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En dehors du trouble de déficit de l'attention et des troubles du développement, c'est en psychopathologie et en médecine comportementale que les effets des sons binauraux ont sans doute été le plus étudiés.

Les sons binauraux d'une différence de fréquence de 1 à 4 Hz provoquent l'apparition d'ondes delta qui induisent le sommeil ainsi que des phénomènes de rêve éveillé (Davis, 1938).

Il existe également quelques publications concernant leur intérêt en chirurgie (anesthésie) et pour le contrôle de la douleur. Ainsi, deux publications récentes dans la revue « anaesthesia » décrivent, l'une les effets sur la dose d'anesthésique nécessaire durant une intervention chirurgicale légère, l'écoute de sons binauraux diminuant significativement cette dose comparée à l'écoute de sons neutres (Kliemptf et al, 1999), l'autre les effets de l'écoute de sons binauraux sur l'anxiété pré opératoire des patients (Padmanabhan , Hildreth & laws, 2005). Dans cette étude, l'anxiété des patients avant l'intervention a été mesurée à l'aide de l'échelle STAI, anxiété Etat/Trait de Spielberger ; l'anxiété était significativement plus basse chez les patients ayant écouté des sons binauraux que chez ceux ayant écouté des sons neutres.

D'autre part, il a été montré (Cox, 1996), que l'écoute de sons binauraux de fréquence alpha réduisait la pression artérielle et la vitesse des battements cardiaques de 4 à 10 %, diminuait la sensation de douleur de 50% en moyenne, diminuait le taux sanguin de mélatonine de 6 % en moyenne tandis que les taux de bêta endorphines sanguines augmentaient de 14 % en moyenne. Chez les mêmes sujets, Cox note une augmentation de sérotonine de 23% ainsi qu'une diminution de norépinephrine de 18% .

Peniston et Kulkosky (1989) ont mis en évidence des effets physiologiques dus à un entraînement par les ondes cérébrales lentes alpha et thêta, en particulier une augmentation sanguine des bêta endorphines chez des patients alcooliques .

« Par la suite, Peniston et Saxby (1995) ont confirmé l'efficacité de l'entraînement cérébral par des ondes lentes chez des sujets alcooliques présentant des symptômes dépressifs associés, cotés par l'échelle de dépression de Beck. Le traitement consistait en 20 séances d'entraînement de 40 minutes chacune. L'entraînement a de plus induit une diminution significative des scores aux sous-échelles de personnalité (personnalités schizoïde, schizotypique, borderline, évitante, dépendante, anxieuse, hypomaniaque, dysthymique, histrionique, passive-agressive, abus de substances, abus d'alcool, pensée psychotique et dépression psychotique). Un suivi de 21 mois n'a pas montré de reprise d'alcool. Le choix des ondes a été déterminé en ce qui concerne les ondes alpha pour leur action réduisant l'anxiété et les ondes thêta, induisant des états proches du sommeil, pour leur capacité à générer imagerie mentale et rêves éveillés habituellement pauvres chez les sujets alcooliques. Ces résultats ont été confirmés par d'autres auteurs, lors d'une étude chez des patients indiens d'Alaska, présentant une dépendance alcoolique (Sanders & Waldkoetter, 1997).

Enfin, nous citerons une dernière étude (Degood & Valle, 1975) qui a mis en évidence l'effet de la production d'ondes alpha chez 28 jeunes hommes de 20 ans en moyenne : augmentation significative aux échelles auto-administrées de confiance en soi, d'expressivité, d'ambition, d'internalité, de contrôle sur les événements, ainsi que sur l'extraversion. Dans une deuxième étude chez les mêmes sujets (DeGood & Valle, 1975) les auteurs ont mis en évidence une diminution significative de l'anxiété cotée par l'échelle de Spielberger, la STAI ».

« Les sons binauraux d'une différence de fréquence de 8 à 13 Hz induisent la production d'ondes alpha par le cerveau (Foster, 1990), lesquels sont mis en évidence par enregistrement EEG, les yeux restant ouverts. De nombreuses recherches associent les ondes alpha à un état de détente, à l'augmentation de certaines performances et à l'amélioration de l'humeur et de l'anxiété. Ces effets seraient expliqués par la synchronisation hémisphérique induite par les ondes alpha (Hoovey, 1972) ».

