
L’étude des ondes cérébrales a longtemps passionné et fasciné les hommes. Le fonctionnement du cerveau et ses nombreuses applications ont été les sujets de nombreuses recherches. C’est un secret de polichinelle, le plus gros ordinateur du monde est le cerveau humain. Il est encore si mystérieux que l’être humain n’exploite que 15% de ses capacités.
La synchronisation des ondes cérébrales chez l’homme a alors entraîné une multitude d’études. Toutes plus étranges les unes que les autres et rivalisant d’ingéniosité. C’est à ce titre que certaines applications de la synchronisation ont été testées sur des sujets animaux. Même si la plupart ne sont pas encore reconnus, ces exercices permettent d’établir des théories intéressantes.
La Synchronisation des ondes chez l’homme
Chez les hommes, les ondes cérébrales se manifestent sous forme de pulsations régulières, rythmées et cohérentes. Ce sont ces pulsations qui se traduisent sous forme d’onde. Les ondes cérébrales se déterminent alors en hertz. Ce qui nous donne une large gamme d’ondes suivant la puissance de la pulsation : delta, thêta, alpha, bêta et gamma. La synchronisation chez les hommes a été initialement élaborée pour la santé. Principalement par écoute. Il permet d’atteindre un état de conscience recherché et de soigner certaines maladies.
Principes des ondes cérébrales
Les ondes cérébrales indiquent le degré de fonctionnement du cerveau. Toutes les activités de l’individu correspondent donc à une fréquence des ondes. De ce fait pour obtenir plusieurs résultats, on peut agir sur nos ondes selon ce que chacun désire. Qu’il s’agisse de dormir profondément. De se relaxer. De retrouver son calme ou de rester actif à 100%, la calibration des ondes est indispensable. L’écoute de certains sons sous différentes fréquences permet alors d’atteindre les états recherchés.
La synchronisation des ondes chez les macaques rhésus
Le macaque rhésus est l’espèce de primate la plus répandue après l’homme. Il est également l’un des plus proche de la constitution humaine. D’aucuns l’appellent « le cousin » de l’être humain de par l’étonnante similitude avec ce dernier. C’est cette ressemblance qui fait de cet animal le parfait sujet de recherche pour décrire les phénomènes humains.
L’expérience du siège
Synchronisation corticale inter-cérébrale (ICS)
L’expérience a montré que les deux primates ont vécu le test de la même manière. Certaines zones de leur cerveau s’activent et s’éteignent simultanément. Notamment les cortex moteurs. Plusieurs facteurs ont justifié ce postulat. Le mouvement. La distance qui sépare les bêtes et les récompenses. Plus près est la récompense, plus développée est la synchronisation mentale chez les deux sujets. Par ailleurs, la réaction des primates est influencée par leurs relations sociales. L’ICS est plus poussée lorsque le passager est d’un rang supérieur et plus près de l’observateur. Dans le cas opposé, l’ICS ne se manifeste pas de la même manière surtout par rapport au rapprochement.
Il est donc indéniable que bientôt, l’ICS pourra aider à diagnostiquer plusieurs maladies mentales. Et ainsi aider à leur guérison. Elle peut d’ailleurs aider à accroitre la cohésion d’un groupe musical. D’une troupe d’acteurs, de danseurs et parfois d’athlètes. Avec un peu plus de connaissance sur la synchronisation cérébrale, les applications pour le mieux-être mental seront énormes.