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Certains événements survenant durant notre vie peuvent faire vieillir votre cerveau plus vite qu’il ne le devrait. Il s’agit des situations stressantes vécues au quotidien. Ces événements sont nombreux et divers : divorce, mort d’un être cher, maladies… Voyons comment ils peuvent affecter le cerveau au point de faire dégénérer sa santé !

 

Une accélération du vieillissement cérébral chez les hommes âgés

cerveau homme age

Les scientifiques de l’University of California San Diego School of Medicine aux USA ont mené une étude sur le vieillissement cérébral. Ces spécialistes en psychiatrie et en génétique du vieillissement ont analysé les données de 359 hommes âgés de 57 à 66 ans.

Les résultats de leur étude ont été publiés dans le journal Neurobiology of Aging. Ils montrent que le vieillissement précoce du cerveau peut être causé par des événements stressants du quotidien. Ces chercheurs ont demandé aux 359 hommes, deux fois et à cinq années d’intervalles, de faire une liste des événements qui les ont le plus marqués g(durant les deux années passées. Par la suite, ils ont effectué des imageries par résonance magnétique (IRM). Ces derniers les ont aidés à mesurer l’état neurologique et anatomique du cerveau.

Pour ce faire, ils ont mesuré le volume et l’épaisseur du cortex des cerveaux de ces sujets. Ils se sont servis des donnés récoltées afin de deviné l’âge de chaque cerveau. Ils ont remarqué que le fait d’éprouver des événements négatifs vers l’âge de quarante ou de cinquante ans rendait le cerveau rapidement plus vieux.

Un événement négatif provoque une hausse moyenne de 0,37 ans de l’âge du cerveau. Il rend le cerveau un tiers d’années plus âgé que le véritable âge du sujet. Les scientifiques ont découvert que les relations interpersonnelles sont ceux qui font vieillir le cerveau le plus rapidement. Il s’agit principalement de conflits, de la mort d’un proche ou d’un ami ainsi que des ruptures amoureuses ou des divorces. Les chercheurs citent également les difficultés financières, les maladies graves ou encore les fausses couches.

 

Ce que le stress fait aux cellules du corps

Les scientifiques de l’University of California San Diego School of Medicine mettent en évidence une relation entre le stress et le vieillissement des molécules cérébrales. Le stress chronique endommage les cellules du corps ainsi que le système immunitaire. Les événements stressants peuvent même impacter négativement sur la santé de notre corps tout entier. Pour l’heure, les études n’ont été réalisées que sur des hommes. Les chercheurs espèrent pouvoir les refaire sur la gent féminine afin de valider les résultats.  

 

Ce qu’est le stress

On considère le stress comme une réaction automatique de notre organisme. Cette réaction inconsciente survient en cas de danger. De nos jours, le danger physique n’est plus réellement d’actualité pour expliquer le stress. Ce sont plutôt les événements émotionnellement déstabilisants qui le provoquent. Le système lymphatique produit les hormones du stress quelle que soit la situation, qu’elle soit grave ou pas. Les sources de stress sont diverses. Même le fait de vivre en société est aujourd’hui stressant. La vie de famille, les responsabilités et obligations peuvent être stressantes. Notre cerveau ne sait plus comment nous faire maîtriser nos émotions.

homme stress

Les différentes sources de stress

Le stress mental est à l’origine du stress et de la fatigue physique. Les réactions que certains événements stressants de la vie causent sur le mental sont transmises à notre organisme. La peur est une des principales sources de stress. Le fait de craindre pour soi ou pour autrui nous fait stresser.

Celui de perdre quelqu’un, qu’il s’agisse d’un décès ou d’une simple séparation amoureuse. Les relations professionnelles ou sociétales qui ne fonctionnent pas correctement sont aussi stressantes. Les échecs, les frustrations et les diverses contraintes de la vie entraînent aussi le stress. Ajoutées à cela, les douleurs physiques sont aussi stressantes, ainsi que le surmenage, le fait de ne pas avoir assez dormi…

Il s’agit d’un ensemble d’émotions et de situations que nous affrontons et qui nous stressent en permanence. C’est cette permanence qui cause une défaillance sur notre organisme. L’immunité de l’organisme est atteinte, tout autant que sa santé ou sa longévité. Cela cause un vieillissement accéléré de l’organisme tout comme du cerveau. Le stress a des effets néfastes tels que les troubles de la santé. Il cause des dérèglements au niveau de notre corps, à savoir l’obésité, la perte d’élasticité de la peau. Des maladies graves dont les accidents vasculaires cérébraux et les cancers sont aussi liées au stress.

 

Le lien entre stress et vieillissement

capacite mentaleLes études sur le stress montrent qu’il diminue les défenses immunitaires, entraînant ainsi un vieillissement précoce. Il entraîne aussi des modifications épigénétiques causant diverses inflammations au corps. Les recherches menées par Johnson et al. en 2010 montrent même que le stress accélère le vieillissement du cerveau.

Quant au vieillissement cellulaire, il est accentué par les télomères de notre ADN qui deviennent plus courtes à cause du stress. La peau ainsi que les artères et tissus de soutien deviennent moins élastiques et provoquent un vieillissement cutané. Même le foie peut être touché par les effets du stress. La circulation sanguine est réduite au niveau de cet organe, ce qui provoque son vieillissement prématuré.

Le stress mental est celui qui cause le plus de ravage sur le corps et le cerveau. Dès que vous vous sentez oppressé, irrité ou facilement irritable, évaluez votre niveau de stress. De même, le stress se manifeste aussi par un manque de résistance aux contraintes et aux maladies. Lorsque vous êtes facilement enrhumé ou grippé, après un épisode contraignant, vous subissez peut-être un stress.

Il est important de savoir identifier et soulager le stress. L’essentiel est de ne pas la rendre chronique, car il est impossible de l’éradiquer totalement. C’est le stress permanent qui cause le vieillissement cérébral ainsi que le vieillissement physique. Le stress mental est plus dangereux que le stress survenant uniquement en cas de grand danger. Bien qu’il représente une réaction normale de l’organisme à un événement précis, il n’est pas bénéfique lorsqu’il se répète trop. Par contre, il permet de nous protéger dans les cas les plus dangereux en activant notre mécanisme de défense.

Découvrez notre article pour lutter contre le vieillissement grâce à la méditation

La nourriture est essentielle, voire vitale, pour l’homme, son être physique et son être spirituel. Il est primordial de savoir choisir ce que nous consommons car certaines nourritures peuvent nous enrichir tandis que d’autres sont nocives pour notre corps ou notre mental. Comment nourrir son être en profondeur de manière efficiente ?

Ce que la nature peut nous apporter

Pour se ressourcer, faire une petite pause bienfaitrice, se retrouver… rien ne vaut la nature. C’est ce que le sociologue Edgar Morin appelle renouer avec la « Terre-Patrie ». Nous sommes liés à la nature. Tout notre être, physique et spirituel, est en communion avec la nature. Nous avons juste tendance à l’oublier. En prendre conscience nous permet de nourrir notre être en profondeur pour qu’il soit comblé par la nature et ses bienfaits. Comment renouer avec la nature ?

Jean-Maris Pelt, botaniste-écologiste, précise qu’il faut « contacter une nouvelle alliance avec la nature et construire un équilibre entre tous les êtres vivants ». Il s’agit d’un travail personnel sur soi et la nature qui nous entoure.

Expérimenter le flux

naturePour renouer avec la nature, on peut également faire l’expérience du flux. Il s’agit du sentiment de plénitude qui nous envahit lorsqu’on fait une chose qu’on aime réellement. Mihaly Csikszentmihalyi, pionnier de la psychologie positive, nomme cette expérience « The flow » ou le flux. Cette sensation du bien-être nous fait oublier tout ce qui nous entoure, particulièrement les choses et faits contraignants. Elle balaie nos craintes, nos soucis et ce qui est négatif dans notre vie.

Notre corps, notre cœur et notre esprit sont apaisés. De plus, il est possible de provoquer le flux, de le programmer et même de le répéter. Cette expérience du flux est ingénieusement décrite dans l’ouvrage La Consolation des grands espaces de Gretel Ehrlich. Publié par les éditions Albin Michel, le livre raconte l’histoire d’une écrivaine américaine qui s’isole au Wyoming pour faire son deuil. Elle traverse des épreuves physiques et psychiques qui lui font prendre conscience du flux.

Elle se sent indivisible, faisant partie d’un tout, sereine… Elle oublie son chagrin et ressent un bien-être intense et complet. C’est ce qu’est l’expérience du flux. C’est une sensation que chacun de nous a déjà ressenti au moins une fois dans notre vie. On la ressent surtout lorsque nous nous adonnons à une activité ou une cause qui nous tient particulièrement à cœur.