« Les sons binauraux d'une différence de fréquence de 16 à 24 Hz induisent la production d'ondes Bêta. En conséquence, ils tendent à augmenter la concentration et l'état d'alerte (Monroe, 1985). Ils améliorent également les performances mnésiques (Kennerly, 1994). L'entraînement cérébral augmentant les ondes bêta est couramment utilisé depuis de nombreuses années dans le traitement du trouble de déficit de l'attention ainsi que dans la remédiation de l'attention chez les traumatisés crâniens. Ces protocoles ont fait l'objet de nombreuses publications dont nous parlerons plus en détail lors de nos recherches ultérieures ».

« Les sons binauraux dont la différence de fréquence est de 4 à 8 Hz induisent des ondes thêta dont Schacter (1977) a dressé la liste des effets dans une méta analyse. Elles sont associées à des états subjectifs de relaxation profonde, de méditation et de créativité (Hiew, 1995). Les ondes thêta favorisent l'apprentissage en améliorant la concentration et la focalisation détendue sur une tâche (Pawelek, 1985).

 

L'Institut Robert Monroe :

Robert Monroe, fondateur de l'Institut Monroe des sciences appliquées en Virginie, a mené d'autres études sur ces phénomènes et a découvert des combinaisons particulières de tonalités et de fréquences produisant des effets spécifiques chez l'homme. Sur les milliers de combinaisons de fréquences possibles qui pourraient être reproduites, Monroe et son équipe en ont sélectionné cinquante-trois qui avaient des effets très positifs sur le cerveau et a fait breveter ce procédé en 1975. Il a également développé une série de cassettes et de CD, utilisant les combinaisons de fréquences que lui et son équipe avaient découvertes, la série HemiSync, pour « Synchronisation des Hémisphères.

En 2005, Schwarz, médecin ORL, et Taylor, comparent les réponses du système auditif humain aux sons mono et binauraux : les sons binauraux induisent des potentiels évoqués bien qu'ils ne soient pas perçus. Les auteurs montrent également que ces types de sons excitent alternativement et très rapidement chaque hémisphère cérébral ».

 

Utilisation des sons binauraux dans un dispositif psychothérapeutique :

L'écoute de sons binauraux ne nécessite qu'un lecteur de CD audio et un casque stéréo. Il devrait donc pouvoir s'insérer facilement dans un dispositif de psychothérapie en face-à-face, le son devant être réglé de façon à ne pas gêner l'entretien. Nous pouvons imaginer diverses applications de ce dispositif : relaxation, diminution de l'anxiété, traitement des émotions, facilitation des souvenirs, facilitation des associations, « médium » autorisant la verbalisation et l'élaboration, etc.

Nous avons évoqué précédemment l'effet de synchronisation des hémisphères cérébraux lors de l'écoute de son binauraux. La technique EMDR (Eye Movement Desensitization and Reprocessing) développée par Francine Shapiro (2001) qui consiste à stimuler alternativement chaque hémisphère de façon rapide en demandant au sujet de suivre des yeux un stylo est très employée pour traiter les psycho-traumatismes ; l'hypothèse la plus souvent avancée pour expliquer l'efficacité de ce traitement est la synchronisation inter-hémisphérique, laquelle favorise le traitement des émotions. Nous noterons que les mêmes effets ont été obtenus par la stimulation alternative de chaque côté du corps, en tapant par exemple alternativement sur chaque cuisse ou sur chaque bras, ainsi que par un son qui serait entendu alternativement d'par une oreille puis par l'autre.

Il nous paraît donc intéressant d'inclure des sons binauraux dans un dispositif de psychothérapie avec les mêmes indications qu'un protocole EMDR.

 

Fiche Signalétique de la Recherche effectuée par Brigitte Forgeot

RÉSUMÉ : Les sons binauraux sont des sons de fréquence différentes d'une oreille à l'autre lorsqu'on les écoute à l'aide d'un casque stéréophonique. Oster (1973) a montré qu'ils induisaient la production par le cortex d'une onde dont la fréquence correspondait à la différence de fréquence des deux sons entendus. Les hémisphères cérébraux tendent de plus à se synchroniser lors de l'écoute de sons binauraux. Nous souhaitons dans cette recherche mettre en évidence les effets de ce type de sons sur l'attention, la mémorisation, l'humeur, l'anxiété et le traitement de l'émotion.

