fait. Le docteur Sam Parnia a notamment expliqué à Live Science que même si que les activités cérébrales ne sont plus détectables après le décès, quelques cellules du cerveau humain peuvent encore rester actives pendant plusieurs heures. Une théorie intéressante à laquelle on peut ajouter une autre.

Lorsqu'un individu meurt, il n'y a plus d'oxygène qui va vers les cellules du cerveau. Le manque d'oxygène laisse le champ libre au calcium qui commence à envahir les cellules du cerveau et entraine une réaction enregistrée par les chercheurs durant cette expérience. Certains phénomènes rapportés après la mort pourraient bien trouver leurs explications dans ce fait. Il pourrait expliquer comment certains individus ayant fait une expérience de mort imminente arrivent à entendre ce qui se passe autour d’eux alors qu’ils étaient censés être décédés. En « ressuscitant », ils parviennent à décrire les échanges entre les médecins comme s’ils y avaient assisté en étant pleinement en vie. Nous pourrions donc entendre après notre mort, et peut-être même faire beaucoup plus.

 

Une autre étude réalisée en 2014 apporte plus de précisions

En 2014, une équipe de scientifiques de l'Université de Southampton a réalisé une étude sur la vie après la mort. Ils l’ont menée dans quinze hôpitaux situés aux Etats-Unis, en Autriche et au Royaume-Uni sur plus de 2000 sujets atteints d'arrêt cardiaque. Les résultats de cette étude avaient déjà prouvé à l'époque que la conscience d'un individu ne meurt pas directement après la mort. Lors de cette étude, 40 % des personnes ayant participé ont témoigné de l'expérience qu'ils ont vécue pendant le laps de temps où ils étaient morts. Ils ont avoué ressentir une sensation s’apparentant à de la "sensibilisation".

 

Dirigée par le docteur Sam Parnia, cette étude a été publiée dans la revue Resuscitation et a commencé en 2008. Sur les 2 060 sujets, 330 ont survécu à leur arrêt cardiaque et raconté ce qu’ils ont vécu ou ressenti durant cette période. 140 d’entre eux ont déclaré avoir eu des moments conscients avant leur réanimation, un phénomène assez rare. Une des personnes a même pu décrire ce qui se passait dans l’hôpital durant sa mort. Ce quinquagénaire s’est trouvé en état de mort clinique durant trois minutes. Pendant sa réanimation, il a pu entendre des sons de machines et des gestes d’infirmiers qu’il a décrits lorsqu’il a retrouvé son souffle de vie.

 

Ce qui se passe quelques minutes ou quelques heures après le décès !

Le cerveau semble être le dernier organe à rester fonctionnel après la mort même si ce n'est que pendant un moment. Certaines personnes continuent également de se vider intérieurement surtout au niveau des intestins si ceux-ci sont encore pleins avant le décès. La cause de cette évacuation est la relaxation de tous nos muscles une fois qu'on est sans vie. Cette relaxation est provoquée par le départ de la principale source d’énergie de notre organisme.

Si vous vous demandez pourquoi le corps d’une personne décédée devient pâle au bout d’un certain temps après l’arrêt de l’activité cardiaque, c’est parce que son sang arrête de circuler quinze à trente minutes après. Le sang ne circule dont plus et stagne dans les parties inférieures du corps, provoquant cette décoloration sous forme de pâleur.

Malgré les explications scientifiques, force est de constater que certaines personnes ont vu la fameuse lumière blanche au bout du tunnel après la mort. Il s’agit particulièrement de ceux qui ont vécu une expérience de mort imminente (EMI). D’après les scientifiques, il existe quelques phénomènes expérimentés par une personne juste après la mort : la lumière blanche (69%), le sentiment de tranquillité (80%), la rencontre avec des esprits ou des personnes (64%), les pensées accélérées (5%) et les visions précognitives (4%) qui sont moins fréquentes.

 

Mort imminente et mort effective

L’étude menée par le docteur Sam Parnia est une des plus importantes dans le cadre des EMI. Ses conclusions sont pourtant contestées par le docteur Patrick Reynier du service d’anesthésie-réanimation cardiologique au CHU de Bordeaux. Il explique que ces EMI ne sont pas crédibles dans la mesure où elles ne font que rapprocher la personne de la mort sans l’y amener définitivement. Il ne faut donc pas confondre une mort imminente avec une mort effective. La mort imminente n’est pas un décès proprement dit car la personne pourrait revenir à la vie à tout moment. En revanche, elle reste morte définitivement en cas de mort effective. L’expérience menée par le docteur Sam Parnia relève de la mort imminente et non de la mort effective !

Malgré cela, force est de constater que ses recherches combinées à celles de l’Université de Stony Brook apportent des éclaircissements importants à la plupart de nos plus grands questionnements sur la vie et la mort.