Savoir dépasser l’individualisme

Contrairement à ce que l’on a tendance à penser, l’individualisme n’est pas un signe d’égoïsme. Il s’agit de se soucier de soi. Toutefois, on nous apprend à dépasser ce juste souci de soi. Charité commence peut-être par soi-même, mais elle ne finit pas par soi.

En effet, il est plus profitable et plus allégeant de partager que de tout retenir pour soi. De même, les joies partagées durent plus longtemps et donner aux autres nous donne le sentiment d’être utile. Comme le philosophe Martin Buber l’enseigne, il s’agit de "commencer par soi, mais non finir par soi; se prendre pour point de départ mais non pour but; se connaître, mais non se préoccuper de soi." Sa philosophie, inspirée de la doctrine hassidique, nous apprend à nous mélanger aux autres au lieu de nous isoler. On trouve le bonheur en prenant sa place d’humain parmi nos semblables.

Qu’en est-il de l’alimentation ?

mangerNotre corps tout comme notre esprit a besoin d’être nourri en permanence. L’alimentation prend ainsi une place primordiale dans différentes méthodes de développement personnel. Lorsqu’on se livre à un traitement censé nous apaiser ou nous faire du bien tel que l’Ayurveda, par exemple, on sélectionne minutieusement ce que l’on mange.  Cela permet à la méthode de faire l’effet attendu.

Dans le cas de l’Ayurveda, les aliments « vivants », naturels, non industriels ; les compléments naturels et les tisanes sont conseillés. Ils possèdent des propriétés curatives et apportent l’énergie nécessaire à notre corps. On les utilise non pas seulement pour étancher notre faim, mais surtout pour nourrir notre corps, notre mental et notre esprit. Une alimentation équilibrée et correcte permet de maintenir ces trois dimensions en bonne santé.

Les aliments dits « vivants » sont les plus conseillés. Leur teneur en énergie vitale ou Prana est élevée. Il s’agit des fruits et légumes qu’on l’on consomme crus de préférence. Le miel, les produits laitiers ainsi que les céréales complètes sont aussi recommandés. Bref, tous les aliments biologiques et naturels sont vivants et bons pour la santé. Ils sont imprégnés de la lumière du soleil que nous absorbons en les consommant. Les aliments « morts » tels que la viande, le poisson, les sucres sont à consommer avec modération. Ils provoquent une digestion lente et causent des maladies diverses. La viande ne contient pas de lumière solaire et se putréfie rapidement. Elle entraine la dégénérescence du corps et de l’esprit si on en mange trop ou trop fréquemment.

Savoir consommer sa nourriture

Il est primordial de savoir préparer et de savoir consommer sa nourriture pour qu’elle apporte les bienfaits nécessaires au corps et à l’esprit. Notre corps semble avoir une sorte d’intuition qui nos dicte quels aliments nous devons ingérer. On peut aussi préparer sa nourriture en pleine conscience en ayant le mental entièrement focalisé sur la préparation. C’est comme si on méditait sur cette préparation des aliments. Selon certaines croyances, cela aurait le pouvoir de multiplier la valeur énergétique des aliments.

Après les avoir préparés consciemment, il est temps de les consommer pour qu’ils puissent nourrir notre être en profondeur. Lorsqu’on mange, il est important de prendre conscience de l’importance de la première bouchée que nous ingurgitons. Elle est importante et doit être suivie d’autres bouchées mangées avec soin, de manière non machinale. Préférez un déjeuner ou un dîner au calme, sans que la télévision de marche. Le calme est primordial, il plaît à la conscience.

En mangeant, apprenons à mâcher consciemment avant d’avaler notre nourriture. Afin de renforcer la conscience, respirer en profondeur entre les bouchées ingurgitées. Cela permet une meilleure assimilation de la nourriture. En mangeant de la sorte, on peut nourrir non seulement notre être physique, mais aussi notre être spirituel.

Considéré comme un objet magique ou aussi mystique, le pendule a attiré la curiosité de nombreuses personnes, surtout les scientifiques. Le pendule les a fascinés à un tel point qu'ils ont mené des études dessus pendant plusieurs siècles. Parmi les scientifiques ayant fait des recherches sur le pendule, on retrouve notamment le savant Galilée.

Jusqu’à aujourd’hui, le pendule est un objet de convoitise dont on aimerait tous connaître le mode d’emploi. Nous allons donc vous montrer comment bien s’en servir à travers ces quelques astuces !

Qu'est ce que le pendule ?

Abbe BoulyLe pendule est généralement utilisé dans l'art de la divination qui est le plus souvent associé à la radiesthésie. Le mot radiesthésie est tiré du latin "radius" qui signifie rayon ou rayonnement et  du mot "aesthesis" qui veut dire sensibilité.

Il faut savoir que c'est grâce à l'abbé Bouly que le mot radiesthésie a pu voir le jour, et cela vers la fin du 19e siècle. Si l'on se base sur ces informations, on pourrait dire que la pratique de la radiesthésie ne s'est faite que très récemment. Ce n'est pourtant pas le cas. Effectivement, en remontant un peu dans le temps, on découvre que cette pratique existait déjà chez certains peuples comme les Romains et les Grecs durant la période de l'Antiquité.

De ce fait, pour bien connaître l'origine de cette pratique, il faut se concentrer sur son origine et non l'origine de son nom. Malgré le fait que la radiesthésie soit une pratique datant de plusieurs siècles, elle ne s'est pas estompée au fil du temps. Cela veut dire que de nombreuses personnes restent intéressées par la radiesthésie. Si vous figurez parmi ces gens et que vous souhaitez faire l'expérience de la radiesthésie, voici quelques conseils qui vous seront d'une grande aide.

Penduler étape par étape !

Le pendule est un art qui s’apprend et vous méritez autant que n’importe qui de savoir vous en servir. Ses bénéfices sont multiples, raison pour laquelle l’intérêt pour lui ne cesse d’accroître. Voici les étapes à suivre pour savoir penduler comme un véritable pro :

1- Commencez par faire le vide dans votre tête

Avant que vous ne commenciez à penduler, vous devez d'abord faire le vide en vous. Oubliez tout ce que vous avez vécu dans la journée et soyez concentré au maximum. Pour une meilleure concentration l'idéal, serait que vous soyez dans une position assise avec les deux pieds au sol. Evitez d’avoir les jambes croisées. Ensuite, fermez les yeux, respirez et détendez-vous. Voilà donc la première étape que vous devrez faire avant de vous lancer avec vos questions. Elle consiste à bien se concentrer avant de poser une question quelconque au pendule.

2- La programmation du pendule

Dans la seconde étape, une fois que vous serez bien concentré, pensez à programmer votre pendule. Chaque personne ne manipule pas un pendule de la même manière.

Il existe des personnes chez qui la prise en main d'un pendule est facile. Les gestes leur viennent naturellement tandis que chez d'autres, il n'est pas évident de réussir ces bons gestes. Si vous n'avez jamais tenu un pendule, sachez qu’il suffit de le prendre avec votre main directrice. Il peut s’agir de la main gauche ou de la main droite.

Ensuite, tenez entre le pouce et l'index le pendule à la moitié de sa chainette sans que votre coude ne s'appuie sur quoi que ce soit. En même temps, veillez à ce que votre poignet soit souple. Une fois que vous arrivez à ce stade, vous pouvez demander à votre pendule de faire la "convention". Le principe de la "convention" est simple. Il s’agit de définir dans quel sens le pendule doit tourner si la réponse est "oui" ou "non".

Voici deux façons pour vous de régler cette "convention". La première consiste à ce que vous définissiez le "oui" en faisant tourner le pendule dans les sens des aiguilles d'une montre. Vous pouvez ensuite définir le "non" dans le sens inverse. Il est également possible de faire un cercle pour le « oui ». Il suffit après de balancer le pendule de haut en bas pour le "non", vous pouvez faire l'inverse. N'oubliez juste pas que si vous n'imposez pas votre convention, elle s'imposera d'elle-même !

programmation pendule

Une fois que vous avez bien programmé votre pendule, vous aller maintenant pouvoir formaliser votre question. Avant cela, pensez à demander à votre pendule si le moment est propice pour poser une question. Passer par cette étape peut s’avérer essentiel car le pendule sait souvent à quel moment vous devrez poser votre question.