METHODOLOGIE : Nous avons évalué sur une population d'adultes sains les effets de l'écoute de sons binauraux induisant des ondes alpha lors de tâches informatisées et lors de la passation de tests standardisés de neuropsychologie (Stroop, TMT, D2, Empans et subtests de mémoire verbale et visuelle de la MEM III) et d'échelles utilisées en psychologie clinique (HAD, STAI, de relaxation de Crist, BVAQ et TMMS). Nous avons également évalué l'effet de l'entraînement avec ces mêmes sons durant dix semaines sur l'humeur et le traitement des émotions.

RESULTATS : Les sons binauraux dont la différence de fréquences correspond aux ondes alpha semblent avoir un effet notable sur certaines composantes des fonctions attentionnelles et mnésiques, ainsi qu'au niveau clinique sur l'anxiété et le traitement émotionnel. Nous espérons diverses applications cliniques de cette méthode : TDA/H, troubles anxio-dépressifs, PTSD, remédiation cognitive et réhabilitation neuropsychologique

Les Neurosciences ont émergé comme une branche de la biologie et de la médecine, philosophiquement inspirée par le scientisme du XIXe siècle et postulant l'absence de toute cause endogène (auto-générée) du comportement humain. Avec l'évolution des connaissances scientifiques et des méthodes la chimie, la psychologie, l'informatique et la physique ont par la suite amplement contribué aux progrès de cette discipline. Aussi, une branche moderne de la philosophie a eu un impact important sur la façon d'approcher les Neurosciences, notamment, au travers de ce qu'on appelle les sciences cognitives (les Neurosciences Cognitives). Un exemple des plus célèbres de la confrontation entre Philosophie et Neuroscience est la quête d'une localisation de l'âme dans le cerveau – voir plus bas - au XVIIe siècle, le philosophe René Descartes utilisait un argument neuroscientifique pour faire de la glande pinéale le siège de l'âme (tout en accordant à cette dernière une existence distincte) : alors que les différentes structures du cerveau possèdent chacune un symétrique dans l'autre moitié du cerveau, ce n'est pas le cas de la glande pinéale . Si les termes de cette question particulière sont aujourd'hui dépassés, l'approche philosophique du scientisme continue de jouer un rôle important sur les paradigmes mis en œuvre dans les neurosciences.

 

L’approche historique des représentations du cerveau :

Nous sommes habitués à considérer comme normal qu'un dégât au niveau du cerveau puisse entraîner des troubles au niveau d'autres parties du corps. Mais cette idée n'est pourtant pas si évidente.

Pendant de nombreux millénaires, on croyait communément que l'activité mentale avait son siège au centre du corps humain, dans le cœur . Aristote défendait ce point de vue contre Hippocrate, par exemple, pour qui déjà pensées, sentiments et émotions étaient gouvernés par le cerveau. La vision d'Aristote, que nous savons aujourd'hui infondée resta longtemps la plus couramment répandue (peut-être en raison des manifestations de tachycardie que l'on retrouve lors d'émotions intenses et qui contrastent avec l'absence de sensibilité absolue de l'organe cerveau) et se retrouve dans certaines expressions courantes : « Tu me brises le cœur. », « Avoir un cœur de pierre. », « Apprendre par cœur. »....

Après les travaux expérimentaux de Galien, il n'était déjà plus possible de douter que le siège de l'« âme dirigeante » était dans le cerveau. Les siècles suivants virent peu d'avancées significatives, bien qu'ils aient été riches en débats pour expliquer la spécificité de l'esprit humain et malgré le renouveau des études anatomiques à partir du XVIè siècle. Descartes pensait que l'âme ne pouvait qu'être associée à une substance pensante (res cogitans) radicalement distincte de la matière qualifiée de substance étendue (res extensa). Au contraire, la Mettrie dénia la nécessité d'un recours à un pont entre esprit et matière (la glande pinéale selon Descartes): pour lui le corps doit être considéré comme une machine dans laquelle le cerveau est l'organe où se manifeste ce qu'on appelle l'âme. Les avancées suivantes eurent lieu au début du XIXè siècle avec le succès de la phrénologie, confirmant que le cerveau était le centre actif de toute connaissance et de toute émotion.