Le chiffre 7 est largement présent en musique (La lyre compte sept cordes, un septuor, sept notes dans la gamme diatonique, sept tonalités et sept modes principaux, les accords en septième majeure...), un chiffre magique pour certains et synonyme de l’âge de la raison (7 ans) que l’on retrouve dans de nombreux domaines : Les mathématiques, les mythes, symboles, croyances et superstitions, les religions et les traditions gréco-romaines, hindouistes ou orientales, les sciences, la géographie, l’histoire, la médecine, les sports et les jeux, l’éducation, les contes et légendes, la littérature classique et moderne, les bandes dessinées et les mangas, les arts, le cinéma, la peinture et la sculpture, la technologie, les toponymes... A ce propos, nous aborderons prochainement le chiffre 7 dans ce blog, mais aujourd’hui, intéressons-nous aux 7 bienfaits de la musique. D’après le psychologue Thomas Schäfer, la musique aurait 129 fonctions dont les trois principales sont : Stabilité de l’humeur, meilleure compréhension de soi-même et stimulation des liens sociaux.

Voici 11 ans, Gillian Rowe (Clinical Neuropsychology and Cognitive Health Department of Psychology, université de Toronto) a étudié avec son équipe les effets de la musique sur certaines capacités cognitives. Il en résulte qu’un rythme guilleret et bon enfant engendre des résultats positifs en matière de tâches créatives et inventives, notamment au niveau des idées nouvelles et inattendues, alors qu’un air tristounet « renforcerait notre concentration sur un seul objectif et permettrait de trouver la solution à un problème précis ». Danielle CHOQUETTE du journal de Montréal (auteure d’une enquête sur les 7 bienfaits de la musique) souligne que cette dernière modifiait également la générosité. En 1979, deux grands psychologues américains, Rona FRIED et Leonard BERKOWITZ (université de New York) se sont demandés si la musique pouvait modifier l'humeur. Cette journaliste rapporte que « Dans une cafétéria universitaire américaine, 80 personnes devaient entendre une sélection musicale ou le silence pendant 7 minutes. On les a répartis en quatre groupes : musique apaisante, musique stimulante, musique « aversive » et silence. Tout de suite après avoir supposément terminé la recherche, une assistante demandait de l’aide aux 80 personnes. Elle spécifiait qu’il s’agissait d’une faveur... ». Les résultats sont assez étonnants : Les personnes qui composaient le groupe « musique apaisante » ont rendu service dans une grande proportion. Quant à celles qui faisaient partie intégrante du groupe de musique de « silence » et de musique « stimulante », « elles ont aidé dans une moindre mesure ». Par contre, les mélomanes qui ont « écouté à reculons » le free jazz (donc le groupe ayant hérité de la musique « aversive ») ont traîné des pieds pour donner « un coup de main ».

A l’instar de nombreux musicologues, Nicolas GUEGUEN (professeur de psychologie sociale - sciences cognitives à l'université de Bretagne Sud) souligne que certaines mélodies pourraient atténuer, voire apaiser notre perception de la douleur. D’ailleurs à partir de coloscopies (ou colonoscopie, examen visuel du côlon à l'aide d'un coloscope permettant l'exploration du rectum et de la totalité du côlon jusqu'à la jonction iléo-cæcale - intestin grêle), un chercheur de Hong Kong confirme les bienfaits de la musique pendant l’intervention. Les « témoins » reconnaissaient que cette intervention faite en musique était moins douloureuse que celle effectuée dans le silence. Les sonorités douces doivent certainement « reposer » la psyché et seraient favorables à la mémoire comme en témoigne les conclusions de chercheurs de Pennsylvanie, observées après une expérience de six mois avec soixante patients atteints de la maladie d’Alzheimer. Vingt personnes ont suivi un atelier musique, vingt autre un atelier « loisirs de casse-têtes » et les vingt derniers un module « peinture et dessin ». Sachez que le premier groupe était plus joyeux, plus en phase avec la vie et surtout les participant(e)s avaient une meilleure mémoire. La musique a des effets non seulement sur les seniors mais également sur nos charmants bambins.

Danielle CHOQUETTE nous relate les conclusions de Mariève CORBEIL, Sandra E. TREHUB et du professeure Isabelle PERETZ (codirectrice du laboratoire international de recherche sur le cerveau, la musique et le son, le BRAMS). « Trente bébés âgés de 6 à 9 mois sont restés calmes pendant une moyenne de 4 minutes au son d’une parole adulte, 4 minutes au son d’un « parler bébé », 9 minutes au son d’une chanson enfantine Turque, donc inconnue des bébés... ». Il en résulte que « les chansons sont plus efficaces que le « parler bébé » quand il est question d’attachement entre un bébé et sa maman... ». Les chansons enfantines (à l’instar du célèbre « Il était un petit navire » ou « une chanson douce » d’Henry SALVADOR) seraient « un excellent outil pour l’apprentissage de la maîtrise des émotions... ».