La plupart du temps, la réponse sera positive mais dans le cas d'une réponse négative, vous devrez poser votre question ultérieurement. Tâchez de poser une question simple, compréhensible et pertinente. En effet, si le pendule ne comprend pas ce que vous souhaitez savoir, il restera immobile ou bougera dans tous les sens et vous n'y comprendrez rien. Quand vous allez poser votre question, faites-le de façon entonnoir.

Vous pouvez par exemple commencer par "Pendule, puis-je te poser une question? Si la réponse est positive, vous continuez avec « puis-je te poser une question sur moi? ». Vous demandez ensuite si vous pouvez en poser une autre sur votre travail. Vous pouvez formuler vos questions dans votre tête ou à voix haute. Vous aurez toujours une réponse dans les deux cas.

3- L’entraînement

Si c'est la première fois que vous pendulez et que vous avez peur de ne pas vous en sortir, ne craignez rien… Vous pouvez vous entraîner grâce aux exercices et aux planches de radiesthésie. Il existe plusieurs façons pour vous de vous entrainer avec votre pendule. Le plus simple est bien sûr de faire appel à un ami.

Vous allez demander à votre ami de cacher un objet quel qu'il soit dans un endroit de votre maison. Vous essaierez par la suite de trouver sa cachette avec votre pendule. Vous pouvez aussi lui demander de cacher sous une serviette deux verres d'eau. Puis, demandez au pendule de trouver lequel est rempli d'eau. Un autre exercice consiste à demander à votre ami de cacher la dame de cœur dans un jeu de cartes. Mais si vous préférez penduler tout seul, vous pouvez également utiliser des planches de radiesthésie comme celle de Bovis.

Cette planche montre le taux vibratoire d’un corps, d’un endroit ou d’une chose. Les vibrations vont généralement de 0 à 18 000 unités UB.

4- Ne jetez pas l’éponge facilement !

Rappelez-vous tout de même que penduler n'est pas une chose facile à faire. Comme toutes les choses que vous entamez dans votre vie, penser à le faire avec l'envie de réussir. Persévérez et ne vous découragez jamais peu importe la difficulté. Dans le cas de l'apprentissage du pendule, il faut généralement compter plusieurs semaines de pratique pour avoir de bons résultats. L'entrainement que vous faites portera ses fruits en vous permettant d’obtenir des réponses justes et précises. Si vous vous lancez dans la pratique du pendule, ne doutez jamais de vos capacités et ne croyez pas qu’il est uniquement fait pour les gens qui ont un don particulier. Nous pouvons tous penduler, pourvu que nous possédions ne serait-ce qu’un peu de persévérance.

Pendule et radiesthésie

pendule

pendule

Comme on l'a dit plus haut, le pendule et la radiesthésie sont étroitement liés. Que signifie radiesthésie ? La radiesthésie explique qu'il est possible de former un lien entre notre faculté intuitive et notre esprit d'analyse, et cela à l'aide d'un outil spécifique comme le pendule.

L’Abbé Bouly est à l’origine du terme « radiesthésie », vers la fin du 19e siècle. L’origine du terme est la contraction entre deux termes latins. Le premier est « radius » et signifie « rayon ou rayonnement ». Le second est « aesthesis » et veut dire « sensibilité ». Les peuples grecs et romains ont été les premiers à pratiquer la radiesthésie durant l’Antiquité. Auparavant, l'utilisation du pendule était seulement destinée à répondre à des questions importantes sur notre vie. De nos jours, son utilisation est un peu plus variée.

radiesthésie

radiesthésie

Certaines personnes, par exemple, s'en servent pour trouver des objets ou des personnes disparues. D’autres cherchent même des trésors cachés à l’aide de leur pendule. Toutes ces choses que l'on peut faire avec un pendule ne seraient pas réalisables sans la radiesthésie. Malgré cela, le fonctionnement du pendule pendant une séance reste souvent un mystère. En effet, il n'est pas toujours évident de trouver des explications concrètes sur ce qui se passe généralement durant une séance. Il en est de même quant aux réponses que nous apporte cet outil.

Auparavant, les sourciers ou radiesthésistes utilisaient des baguettes pour faire des séances de radiesthésie. Au fil du temps, le pendule a vite remplacé cet outil qui n'est plus à la mode. Avec l'évolution, le pendule est maintenant fait avec diverses matières comme le métal ou encore le bois. Il possède des formes adaptées à tous les goûts.  En résumé, la radiesthésie est l'interprétation des mouvements que fait le pendule ou de la baguette.

Le pendule est-il magique ?

S'il y a bien une chose qui interpelle bon nombre de gens, c'est bien de savoir si le pendule est un objet magique ou non. Il est tout à fait normal de penser à une telle chose lorsqu’on en observe le fonctionnement. Toutefois, ce fonctionnement est plus facile à saisir qu’on ne le croit.

En réalité, les réponses délivrées par le pendule sont induites par notre subconscient. Effectivement, lorsqu'une question est posée, notre subconscient va réagir et envoyer une réponse qui va s'extérioriser par des mouvements de notre main. Ces mouvements sont ensuite amplifiés par le pendule. Le pendule nous aide à mettre en évidence les choses que notre conscient a du mal à sortir mais que notre subconscient connaît.

pendule magique

On peut donc dire que le pendule est une sorte de prolongement de nous-mêmes. Certaines personnes sont pourtant persuadées que les réponses qu'elles obtiennent avec les pendules proviennent de leur guide spirituel ou leur ange gardien. Malgré tout, les réponses données par le pendule ne sont pas forcément exactes si c'est notre inconscient qui y répond. N’oublions pas que l'inconscient peut être facilement influençable.

En effet, si nous désirons ardemment quelque chose, il se peut que notre mental prenne le dessus et nous donne la réponse que nous attendions à travers le pendule.

Quelques conseils supplémentaires

Penduler n'est pas destiné à quelques élus car tout le monde peut le faire. Il suffit juste de bien s'entraîner et de ne jamais se décourager. Il n'est pas utile d'avoir un équipement spécifique pour penduler. Une simple ficelle et une masse en bois, en métal ou encore en minéral suspendue au bout de cette dernière peut largement faire l'affaire. L'essentiel est d'avoir une réponse à nos questions.

Il ne faut pas oublier que le pendule est avant tout une continuité de nous-mêmes avant d’être un objet utile pour la détection et la prédiction. Comme le dit Julien, un radiesthésiste d’expérience, on l’utilise en premier lieu pour communiquer avec soi-même. Son premier usage est personnel. On l’utilise avant tout pour soi et trouver des solutions pour se sentir bien. C’est dans ce sens que Julien considère les réponses fournies par le pendule comme un message de notre intuition.

L’intuition envoie une réponse au cerveau qui envoie un signal électrique à l’épaule afin de produire un micro-mouvement. C’est ce mouvement invisible à l’œil nu qui fait bouger le pendule dans un sens ou un autre.

 

Bien que vous puissiez accorder énormément d’importance à l’esthétique dans votre quotidien, sache que ce ne sera pas toujours valable pour votre pendule. Il se peut que le pendule qui sera synchrone avec vous n'ait pas de forme bien particulière. Il ne sera pas forcément beau à regarder mais sera sûrement le plus réactif dans vos mains. Pour bien trouver cette perle rare, n'hésitez pas à en tester plusieurs. Et si vraiment vous n'arrivez pas à la trouver, demandez à des personnes qui ont de l'expérience dans la radiesthésie. Certains d’entre eux créent des pendules personnalisés qui pourraient vous aller.

Il y a bien des choses qui peuvent nous faire du bien dans le monde qui nous entoure. Ces choses dépendent évidemment de chacun de nous. Si pour certains sortir danser ou manger leur fait du bien, d'autres trouvent leur plaisir ailleurs… Sortir faire une petite randonnée en famille ou entre amis dans les bois en est un.

Cette activité peut paraître toute simple mais elle apporte pourtant un réel bienfait pour les personnes qui la pratiquent.

Avec les temps qui courent, cette activité est de plus en plus pratiquée par de nombreuses personnes. Apportant un réel changement dans la vie de ceux qui la pratiquent, elle nous permet de nous rapprocher à nouveau de la nature. Celle-ci est, depuis l'évolution du monde, est un peu tombée dans l'oubli.

 

Succomber à l’appel de la nature

Ce renouement avec la nature, aussi appelé "appel des arbres et de la forêt", se présente de différentes manières chez chaque individu. Pour certains, c'est un besoin devenu très fort. C’est un appel insistant, stimulé par l’envie de redresser la dégradation de la nature actuellement. Pour d'autres personnes, le retour à la nature est quasi instinctif. Lorsqu'on souhaite s'évader des environnements urbanisés, la nature nous offre tout ce dont on a besoin. Il en est de même lorsque nous avons besoin de nous ressourcer pour nous sentir mieux.