Les recherches sur les localisations cérébrales opposèrent ses partisans (Gall, Broussais) à ceux d'une vision unitaire de l'activité du cerveau (Flourens). Entachée de thèses parfois fantaisistes (« la bosse des mathématiques », par exemple), la phrénologie inspira néanmoins les premières localisations de certaines fonctions au niveau du cortex et, en premier lieu, les recherches de Broca sur les aires cérébrales responsables du langage (Neurosciences Cognitives).

Dès la fin du XIXè siècle, presque tous les développements de la révolution scientifique avaient donné lieu à application dans l'étude du système nerveux central. Les progrès de l'électromagnétisme, de la chimie organique, de la microscopie... offrirent de nouveaux instruments à l'étude du cerveau et permirent de renouveler les méthodes de recherche reposant jusqu'alors sur la seule anatomie descriptive.

Une étape cruciale fut franchie avec la mise en évidence des cellules du système nerveux (que l'on appellera neurones) par Golgi et Cajal, grâce à une nouvelle technique de coloration qui permit également les études successives sur la forme, les propriétés, les fonctions et les connexions des neurones : Sherrington décrit le fonctionnement des systèmes réflexes, Sperry montre que les parties droite et gauche du cerveau sont impliquées différemment dans ses fonctions et Penfield établit une carte des localisations de la sensibilité somatique dans le cortex cérébral.

Le XXè siècle voit les neurosciences induire une progressive naturalisation des objets de la philosophie de l'esprit (perception, langage, émotions, intelligence). Ainsi, l'approche neurophysiologique obtint des résultats remarquables dans l'étude du rêve (Jouvet) et des structures qui en sont responsables. A partir de cette jonction se constitue le champ des sciences cognitives qui feront bientôt appel également aux modèles mathématiques et cybernétiques, tout en prenant en compte le rôle essentiel des émotions Damasio et de l'environnement (théories de la sélection neuronale de Changeux ; darwinisme neuronal d'Edelman).

Renforcées par des techniques expérimentales toujours plus puissantes (microélectrodes, électro-encéphalographies, radiographie X, caméra à positons et IRM) et enrichies d'un faisceau de disciplines complémentaires (Neurobiologie, Neuropsychologie, Neurosciences Cognitives, Physico-chimie, Génétique, Embryologie...) les neurosciences abordent maintenant la description de ce qui fait la conscience de soi et la connexion entre conscient et inconscient.

 

Le cerveau dans l'Antiquité :

Aristote ne voyait dans le cerveau qu'une espèce de radiateur. Justifions cependant son erreur par quelques considérations anatomiques :

Le cerveau est effectivement un des organes les mieux vascularisés du corps humain.
Mis à nu, le cerveau semble beaucoup moins sensible que le cœur aux stimulations mécaniques.
Il a fallu une véritable révolution philosophique et scientifique pour mener à l'idée du cerveau comme centre des pensées.

Révolution philosophique avec Platon qui sépare l'âme en trois parties dont l'une, immortelle, se situe dans la tête. Mais aussi révolution scientifique dans la connaissance de l'anatomie humaine avec Hippocrate, Hérophile et Erasistrate. Les médecins acceptent ainsi peu à peu l'idée qu'un dégât au niveau du cerveau puisse avoir des conséquences au niveau d'autres organes. Cette connaissance scientifique reste cependant très limitée. Hippocrate écrit par exemple : « Le cerveau est semblable à une glande... blanche, friable comme celle-ci ». Et Hérophile, bien qu'il participe grandement à l'accroissement de la connaissance de l'anatomie du cerveau, resta persuadé que toutes les affections du corps humain provenaient exclusivement de problèmes dus à des déséquilibres d'« humeurs ».

Plus tard, d'autres personnes, comme Augustin d'Hippone (354-430), sans remettre en cause le caractère central du cerveau au détriment du cœur, placent bien l'esprit au sein du cerveau, mais au sein des espaces vides dont l'anatomie a révélé l'existence au sein du cerveau : les ventricules. Ces dernières structures ont été décrites dès le IIe siècle par Galien. Nemesius, au Ve siècle, attribue à chacun d'entre eux une fonction spécifique : l'imagination et les sensations à la partie antérieure, la réflexion à la partie médiane et la mémoire à la partie postérieure.

La vraie nature du cerveau et de ses relations avec les autres organes n'est donc pas encore comprise. Gardons cependant en tête que la connaissance anatomique du cerveau a grandement progressé au cours de l'Antiquité. Il faudra attendre le XVIIe siècle en Europe pour dépasser ce niveau de connaissance, grâce à un retour aux dissections interdites par la morale et l'Eglise.