Des enfants Californiens, âgés de 3 et 4 ans, ont participé à des expériences observées dans 3 groupes bien distincts : l’un a suivi des ateliers « musique » (chants et piano), le second des modules informatiques et le dernier n’a participé à aucun cours. Les résultats s’avèrent étonnants puisque les enfants qui ont participé aux ateliers musicaux se sont révélés « plus aptes aux loisirs casse-têtes et à l’apprentissage du langage ». On traverse l’atlantique pour retrouver une autre expérience tentée à Londres, avec des enfants de 10 et 11 ans. Ces derniers « devaient résoudre des problèmes mathématiques au son d’une musique ou en silence » dixit Danielle CHOQUETTE. Les petits veinards qui ont travaillé en musique ont fait 9 exercices de plus que leurs camarades abonnés au silence dans le même temps imparti !

A quand Mozart et Bach à l’école ? On dit que la musique du premier cité améliorerait la concentration et que celle du second favoriserait les opérations mathématiques. A l’heure du classement Européen déplorable (OCDE) de la France, ne serait-il pas de bon ton de tenter des expériences musicales et de renforcer les cours de musique, souvent synonymes de partage, d’échange et de cohésion. Toujours est-il les 7 bienfaits abordés dans ce sujet, vérifiés et approuvés par la communauté scientifique, renforcent les convictions des musicologues, des mélomanes, ainsi que les écrits des sages d’antan et les affirmations du plus grand médium et guérisseur américain Edgard CAYCE qui estimaient que beaucoup de maladies pouvaient être soulagées, voire même guéries par la musique. Cependant, ils mettaient en garde leurs patients contre certaines musiques capables de rendre malades ceux qui les écoutent.

 

 

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Le stress est présent partout, y compris dans la vie scolaire. Tout à l’école est stressant, en partant des cours jusqu’aux examens. Même l’environnement scolaire peut être source de stress. Il est donc impératif pour les élèves de savoir vivre avec leur stress voire de le surmonter pour réussir leur année scolaire.

Savoir gérer son stress au moment où il survient !

La première chose à savoir est de définir la façon dont le corps agit face au stress. Il y a certaines personnes qui deviennent très tendues et d’autres se mettent à respirer rapidement quand ils stressent. D’autres encore se mettent à trembler et sentent leur estomac se resserrer. Il est primordial de connaître la réaction de votre corps en situation de stress afin de trouver une issue pour le relaxer.

Il est également impératif de connaître la source de votre stress. Cela peut être une personne ou une situation compromettante ou même l’environnement ou vous vous trouvez. À l’école, les premiers facteurs de stress sont souvent les devoirs, les notes, le manque de sommeil, les longues heures d’études… le plus dangereux étant le harcèlement à l’école. Ce dernier détruit le mental de l’élève concerné et représente un facteur de stress fréquent chez les adolescents. Si cela se produit, essayez d’en parler à vos conseillers ou à vos professeurs.

Dans cette situation, se confier à quelqu’un est la première chose à faire pour déstresser. Partager ses angoisses aide à diminuer le stress chez une personne. Si vous n’osez pas à en parler à vos professeurs, parlez-en à un camarade de classe. Cela vous soulagera et vous aidera à prendre les décisions qui s’imposent.

Quand vous êtes en classe, essayez d’être le plus concentré possible. Ne vous focalisez pas sur vos problèmes et essayez de libérer votre pensée en vous remémorant de bons moments du passé. Dans le cas où vous vous retrouvez incapable de gérer votre stress face à une personne ou une situation, il est préférable de vous en aller. Et tant pis si cela vous fait passer pour un lâche, l’essentiel étant que battre en retraite réduit le stress et vous aide à vous calmer.

S’organiser pour éviter de stresser

Pour bien gérer le stress, il faut avoir une bonne organisation. Vous devez donc faire un calendrier en y incluant vos emplois du temps scolaires et vos activités habituelles. Cela vous aidera à savoir quand telle ou telle chose arrivera et vous évitera certainement l’effet de surprise qui est une grande source de stress. Vous saurez également quand vous aurez une pause pour donner à votre corps la détente et la relaxation dont il a besoin. Et surtout, n’oubliez pas de bien manger avant d’aller à l’école. Un repas équilibré et une bonne alimentation vous aident également à prévenir le stress. Privilégiez les fruits et légumes et faites l’impasse sur le café et les boissons alcooliques !

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