 

Les bienfaits des arbres et de la nature

Outre le fait de nous proposer des paysages de rêve, le fait de passer du temps dans la nature ne peut être que bénéfique pour notre être autant physique que mental. Une simple randonnée peut nous apporter de nombreux bienfaits. Le premier bienfait de la nature est bien sûr la pureté de l'air qu'on y respire.

Cela nous change entièrement des pollutions auxquelles nous sommes quotidiennement habitués en ville, sans compter les microbes qui circulent dans l'air. Ce qui rend l'air aussi pur et riche dans la nature, ce sont les arbres qui produisent des bactéricides et des fongicides.

De ce fait, l'air est enrichi par une substance totalement naturelle et bénéfique pour notre organisme. La nature nous offre également la tranquillité dont nous avons besoin. On est plus calme et moins stressé qu'en milieu urbain grâce à cette tranquillité. On ne ressent même plus la dépression que nous procure le monde qui nous entoure. L’harmonie des couleurs que l'on peut trouver dans la nature provoque également chez nous une sérénité que l'ont ne peut expliquer.

nature

 

Les arbres, ces êtres vivants qui respirent… 

Les arbres sont aussi des êtres vivants. Ils peuvent se défendre, se guérir entre eux comme nous le faisons. Ils peuvent aussi communiquer entre eux. Si vous souhaitez approfondir vos connaissances sur le sujet, vous pouvez lire le livre "La Vie secrète des arbres" par Peter Wohlleben. Cet ouvrage vous aidera à mieux comprendre comment fonctionnent les arbres et surtout la bienveillance que l'environnement nous témoigne.

 

Une meilleure concentration grâce aux arbres

Outre ces bienfaits qui font partie de la composition chimique des arbres et de la forêt, on constate également que la nature peut rendre notre concentration plus importante. De plus, elle régule notre humeur. Les arbres sont bénéfiques au développement des enfants surtout au niveau de leur concentration ainsi que de l'amélioration de leurs fonctions cognitives.

Pour le prouver, le laboratoire du Dr Mark Nieuwenhuijsen a mené une étude sur 2600 élèves de 36 écoles différentes. Les résultats de cette étude sont très révélateurs car on peut voir que les enfants ayant été le plus exposés à la nature ont vu leur faculté bien plus développée que la moyenne. On constate que la mémoire de travail chez ces enfants a été boostée de +6%. Leur faculté de concentration a été boostée de +1%.

 

La sylvothérapie et ses bienfaits

nature soinPour aller plus loin, parlons de la sylvothérapie, une thérapie par les arbres aux vertus presque miraculeuses. Nous cherchons souvent à changer d'environnement à cause de la toxicité du milieu urbain dans lequel nous vivons. La « sylvothérapie » a été mise en place pour nous y aider. Cette thérapie consiste à se ressourcer ponctuellement dans la nature en utilisant certaines méthodes.

Vous pouvez pratiquez cette thérapie selon votre possibilité ou en fonction de vos convictions. En général, la sylvothérapie se passe dans un environnement de détente comme une promenade ou un "Shinrinyoku" en japonais. Cette promenade est communément appelée "bain de forêts".

Selon les résultats de recherches menées au Japon depuis les années 1990, les personnes diabétiques qui pratiquaient régulièrement le "bain de forêts" pendant plusieurs années ont vu leur taux de sucre diminuer. De même, les personnes dépressives vont mieux rien qu’en passant une journée en forêt.

 

Le tree hugging pour se sentir mieux

Le fait de faire des câlins aux arbres ou « tree hugging » en anglais, fait partie des pratiques associées à la sylvothérapie. Le principe de ce câlin est simple : la personne choisit un arbre en bonne santé au hasard et l'enlace avec sincérité. Si vous n'avez pas le temps de vous rendre en forêt pour un bain de forêts, vous pouvez faire un câlin aux arbres qui se trouvent dans les parcs à proximité de chez vous.

Il existe aussi une autre méthode de guérison de nos douleurs physiques et émotionnelles lors de nos moments de détente en forêt qu'on appelle « vibrations énergétiques ». Cette méthode met en avant les énergies véhiculées par les arbres ainsi que les plantes. Les vibrations apportées par les arbres auraient une influence sur les gens.

A l’heure où l’évolution technologique prime, on ne devrait jamais oublier que la nature peut nous apporter bien plus que ce que l'on ne pourrait penser et qu'on devrait la respecter. Pour notre avenir ou celui des futures générations, préservons la nature. En effet, ses bienfaits nous apportent plus que les médicaments car ils ont de réels pouvoirs de "guérison". C’est dans ce contexte que de nombreuses cultures dans le monde entier considèrent les arbres comme sacrés. Profitons de leurs vertus tant qu’il en est encore temps !

Totalement insolite, le sujet abordé aujourd’hui nous oriente vers de nouveaux horizons. Il s’agirait de la fusion des esprits. Ce lien est appelé « coïncidence » par le lambda et probablement « télépathie » par les plus instruits. On en est tous victimes : on se rend compte que l’on pense la même chose que son interlocuteur. Et on le démontre en faisant le même geste.

 

La musique est un des éléments provoquant le phénomène que l’on évoque plus haut. C’est une expérience qui permet à l’esprit de se libérer et d’explorer de nouvelles opportunités. Lorsqu’on assiste à un concert, les choses sont légèrement différentes. La foule, la puissance des décibels. Les musiciens sur le podium et la musique qui passe font un mélange exceptionnel qui fait rêver. De même, elle pousse les spectateurs à réagir en simultané.

 

Le rythme, source de synchronisation

rythme

Les ondes cérébrales réagissent à chacune de nos activités humaines et se diffusent dans notre corps. Parfois, lorsqu’on est sujet à une expérience inhabituelle, ces ondes se transmettent. Une étude scientifique de la Cognitive Neuroscience Society au Canada révèle ce qui suit. Lors des concerts, les ondes se partagent entre tous les spectateurs. C’est le rythme qui leur permet de synchroniser leurs esprits et du coup leur gestes et réactions. Cela est d’autant plus vrai lorsque nous dansons souvent en groupe au rythme de la bonne musique.

Applications possibles

L’étude de la synchronisation mentale de plusieurs personnes subissant un même événement musical aura un effet. Celui de renforcer les interactions sociales. En effet, le timing, la précision, et l’improvisation sont décuplés et synchrones lorsqu’il s’agit de la bonne musique. Ceci peut permettre une avancée notable dans le traitement. Particulièrement chez des personnes atteintes de certaines maladies. Les sujets affectés par des troubles langagiers et moteurs pourraient ainsi en bénéficier. Notamment en ayant un début de traitement positif.

L’auteur Philippe Rodet a récemment évoqué l’implication des ondes dans les comportements bienveillants. De nos jours, les hormones ne sont plus les seules entrant en jeu dans ces derniers. Les comportements bienveillants s’adaptent au contexte actuel, ce qui est presque opposé au contexte passé. Désormais, on est loin de la pensée que les résultats s’obtenaient en générant du stress.

Contexte actuel et comportements bienveillants

Les comportements bienveillants évoluent en fonction de l’époque. Le contexte actuel voit la multiplication des sources de stress. Les nouvelles technologies de l’information et de la communication les favorisent. De ce fait, il a aussi été observé une implication de la santé et de la réussite dans les comportements bienveillants actuellement.

Comportements bienveillants et hormones

Le comportement bienveillant dont on parle ici se situe dans le contexte professionnel. Il est pratiqué et manifesté au travail. Philippe Rodet, ancien médecin urgentiste devenu consultant, se penche fortement sur ce dernier dans ses ouvrages. Dans son ancien métier, il a eu recours au comportement bienveillant dans plusieurs contextes. Il s’est montré bienveillant autant envers ses collègues que ses patients.

Il leur a témoigné de la sympathie, du respect, de la compréhension, de la politesse… Et dans ses arguments, il parle d’une relation entre hormones et comportements bienveillants. Selon lui, ces comportements influent sur les hormones. Nous sommes capables de produire de l’endorphine et de l’ocytocine en adaptant nos comportements en vue de hausser les émotions positives et de réduire les émotions négatives.

L’endorphine et l’ocytocine sont capables de réduire le niveau de stress et de rendre les relations entre les personnes bien meilleures. Les équipes sont plus soudées, les collaborateurs plus créatifs grâce à leur libération au lieu de travail. Ils ont de plus en plus envie de bien faire au travail. Ils visent leur réussite et tendent même à faire plus que ce qu’ils peuvent. Ils affichent de nombreux comportements bienveillants dont celui de fixer des buts ambitieux et pourtant réalistes.