 

Du XVIIIe siècle à la première moitié du XXe siècle :

Au XVIIIe siècle, le neurologue François Joseph Gall émit une théorie, aujourd'hui dépassée, sur la localisation des fonctions cérébrales dans le cerveau (phrénologie). Puis dans la première moitié du XIXe siècle, François Broussais enseigna cette théorie, après avoir imaginé une théorie sur les relations entre « vie » et « stimulus » et sur l'interdépendance (ou « sympathies ») des divers organes. Ces théories eurent une influence sur Auguste Comte, qui publia un tableau cérébral dans son système de politique positive (1851).

Au début du XXe siècle, il apparut bien vite qu'il y avait encore beaucoup à apprendre sur la manière dont le cerveau supervise le langage, faculté spécifique à l'être humain. Dès 1906, Sherrington (prix Nobel en 1932), décrivait le mécanisme corps-cerveau comme un mécanisme complexe, contrôlé par des boucles rétroactives. «La rétroaction, écrivait Sherrington, permet au cerveau d'évaluer la nature de toute une gamme de stimulus et de produire la réponse appropriée.» Dans le même temps, Santiago Ramon y Cajal étudiait la structure cellulaire du cerveau. Il découvrit que les cellules nerveuses, baptisées « neurones » par Waldeyer, constituent les unités fonctionnelles de base du système nerveux et transmettent l'influx nerveux sans jamais se toucher. Cette découverte lui permit d'élaborer la théorie du neurone en 1891. On démontra plus tard que l'influx nerveux passe d'un neurone à l'autre en traversant la synapse à l'aide de neurotransmetteurs.

De 1930 à 1950, le Canadien Wilder Penfield fit considérablement évoluer les connaissances sur les localisations cérébrales. Il réalisa des stimulations électriques directes du cortex (au cours d'interventions chirurgicales) et répertoria méticuleusement les réponses aux stimulus. Il résuma ses expériences sous forme d'Homonculus moteur et sensoriel.

 

Evolution des représentations du cerveau dans la seconde moitié du XXe siècle :

Ce qui suit rend compte des thèses du prof. Dr Michael Hagner présentées à Goettingue, le 14 octobre 2005 lors d'une conférence intitulée « Ikonophilie und Ikonophobie in der Hirnforschung »

En faisant une étude des illustrations des livres scientifiques sur le cerveau, on constate une forte évolution au cours de la seconde moitié du XXe siècle. On pourrait dire que les scientifiques travaillant sur le cerveau sont passés d'une « icônophobie » à une « icônophilie ».

 

Icônophobie de la cybernétique

Après la Seconde Guerre mondiale, la cybernétique a été le paradigme dominant pour l'étude du cerveau.

On a considéré que le cerveau était équivalent à une machine à calculer. On était au début de l'émergence de l'informatique, et beaucoup de travaux théoriques s'accumulaient pour montrer comment, avec des opérations logiques basiques, on pouvait résoudre des problèmes complexes. Par analogie, on a considéré que, n'importe comment, le cerveau réalisait des opérations logiques du même type que celles que l'on était en train de mettre au point pour les ordinateurs. La recherche sur le cerveau va alors se contenter de représenter les circuits logiques supposés être sous-jacents au fonctionnement du cerveau. Les représentations anatomiques sont absentes, ou bien simplifiées. Par exemple, le célèbre livre de John von Neumann, « The computer and the brain », a pour illustration en page de garde un ordinateur occupant la majeure partie de la photo et John von Neumann posant sur le côté. Ou bien des schémas de neurones connectés ressemblent plus à des schémas de logique ou d'électronique qu'à des planches histologiques. De manière générale en biologie, deux types de représentations s'opposent, d'une part des représentations physionomiques, et d'autre part des représentations fonctionnelles. La cybernétique des années 1940 a choisi délibérément le deuxième. A l'instar du comportementalisme, il s'agit plus de savoir ce que fait le système plutôt que de savoir ce qu'est le système.