Ils se lancent ainsi un défi qu’ils tentent de remporter par tous les moyens. Ils cherchent leur accomplissement au travail. Ils cherchent leur succès que l’on peut aujourd’hui associer à certaines ondes.

Cerveau et ondes

cerveauLes natures des ondes émises par notre cerveau sont diverses. Lorsque notre cerveau dort profondément, il émet des ondes de 0,5 à 4 Hz appelées ondes Delta. Les ondes Thêta allant de 4 à 8 Hz sont émises alors que le cerveau est en relaxation profonde. Les ondes Alpha de 8 à 12 Hz surviennent durant l’éveil calme. En veille active, le cerveau produit des ondes Bêta de 12 à 30 Hz.

Enfin, lorsqu’il réalise une activité intellectuelle intense, le cerveau émet des ondes Gamma puissantes de 40 Hz. Guy Cheron, professeur de neurophysiologie à l’Université Libre de Bruxelles, s’est penché sur les ondes reliées au succès. Pour cela, il a choisi les athlètes de haut niveau. Il les a testés tout en essayant de trouver comment faire émerger facilement ces ondes.  

Les ondes responsables du succès

Le professeur a ainsi cherché puis découvert les ondes responsables du succès. Selon lui, « le rythme Alpha est à la base de la performance ». En d’autres termes, réussite et ondes Alpha vont de pair. En menant son expérimentation sur des athlètes de haut niveau, il a aussi découvert que ceux-ci produisaient des ondes Alpha en repensant à un grand succès sportif de leur passé. De même, il a aussi mis en évidence une association entre onde Alpha et épreuve sportive. Lorsqu’elles surviennent avant ladite épreuve, le succès est souvent au rendez-vous.

Pour rappel, les ondes Alpha apparaissent quand le cerveau est en éveil calme. C’est lorsque le cerveau est au repos que ces ondes sont les plus fortes. A ce moment-là, le cerveau « permet une meilleure acuité et une meilleure perception de l’environnement sensoriel notamment ».

Produire plus d’ondes Alpha

Le célèbre psychologue hongrois Mihaly Csikszentmihalyi désigne l’état de « flow » comme favorisant au plus haut point l’apparition des ondes Alpha. Cet état est un mélange de calme et de vigilance et permet au cerveau d’avoir une efficience optimale. Pour le professeur Guy Cheron, « la combinaison entre le défi et l’habileté à le relever peut nous conduire à un état de flow susceptible de générer la meilleure performance ».

Le niveau des objectifs que l’on se fixe au travail est relatif à l’état de flow. En effet, savoir se fixer des objectifs conduit au succès. Les objectifs ambitieux et réalistes permettent cette « combinaison entre le défi et l’habileté à le relever » dont le professeur Cheron parle. Lorsque les objectifs fixés sont trop élevés, la personne devient stressée et n’est pas performante. Et s’ils sont trop bas, la personne ne réussit pas ce qu’elle entreprend et s’ennuie. C’est donc en se fixant des objectifs ambitieux et réalistes qu’il éprouve et manifeste un comportement bienveillant. Le fait de sentir qu’il accomplit quelque chose qu’il peut réussir le rend heureux. Il se sent plus serein et également plus efficace. L’acuité de son cerveau est décuplée. En somme, ces objectifs fixés durant les moments difficiles et le fait de repenser aux succès antérieurs réduisent amplement le stress.

Au final, les comportements bienveillants mènent au succès, à la santé, au bonheur et à l’engagement professionnel. Lorsqu’on sait éprouver plus de gratitude et être plus autonome et exprimer de l’empathie en même temps, les comportements bienveillants se développent de plus en plus. On ressent moins de stress et plus d’épanouissement au travail. Les relations au sein du lieu de travail sont meilleures et cela impacte aussi sur l’engagement ainsi que le succès professionnels. L’envie de faire des efforts réapparaît et l’on finit par permettre aux autres de se réaliser. On peut donc déduire l’importance des comportements bienveillants sur le lieu de travail.

 

Pour aller plus loin, on peut dire que les comportements bienveillants impactent sur la motivation des salariés au travail. Ils réduisent le stress, rendent plus motivés, et serait donc un atout à utiliser en entreprise. En ouvrant son propre cabinet de conseil et en écrivant des ouvrages phares sur les comportements bienveillants, Philippe Rodet contribue à leur donner une meilleure place en entreprise.

L’étude des ondes cérébrales a longtemps passionné et fasciné les hommes. Le fonctionnement du cerveau et ses nombreuses applications ont été les sujets de nombreuses recherches. C'est un secret de polichinelle, le plus gros ordinateur du monde est le cerveau humain. Il est encore si mystérieux que l’être humain n’exploite que 15% de ses capacités.

La synchronisation des ondes cérébrales chez l’homme a alors entraîné une multitude d’études. Toutes plus étranges les unes que les autres et rivalisant d’ingéniosité. C’est à ce titre que certaines applications de la synchronisation ont été testées sur des sujets animaux. Même si la plupart ne sont pas encore reconnus, ces exercices permettent d’établir des théories intéressantes.

 

La Synchronisation des ondes chez l’homme

Chez les hommes, les ondes cérébrales se manifestent sous forme de pulsations régulières, rythmées et cohérentes. Ce sont ces pulsations qui se traduisent sous forme d’onde. Les ondes cérébrales se déterminent alors en hertz. Ce qui nous donne une large gamme d’ondes suivant la puissance de la pulsation : delta, thêta, alpha, bêta et gamma. La synchronisation chez les hommes a été initialement élaborée pour la santé. Principalement par écoute. Il permet d’atteindre un état de conscience recherché et de soigner certaines maladies.

Principes des ondes cérébrales

Les ondes cérébrales indiquent le degré de fonctionnement du cerveau. Toutes les activités de l’individu correspondent donc à une fréquence des ondes. De ce fait pour obtenir plusieurs résultats, on peut agir sur nos ondes selon ce que chacun désire. Qu’il s’agisse de dormir profondément. De se relaxer. De retrouver son calme ou de rester actif à 100%, la calibration des ondes est indispensable. L’écoute de certains sons sous différentes fréquences permet alors d’atteindre les états recherchés.

 

 

La synchronisation des ondes chez les macaques rhésus

Le macaque rhésus est l’espèce de primate la plus répandue après l’homme. Il est également l’un des plus proche de la constitution humaine. D’aucuns l’appellent « le cousin » de l’être humain de par l’étonnante similitude avec ce dernier. C’est cette ressemblance qui fait de cet animal le parfait sujet de recherche pour décrire les phénomènes humains.

 

L’expérience du siège

L’expérience du siège est la référence principale en matière de synchronisation des ondes cérébrales. Notamment d’un sujet A vers un sujet B. En effet, deux macaques ont été placé sur deux chaises différentes. Une motorisée et l’autre fixe. L’animal sur la chaise fixe doit observer son compère traverser la pièce suivant une trajectoire définie. Au bout du chemin chaque animal est récompensé. Une grappe de raisin pour le passager et un jus de fruit pour l’observateur. Leur comportement a donc été analysé.

 

Synchronisation corticale inter-cérébrale (ICS)

L’expérience a montré que les deux primates ont vécu le test de la même manière. Certaines zones de leur cerveau s’activent et s’éteignent simultanément. Notamment les cortex moteurs. Plusieurs facteurs ont justifié ce postulat. Le mouvement. La distance qui sépare les bêtes et les récompenses. Plus près est la récompense, plus développée est la synchronisation mentale chez les deux sujets. Par ailleurs, la réaction des primates est influencée par leurs relations sociales. L’ICS est plus poussée lorsque le passager est d’un rang supérieur et plus près de l’observateur. Dans le cas opposé, l’ICS ne se manifeste pas de la même manière surtout par rapport au rapprochement.

 

Il est donc indéniable que bientôt, l’ICS pourra aider à diagnostiquer plusieurs maladies mentales. Et ainsi aider à leur guérison. Elle peut d’ailleurs aider à accroitre la cohésion d’un groupe musical. D’une troupe d’acteurs, de danseurs et parfois d’athlètes. Avec un peu plus de connaissance sur la synchronisation cérébrale, les applications pour le mieux-être mental seront énormes.

Appelée "shinrin-yoku"(douche de forêt) au Japon (archipel de 6 852 îles de plus de 100 m2), la sylvothérapie améliorerait notre santé au contact des arbres. Les différentes études scientifiques successives ont invité le gouvernement Nippon à s’intéresser très sérieusement à cette thérapie à tel point que le pays du soleil levant a fondé 62 sites de soins en forêt depuis plusieurs décennies.

Les vertus de la sylvothérapie sont connues depuis la nuit des temps par une grande quantité de religions des peuples dits « primitifs ». Des anciennes mythologies à la période la plus récente de l'histoire de l'humanité (la société celtique, les Amérindiens, le bouddhisme, le chamanisme, l’animisme, le néo-druidisme, les courants New Age, les arts martiaux énergétiques ou encore les rebouteux de nos campagnes...), les rapports de l’homme avec la nature (monde végétal, animal et minéral) reposent sur une communion intime, empreinte d’un réel respect de l’unité.
Mise à mal par une mutation technologique trop rapide, notre société redécouvre les bienfaits d’une simple balade en forêt, qui peut se révéler comme l’une des meilleures ordonnances naturelles pour lutter contre les agents stressants négatifs. Connue chez les anglo-saxons sous le nom de Tree Hugging ou « l’art de faire un câlin à un arbre », la pratique de la sylvothérapie est devenue un effet de mode populaire en France sous le nom de "médecine verte", parfois prescrite par le monde médical. Elle révèle surtout le besoin d’un retour urgent vers l’essentiel, à savoir renouer avec la nature dans sa plus grande simplicité, comme le soulignait un reportage dans le journal de 20 heures sur TF1.

 

Pourquoi la sylvothérapie est-elle bénéfique ?

Selon plusieurs études, le "shinrin-yoku" renforce (entre autres) le système immunitaire, régule la pression artérielle et réduit toutes les formes de stress et les risques de dépression... Certains scientifiques expliquent en partie les bienfaits du contact des arbres par les phytoncides (un ensemble de molécules excrétées dans l'air par les arbres et les forêts) qui joueraient un rôle de défenses (bactéricides, fongicides) et de communication (phytohormones) entre les arbres. On connaît dorénavant le rôle positif sur la santé humaine de ces molécules, qui, absorbées par la peau et les voies respiratoires, stimuleraient l'activité des lymphocytes NK. Suivant l’essence de l’arbre, les actions bienfaisantes sont diverses : Ainsi le hêtre serait relaxant, l’épicéa tonifiant, les saules anti-stress, les chênes apporteraient de la force, le tilleul de la chaleur, les pins maritimes et les eucalyptus seraient bénéfiques pour les poumons ... Si les bienfaits sur la santé sont pris très au sérieux par le gouvernement japonais, les Chinois connaissent les vertus de la sylvothérapie depuis des siècles. Dans les parcs de l’empire du milieu, on peut admirer l’héritage du passé en observant les anciens se fondre dans l’énergie des arbres, enlacés ou adossés à leur tronc, pour mieux percevoir les odeurs, les bruit et les sensations du monde végétal. Pour les adeptes de la marche dans la forêt, des études Nippones ont « montré que le sang des personnes ayant marché dans les bois contient un taux de cortisol (l’hormone du stress) beaucoup plus bas que celui des personnes ayant couvert la même distance en ville. On constate également une diminution de la tension artérielle et du sucre dans le sang. Le bain de forêt peut durer 2 heures ou plusieurs jours ». Lors d’une étude expérimentale de l’université d’Hokkaido, on a observé

qu’une marche de 3 ou 6 km dans la forêt effectuée par des patients souffrant de diabète de type 2, réduisait la glycémie et le niveau d'hémoglobine glyquée.

 

Comment « faire » exactement pour profiter des bienfaits de la sylvothérapie ?

Vous avez plusieurs méthodes à votre disposition pour profiter des bienfaits du "shinrin- yoku", suivant votre « feeling » et vos capacités physiques. Si certains se promènent doucement pieds nus à pas feutrés sur des feuilles ou sur le sol de la forêt, d’autres préfèrent enlacer des arbres.
Comme le soulignent les druides, l’arbre « vous choisit ». Laissez-vous guider instinctivement pour « embrasser » votre arbre (sain, cela va de soi). Si vous préférez vous adosser contre son tronc, faites-le contre sa face nord, les pieds nus bien ancrés dans le sol et les paumes de vos mains posées sur l’écorce.
Attention, contrairement aux certitudes populaires, la mousse sur le tronc n’indique pas toujours le point de l’horizon ! Autre technique, celle que je préfère : Pendant 5 minutes, une main sur le sacrum (paume contre l’écorce), l’autre contre le plexus solaire, l’arrière de la tête reposée contre l’arbre (les pieds entre les racines), prenez une profonde respiration qui implique et sollicite les quatre diaphragmes.
Votre inspiration doit être égale à votre expiration dans la durée. Ensuite changez la position de vos mains afin de respecter la polarité du corps. Fixez votre esprit sur le présent, tous les sens en éveil, sans vous laisser distraire par des bruits parasites extérieurs. Tout en écoutant le chant du silence, ponctué par le frémissement des feuillages, « sentez » physiquement l’écorce et les métabolites secondaires appelés terpènes (composants majeurs de la résine et de l'essence de térébenthine) produits en particulier par les conifères et dont les vertus sont dynamisantes.
Pour celle ou celui qui choisit le « Tree Hugging », fermez les yeux et laissez l’arbre vous imprégner, le front posé sur l’écorce.

Sachez également que le bain de forêt (si prisé des Japonais) peut se transformer en une promenade méditative et relaxante qui mobilise tous nos sens. Avant de repartir, n’oubliez pas de remercier l’arbre. Un vieux conseil de druide vous encourage même d’uriner au pied d’un chêne si cet arbre vous a choisi ! D’autres méthodes existent. De nombreux ouvrages sont disponibles pour éclairer votre curiosité en lien avec les bains de forêt.

Les arbres sont nos meilleurs amis dans de nombreux domaines : Santé, psychologie, pratiques, spiritualité... Ils nous éclairent et nous réchauffent, nous nourrissent et nous protègent, nous aident à construire notre habitat, nos outils, nos bateaux et nos meubles... mais surtout ils sont une immense source d'inspiration.
A travers une promenade dans les bois, non seulement notre corps absorbe les huiles essentielles des arbres, mais il entre également en résonance avec des vibrations qui nous unissent avec l’essentiel et nous permettent d’accéder à la profondeur de ce qui nous anime. Si le shinrin-Yoku est une véritable pierre angulaire de la politique de médecine préventive au Japon, il se révèle être également un voyage intérieur bercé par la musique de la vie, une aventure personnelle dont l'ultime récompense est la rencontre avec soi. Frank Lloyd Wright avait raison quand il affirmait : « Je crois en Dieu, sauf que je l'appelle Nature ».

Avec le retour du beau temps et du rallongement des journées, la dépression saisonnière devrait s’estomper chez 1.3% à 4.6% des Européens atteints par ce trouble affectif saisonnier (TAS), dont 70 et 80 % sont des femmes. Un rapport souligne que « Chez les personnes souffrant de dépression classique ou de maladie bipolaire (avec des épisodes dépressifs), la dépression présente une exacerbation saisonnière chez 10 à 15 % des personnes touchées ». Pour rappel, plus on s’éloigne de l'équateur, moins l’ensoleillement est présent et plus le TAS augmente, à tel point que certains pays proches des pôles connaissent un taux supérieur de suicides, engendrés par le manque de lumière naturelle mesurée en Lux (2 000 lux en moyenne les jours d’hiver et 100 000 lux lors des belles journées estivales). A noter également que le TAS, reconnu médicalement sous certaines conditions
bien spécifiques, peut toucher certaines personnes même en plein été (canicule 2003).

 

Quelles sont les principales actions à suivre pour réduire le TAS ?

Depuis 1984, date de la découverte du rôle joué par la luminosité sur l’humeur et l’horloge biologique interne (Dr Norman E. Rosenthal (psychiatre et chercheur au National Institute of Mental Health), les chercheurs s’évertuent à trouver une ou des solutions pour enrayer ce phénomène en lien avec le manque de luminosité. Voici les principales mesures préventives de base, liées aux dernières recherches scientifiques, pour contrecarrer le TAS. En premier lieu, même si les symptômes disparaissent progressivement lors du retour du soleil, il est recommandé de consulter votre médecin traitant afin qu’il établisse un diagnostic personnalisé.

La luminothérapie : Sachant qu’un bain de lumière est bénéfique (journée d’été ensoleillée : de 50 000 à 130 000 lux), ne pas tomber dans le piège de la luminosité d’intérieur, car une maison ne renferme que 100 à 500 lux. Un bureau bien exposé à la lumière ne propose quant à lui que 400 à 1 000 lux. Faites-en sorte que les murs de votre maison (studio, appartement...) soient clairs avec des miroirs placés en fonction de la lumière et des fenêtres dégagées (non occultées par des rideaux sombres filtrant la luminosité). C’est pourquoi, lors de la construction d’une maison, il est important de bien vérifier en amont son orientation par rapport au soleil et aux points cardinaux. Quel que soit votre choix, n’oubliez pas que le spectre lumineux du soleil est totalement différent que celui d’une lumière artificielle.