On peut tracer un parallèle entre cette abstraction systématique dans la représentation du cerveau de la part de l'école cybernétique des années 1940-50 avec le rejet général d'une approche particulariste dans la plupart des sciences de cette époque. En ethnologie, par exemple, domine le structuralisme avec notamment Claude Lévi-Strauss. En effet, la représentation physionomique a été (trop) utilisée par les sciences sous influence nationaliste afin de mettre en exergue la supériorité de tel ou tel. Par l'abstraction systématique, on veut au contraire refuser toute hiérarchisation, non seulement entre cultures humaines, mais aussi entre êtres vivants, voire entre toutes les structures capables de traitement logique de l'information.

 

Icônophilie de l'imagerie cérébrale

Depuis les années 1990, on assiste plutôt à un retour de l'autorité de l'image comme élément de preuve scientifique dans le cadre de la recherche sur le cerveau.

Bien que les nouvelles méthodes d'imagerie cérébrale nécessitent une haute technicité et un traitement informatique complexe, et que donc les images obtenues ne correspondent pas à une observation directe des phénomènes, elles exercent néanmoins par leur apparente simplicité, et par leur attractivité (de jolies couleurs, parfois même des animations...), une fascination, une force de conviction intrinsèque.

Consécutivement, la comparaison ordinateur/cerveau perd de sa force dans la communauté des chercheurs en neurosciences. Elle est remplacée par les concepts d'auto-organisation, de plasticité, d'apprentissage...

Ironiquement, la recherche en informatique tente même de faire des ordinateurs qui miment le cerveau. On parle de réseaux neuronaux, d'intelligence artificielle, d'ordinateur capable d'apprendre, ou tout simplement de « convivialité » des logiciels et des systèmes d'exploitation...

Néanmoins, les spécialistes en neurosciences restent vigilants face à cette icônophilie.

La recherche en Neurosciences est très active, et l’évolution sur la « découverte du cerveau » continue…

 

Alex Michel & Ian Tannhauser

De plus en plus d’études scientifiques traitent aujourd’hui des effets du stress sur la santé, et les chiffres ne sont pas très rassurants. En effet, près d’une personne sur trois déclare subir très souvent une certaine nervosité, dépassant le stade du simple stress ponctuel. Les grands sociologues et les médecins essaient d’établir un lien entre l’augmentation du taux de dépressions, de cancers, et de maladies cardiovasculaires, et celle du nombre de personnes stressées de façon chronique. La classe des jeunes cadres serait la plus touchée. Notre société actuelle, faite de pression, de consommation et de perfection joue un grand rôle dans l’augmentation des maladies psychologiques. Les mauvaises habitudes de vie ont également une très grande part de responsabilité dans l’apparition d’un stress néfaste chez un individu.

Qu’est-ce que le stress ?

Le stress est une action naturelle du corps face à un danger. Il s’agit d’une sorte d’héritage génétique que nous ont transmis nos ancêtres préhistoriques, à cette époque où l’on pouvait tomber sur un mammouth à n’importe quel coin de forêt. Il fallait à cette époque qu’un individu puisse réagir rapidement devant le danger, car il s’agissait là de vie ou de mort. Ce réflexe de survie, produit de l’évolution, est resté ancré en nous. Il suffit d’observer le corps humain pour s’apercevoir que nous sommes de vraies petites usines à fabriquer du stress. Voici un petit éventail des actions que notre système nerveux met en place face à un danger (réellement mortel ou non) : fabrication de différentes sortes d’hormones comme l’adrénaline et la dopamine, accélération du cœur, augmentation de la pression artérielle, vasoconstriction des extrémités afin de pouvoir se défendre avec les mains sans perdre tout son sang, réduction du champ visuel et accélération des fonctions d’élimination. Autant vous dire qu’un coup de stress, ça vous chamboule tout votre petit intérieur. Qui n’a jamais eu un gros coup de frayeur sur la route, et s’est ensuite senti un peu mal, avec de grosses palpitations, des étourdissements, le souffle court et la gorge sèche ? Tout le monde, à coup sûr, car le stress touche 100% de la population. Rien que la naissance est un gros stress. Tout le monde dans sa vie fait face à des moments stressants, et c’est tout naturellement que votre organisme prend des dispositions qu’il juge utiles pour les affronter. Jusqu’ici, rien de bien méchant, mais cela peut vite devenir pathologique.

Nocif à partir de quand ?