Il existe un autre moyen d’atténuer les symptômes du TAS en restant chez soi, grâce à la luminothérapie artificielle. D’abord, les spécialistes recommandent pour les adultes de débuter graduellement le matin (10 à 15 minutes) puis allonger l’exposition (30 à 45 minutes par jour) à une lampe spéciale (sans rayons ultraviolets) dont l’intensité lumineuse est de 10 000 lux (attention, pour les plus jeunes environ 15 à 20 minutes par séance). Ne jouez pas à l’apprenti sorcier, même si plusieurs études confirment l’efficacité de la luminothérapie. « En pénétrant dans l’oeil, la lumière blanche envoie des messages chimiques dans la région du cerveau qui régule les rythmes biologiques et la production de diverses hormones». Des effets indésirables et des contre-indications sont envisageables (maux de tête, agitation, douleurs et problèmes oculaires, effet sédatif, traitement contre le glaucome...). Nous vous rappelons qu’il est préférable voire indispensable selon les cas de consulter son ophtalmologiste et/ou son médecin traitant avant de décider seul(e) un traitement de luminothérapie.

Les lampes à lumière bleue : Méfiance, même si les fabricants vantent les avantages de ces lampes portatives«nouvelle génération» qui émettent uniquement unelumière bleue, aucune preuve scientifique conforte la position de ces fabricants : « L’ensemble des recherches indique que le meilleur effet thérapeutique s’obtient avec le spectre lumineux complet d'une lumière blanche de 10 000 lux », affirme le Dr Hani Iskandar (chef médical à l’Institut Douglas).

Simulation artificielle de l’aube : Contrairement à la lampe « lumière bleue », la simulation de la luminosité d’un lever de soleil grâce à un réveille-matin « simulateurs d'aube » a prouvé son efficacité (méta-analyse effectuée sur 5essais cliniques). Programmée pour éclairer la chambre progressivement une demi-heure avant votre réveil (heure choisie le soir avant le coucher selon vos obligations familiales, professionnelles...), l’efficacité de la « lampe d'aube » fut prouvée en 2005.

Exercice physique : L’exercice physique agit contre tous les types de dépression. Pratiquer en plein air, son efficacité contre le TAS est double puisqu’il bénéficie également de l’effet « lumière du jour ». Dépourvue d’effets secondaires sérieux, la luminothérapie se révèle donc plus efficace, combinée à l’exercice physique. Comme le souligne plusieurs études menées en Finlande, une bonne marche alliée à un bain de lumière naturelle se révèle en effet bénéfique (au moins 1 heure par jour, même en hiver).

Mangez du poisson : À l’heure actuelle, les chercheurs supposent que la consommation élevée de poissons + fruits de mer (riches en acides gras oméga-3), agit contre la dépression saisonnière. Suite à une étude faite sur les Islandais, peu touchés par le TAS, une hypothèse scientifique souligne que « certains facteurs liés aux gènes contribueraient également à tenir ce peuple plus éloigné de cette forme de dépression » (sources : www.passeportsante.net).

Antidépresseurs : Le recours aux antidépresseurs s'est avéré efficace notamment pour les personnes « imperméables » à la luminothérapie (symptômes non soulagés pour les uns, thérapie inefficace pourles autres...). Parfois, le mariage des deux s’avère positif.
Psychothérapie : Pour certaines personnes, des séances de psychothérapie s’avèrent positives etefficaces dans le traitement de la dépression saisonnière, à travers un travail spécifique sur les attitudes négatives et les comportements.

Recherches : Quelques études font apparaître que la prise de suppléments d’un acide aminé 5-http ou oxitriptan (précurseur immédiat de la sérotonine et extrait d'une plante ne pouvant pas être brevetée), serait une bonne solution pour les personnes « non compatibles » avec la luminothérapie. Ces études ont mis en relief qu’un faible taux de sérotonine dans le cerveau serait un facteur du déclenchement du TAS. Actuellement, des suppléments de mélatonine pourraient également atténuer les symptômes chez certaines personnes. Malheureusement, on avance à pas feutrés car on ignore toujours les effets (à long terme) des suppléments de mélatonine sur l'organisme, connue comme étant l'hormone centrale de régulation des rythmes chronobiologiques, en étant synthétisée surtout la nuit. Enfin, le Millepertuis (Hypericum perforatum) pourrait également s’avérer efficace dans le traitement de la dépression saisonnière, mais aucune évaluation tangible va en ce sens (manque d’études actuelles) même si les effets de cette plante sont réputés et reconnus dans le cadre de la dépression classique. Alors n’hésitez plus. Avec le retour des beaux jours, prenez des bains de soleil qui permettront la fabrication de la vitamine D, essentielle pour les os. Néanmoins, gardez bien en tête qu’une exposition excessive aux rayons ultraviolets (UV) est dangereuse pour la peau et pour les yeux.

Sénèque disait : « Quand le soleil s’éclipse, on en voit la grandeur ». A travers le TAS, on s’aperçoit que lorsque le soleil fait défaut, un seul astre vous manque et tout est dépeuplé !

 

 

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A l’heure des bouleversements technologiques et des changements de mentalité, un retour vers l’essentiel s’avère nécessaire dans « la voie de l’accomplissement de soi ». La connaissance fait partie de la Vérité même si nul ne détient cette dernière. Ne dit-on pas que, même une horloge arrêtée a raison deux fois par jour ? Néanmoins, La VERITE doit être transmise afin de contrecarrer les dérives dangereuses d’une société axée sur le grégarisme ou le « moutonisme », des dérives savamment orchestrées à des fins politiques, militaires, religieuses, publicitaires et mercantiles. La mystification, la manipulation, le mensonge ou la désinformation, bloquent l’accès aux passages secrets de votre cerveau et à l’invisible, cet autre versant de la montagne sur lequel se cachent les secrets des grands Maîtres, des compagnons du devoir ou des guides spirituels.

Dans ce monde où tout est analysé, scruté, décortiqué, il existe un autre univers invisible et harmonieux où le temps et l’espace n’existent pas. C’est celui de l’Esprit, de la conscience et de l’intuition (ou ressenti). Pour atteindre le sommet de la pyramide de la partie visible de « l’univers », il revient à chacun(e) de tracer soi-même son chemin de vie pour y arriver. Grâce aux éveilleurs de conscience (musiciens, philosophes, Maîtres d’arts martiaux, artistes, guides spirituels, écrivains...), nous pouvons tous chercher à « regarder à l'intérieur » de soi. Cette introspection permet de mieux apprendre à se connaître, à mieux comprendre le monde qui nous entoure et à transmettre à notre tour l’essentiel. Jean Gabin disait en 1974 dans une reprise de la chanson « But Now I Know », « Toute ma jeunesse, j'ai voulu dire JE SAIS, Seulement, plus je cherchais, et puis moins je savais. Il y a soixante coups qui ont sonné à l'horloge, Je suis encore à ma fenêtre, je regarde, et je m'interroge. Maintenant JE SAIS, JE SAIS QU'ON NE SAIT JAMAIS ! La vie, l'amour, l'argent, les amis et les roses, On ne sait jamais le bruit ni la couleur des choses, C'est tout ce que je sais ! Mais ça, je le SAIS... Le sage Chinois disait « que l’on naît jardinier et on meurt apprenti jardinier ». Comprendre ces quelques mots, sont les premiers pas vers cet autre versant que les Maîtres Japonais appellent URA (le versant visible est « l’OMOTE »). Mais alors, comment accéder à ce monde merveilleux ? « Il suffit » de vous appuyer sur le travail des Maîtres du passé, sur les recherches scientifiques du présent afin de penser et agir avec le futur. Seule cette équation vous permettra de quitter la rive du verbe PARAITRE pour passer à celle du verbe ETRE qui libérera ce potentiel que chacun possède et sous-estime. Dans le monde des arts martiaux, les vieux maîtres disent à juste titre que les occidentaux « jugent aujourd’hui le tigre sur la couleur de sa peau en oubliant l’importance des os ».

 

Pourquoi il est si important d’éveiller sa conscience

Nous vivons une période de mutation à tous les niveaux, à l’exemple de la robotisation sauvage et son impact futur sur notre vie. Aujourd’hui, la DARPA crée des robots guerriers pour l'armée américaine. Au Japon une intelligence artificielle s’est présentée aux élections municipales, oui vous avez bien lu, une machine ! Aux USA, « L'Agence américaine du médicament vient d'autoriser pour la première fois une intelligence artificielle à poser un diagnostic sans être supervisée par un médecin ». En chine, un expert en intelligence artificielle s’est même marié avec son robot humanoïde et dans l’empire du milieu, la science-fiction a rejoint la réalité puisque des machines donnent des cours de Tai chi chuan. Pendant ce temps, un Français a inventé « un robot qui se répare tout seul comme un animal blessé ». Nombreux sont les experts qui appellent à une gestion responsable tels Bill GATES, le regretté Stephen HAWKING ou Elon MUSK qui déclare que « l’intelligence artificielle est un risque fondamental et existentiel pour l’humanité ». Ces informations sont-elles données par un lanceur d’alerte ou par un éveilleur de conscience ? La frontière entre les deux est ténue. Le premier cité, est un éclaireur « qui se rend compte qu’il y a un dysfonctionnement important et que les voies pour le dénoncer ne fonctionnent pas », alors que le second, à l’instar d’un compagnon du devoir, s'engage à partager son savoir et vous aide à vous révéler à vous-même. Si les éveilleurs de conscience nous invitent à revenir à l’essentiel, des « experts » (complices à l’insu de leur plein gré de la désinformation), s’évertuent encore à démontrer que c’est la vérité qui se trompe ! Mais alors dans ce monde de paradoxes, n’est-il pas idiot d’être des acteurs de nos maladies et rester de simples figurants quand il s’agit de nous guérir ? N’est-il pas incohérent de « cultiver nos maladies et demander à d’autres de les supprimer » alors que la science, les médecines (conventionnelle, traditionnelle, ethnique...), les sons (musique thérapeutique), les arts énergétiques (tai chi chuan, Qigong, Yoga)... et les éveilleurs vous indiquent les chemins à suivre pour une vie meilleure ? Et que dire du classement mondial des pays où l’on vit le mieux (Danemark, Suède, Norvège...) qui sont également ceux où l’on enregistre aussi le plus de suicides au monde (étude publiée par le magazine Forbes) ? En fait, le paradoxe Scandinave serait engendré par la loi de Jante (forme de code conduite pour atteindre le bonheur, un code propre à la Scandinavie) qui est appliquée dans ces sociétés de manière plus ou moins inconsciente, au détriment de la loi naturelle de l’unicité et du développement personnel. Cette loi de jante aurait-elle des effets pervers ? Enfermerait-elle les personnes dans le moule du « moutonisme social », pour empêcher chaque individu de se dépasser ou de donner le meilleur d’eux-mêmes ? Actuellement ces questions posées par les éveilleurs de conscience font débat. Comme quoi, c'est le bon sens qui nous fait deviner les hommes et l'expérience connaître les choses. Malheureusement, comme le disait Napoléon Bonaparte « De l'esprit au bon sens il y a plus loin qu'on ne pense ».

A suivre...

 

 

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La peur est un sujet que les scientifiques aiment étudier, notamment dans le cadre de sa gestion par le cerveau. Des scientifiques lausannois ont ainsi étudié ce qui se passe dans ce muscle quand nous avons peur. Les résultats de leurs recherches nous éclaircissent quant au fonctionnement du cerveau et pourraient même permettre de traiter différentes phobies.

 

Quelle zone du cerveau réagit quand nous avons peur

Ron Stoop, chef de l’unité de l’anxiété et de la peur au Centre de neurosciences psychiatriques du Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV), explique que l’amygdale et le noyau du lit de la strie terminale, soit deux structures dans le cerveau, entrent en action lorsque nous nous retrouvons en situation de peur.

L’amygdale est un noyau cérébral ayant la forme d’une amande que l’on trouve derrière les tempes du cerveau. C’est elle qui réceptionne les messages de nos différents sens, à savoir l’ouïe, l’odorat, le toucher, la vue et le goût. Ces messages la préviennent en cas de danger et active l’amygdale qui nous conduit à cet état de choc durant lequel nous semblons si impuissant, lorsque que quelque chose nous fait peur.

Puis, les structures corticales du cerveau peuvent émettre un signal à l’attention de l’amygdale. Ce signal permet de l’inactiver et c’est à ce moment précis que nous retrouvons notre capacité à décider pour échapper à la situation qui nous effraie.

 

cerveau peur

 

L’ocytocine peut réduire la peur

Selon Ron Stoop, il existe différents systèmes dans le cerveau capables de réduire le niveau de la peur s’il le faut. L’ocytocine en fait partie. Cette hormone produite par le cerveau inhibe l’activité de l’amygdale et intervient lorsque nous avons peur, lorsque nous nous attachons aux autres ou dans d’autres aspects de notre existence.

Pour montrer l’implication de l’ocytocine dans nos peurs, les chercheurs lausannois ont mené une expérience sur des rats. Le but était de relâcher l’ocytocine interne et de réduire la peur, et ils y sont parvenus. Pour ce faire, ils ont modifié génétiquement les cellules secrétant l’ocytocine afin qu’elles soient sensibles à la lumière bleue.

Ils ont ensuite éclairé ces cellules avec un laser bleu afin que le cerveau des rongeurs secrète plus facilement l’ocytocine. Ces rats, immobilisés par la peur, se sont ressaisis quelques secondes après. Le laser bleu a rapidement interrompu leur peur. Cela prouve qu’une fois que l’ocytocine est libérée, la peur est réduite.

Après cette expérience, les scientifiques lausannois essaient d’aider un rat à vaincre sa peur en le mettant en compagnie d’un animal qui n’a pas appris à dompter sa frayeur et qui restera calme durant l’expérience. Si on appliquait cette expérience aux humains, on pourrait démontrer que le soutien social pourrait aider à surmonter la frayeur, grâce à la libération de l’ocytocine.

Le multitasking est aujourd’hui très courant. Il s’agit du fait de réaliser plusieurs tâches à la fois. Malgré cela, on constate qu’il nous est difficile de faire de nombreuses choses en même temps. En fait, une étude vient de montrer que notre cerveau ne pourrait pas faire plus de deux choses en même temps, sa constitution ne le permettant pas.

 

Les hémisphères du cerveau

Bien qu’il soit performant, notre cerveau ne peut pas se concentrer sur plusieurs choses en même temps. Il ne peut pas assouvir de nombreuses tâches de manière consciente. Des scientifiques ont étudié le cerveau à l’aide de l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf).

Il s’agit de Sylvain Charron et d’Étienne Kœchlin qui ont mené une expérience en laboratoire sur une trentaine d’étudiants volontaires en se servant de l’IRMf. Ils ont analysé le cerveau de ces volontaires et découvert, dans leur étude parue dans Science le 16 avril 2010, que les deux lobes des deux hémisphères de leur cerveau droit et gauche travaillent de manière simultanée lorsque chacun d’entre eux réalise une tâche.

Ces lobes se trouvent à l’avant du cerveau et agissent en matière de raisonnement et de réalisation des tâches. Les hémisphères gauche et droite du cerveau interagissent dans le cadre de la réalisation d’une tâche.

 

La réalisation de deux tâches

Pendant l’étude, il a été démontré que lorsqu’un sujet volontaire tente d’effectuer deux tâches à la fois, la communication entre les deux hémisphères est rompue. Chacun d’entre eux s’occupe respectivement d’une tâche.

A ce niveau, le cerveau arrive encore à gérer les choses en chargeant une zone préfrontale à garder en mémoire les deux tâches à réaliser afin qu’elles soient traitées de manière successive. Et cela ne prend qu’une centaine de millisecondes pour passer d’une tâche à une autre, donnant ainsi l’impression qu’on les effectue simultanément.

 

homme tache

 

La réalisation de trois tâches et plus

Aussi incroyable soit-il, le cerveau se limite hélas à deux tâches à traiter en même temps. Les scientifiques français ont répété leur expérience en confiant trois actions à faire simultanément aux sujets volontaires. Ils s’y sont attelé et montré un certain désordre dans leur réalisation.

Des erreurs sont survenues, leur temps de réaction était plus long et ils ont fini par laisser tomber au moins une des tâches. Cela prouve que notre cerveau n’est fait que pour un maximum de deux tâches à la fois et que forcer les choses ne feraient que les aggraver. Le fait de ne pas pouvoir dépasser les deux actions simultanées pourrait aussi expliquer les nombreuses limitations que l’on rencontre lorsqu’on essaie de raisonner, de décider ou de s’adapter comme il faut.

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