Le stress est nocif à partir de l’instant où il devient chronique. Un individu touché par un stress chronique va devenir stressé même lorsqu’il n’y a aucun danger autour de lui. Le système nerveux va mettre en place les mêmes mécanismes de défense qu’il utilise face à une situation extrême. Cette multiplication des moments de stress fait vivre à l’organisme un réel calvaire. Divers maux physiques vont commencer à faire leur apparition, comme des douleurs thoraciques, des tendinites, des migraines. Des problèmes psychologiques peuvent également apparaître, comme de l’anxiété, de l’angoisse, de la dépression et des phobies.

Comment se prémunir du stress ?

La bonne nouvelle, c’est que le stress chronique apparaît rarement sans la conjonction de plusieurs facteurs de risque. Le levier principal sur lequel il est important d’agir est votre hygiène de vie. Il est important de respecter quelques règles simples, comme une alimentation équilibrée, l’arrêt des substances excitantes comme le tabac et le café, avoir une bonne dose de sommeil, et faire une activité physique régulière. La mise en place de ces recommandations peut réduire le stress jusqu’à 75%. Cependant, certaines personnes sont naturellement d’un tempérament stressé, et l’adjonction d’une méthode de relaxation est alors quasiment indispensable. Mental-Waves innove actuellement sur le thème de la relaxation par l’écoute d’ondes sonores spécifiques. La thérapie sonore est une des meilleures techniques de relaxation actuelle  et elle est fortement recommandée par de nombreux médecins spécialisés dans les problèmes liés au stress chronique. Rien de plus simple pour l’appliquer : un lit, un baladeur, une bonne paire d’écouteurs et vous voilà parti pour un voyage somptueux au cœur de la relaxation.

Les troubles du sommeil sont une des principales plaintes que les généralistes entendent actuellement dans leur cabinet. Le stress et l’anxiété sont, avec les insomnies, un problème majeur de santé dans notre société actuelle. Plusieurs études scientifiques tendent à faire le lien entre ces différents troubles. Le facteur environnemental jouerait un grand rôle dans l’apparition d’une insomnie. Plusieurs enquêtes révèlent même que les citadins seraient plus touchés que les personnes vivant à la campagne. Alors, faut-il tous se mettre au vert ? L’exode rural serait vraiment le dernier recourt, car il existe aujourd’hui plusieurs moyens de contrer efficacement les troubles du sommeil. Mais avant de consulter un médecin, il est utile d’appliquer certaines règles, pour tenter de retrouver un sommeil efficace par soi-même. L’aération de la chambre, la lumière, le bruit, le repas du soir, l’activité physique en fin de journée, l’alcool, le tabac et le café, voilà autant de facteurs qui jouent peuvent agir négativement sur la qualité de votre sommeil, et sur lesquels il est possible d’agir immédiatement.

 

A partir de quand peut-on parler d’insomnies ?

Dans l’imagination populaire, une insomnie est le fait qu’un individu n’arrive pas du tout à s’endormir de la nuit, mais ceci n’est pas tout à fait vrai. N’importe quel trouble du sommeil peut être qualifié d’insomnie. Les insomnies touchent surtout les adultes, rarement les enfants, et les femmes sont les plus sollicitées. Presque qu’un tiers des adultes disent vivre des insomnies de façon occasionnelle, mais seulement 11% des individus font face à une réelle insomnie. Pour juger de la sévérité d’une insomnie, un classement par type a été créé. Il existe différentes classes d’insomnies, du trouble mineur et transitoire du sommeil, en passant par des insomnies graves et chroniques, pouvant mener à la mort dans des cas extrêmes. Une insomnie peut être qualifiée d’idiopathique, c’est-à-dire qu’aucune cause déclenchante ou favorisante ne va pouvoir être identifiée. Au contraire, il existe des insomnies de sevrage, qui peuvent faire leur apparition lorsqu’un individu met fin à une consommation régulière de drogue ou d’alcool. L’insomnie la plus fréquente est l’insomnie d’ajustement. Presque tout le monde a déjà vécu ce type d’insomnie. Les causes principales sont un changement d’horaires de travail, un déménagement, un voyage, un décalage horaire. Cette insomnie disparaît sans traitement, après un équilibrage naturel de l’horloge interne. Les insomnies les plus régulières, comme l’insomnie psychophysiologique, nécessitent un traitement et une prise en charge par un médecin.

 

Quels sont les dangers des insomnies sur la santé ?

Le manque de sommeil est une des premières causes de maladies cardiovasculaires, comme l’hypertension et les infarctus. En effet, un manque de sommeil chronique va peu à peu avoir des effets néfastes sur l’ensemble du système circulatoire. Les troubles du sommeil induisent également une mauvaise hygiène de vie, qui s’installe progressivement. Les repas sont pris à des horaires décalés, ce qui favorise la mauvaise alimentation, et l’obésité. La vie sociale est également affectée, entrainant un manque de confiance, du stress, de la colère et une dépression. Une insomnie, si elle survient de façon régulière, doit faire l’objet d’une observation par du personnel médical spécialisé dans les troubles du sommeil. Il existe beaucoup de centres spécialisés en France. Un trouble du sommeil, s’il est pris en charge de manière précoce, peut guérir dans 60% des cas.

 

Peut-on guérir des insomnies chroniques ?

Les insomnies les plus handicapantes et néfastes pour la santé sont celles qui surviennent régulièrement. La médecine actuelle reste parfois perplexe face à ces problèmes de sommeil, et les traitements sont souvent inefficaces. Toujours est-il que la communauté médicale spécialisée s’accorde aujourd’hui à dire que le stress joue un grand rôle dans l’apparition et l’entretien d’une insomnie chronique. Il est donc important, en parallèle d’un traitement prescrit par votre médecin, d’appliquer une technique de relaxation. Mais attention, toutes les méthodes ne sont pas efficaces sur les troubles du sommeil. Les méthodes trop physiques, comme le Yoga, peuvent au contraire avoir l’effet inverse, et entretenir des difficultés d’endormissement. Il est important d’appliquer une méthode qu’il est possible de faire dans son lit, juste avant l’endormissement. La thérapie sonore est vraiment la plus à même de répondre à ces besoins. Mental-Waves est le seul leader sur cette méthode, et les programmes sonores proposés sur le site sont très efficaces sur les insomnies, même chroniques et graves.

Le concept des états modifiés de conscience est apparu dans la psychologie occidentale au courant des années 1950 et 1960, principalement en raison de la découverte de plusieurs évènements sur le plan médical. L’un de ces évènements a été la découverte de mouvements oculaires rapides pendant la phase de sommeil paradoxal. C’était la première fois que des variations physiologiques enregistrables pouvaient être mises en corrélation avec un état de conscience spécifique.
Le deuxième évènement fut la découverte de l’électroencéphalogramme, plus connu aujourd’hui sous le terme d’EEG. L’électroencéphalogramme a permis de révéler l’activité électrique du cerveau, et notamment la gamme des 8-12 cycles par seconde, les fameuses ondes Alpha, qui entrent en jeu dans des activités spécifiques comme la relaxation, le calme ainsi que certains états méditatifs.
La dernière grande découverte dans le domaine des états modifiés de conscience a malheureusement été celle de drogues psychédéliques comme le LSD. Jusqu’alors, les états modifiés de conscience étaient uniquement accessibles à certaines personnes pratiquant assidument le Yoga et la méditation. En prenant ce type de produits, un individu lambda, sans aucune préparation mentale, pouvait désormais accéder à des états de transes, d’hallucinations, et de rêves éveillés. Les drogues psychédéliques devenaient alors à la psychologie ce que le microscope était à la biologie, offrant dorénavant la possibilité d’observer les gammes et les niveaux de réalité qui étaient auparavant inaccessibles.

Ces différentes découvertes de corrélations entre les variations des fonctions neurales et les variations de la conscience subjective ont stimulé un essor considérable de la recherche scientifique. Cette dernière continue à ce jour les investigations grâce à l’utilisation de technologies comme l’EEG, l’IRM (imagerie par résonance magnétique), et la TEP (tomographie par émission de photons). Cette nouvelle approche, qui étudie les associations entre les mesures de l’activité cérébrales et les états mentaux est devenu le paradigme dominant dans l’étude scientifique de la conscience. Il est basé sur l’hypothèse philosophique sous-jacente de la vision du monde matérialiste occidentale qui situe la conscience dans le cerveau. Cette théorie, qui est actuellement celle retenue par la communauté scientifique, remonte aux travaux du mathématicien français du 18ème siècle, René Descartes, qui stipule alors que la conscience peut être située dans la glande pinéale. Contrairement à l’occident, les philosophies orientales du Yoga et du Bouddhisme proviennent d’une approche totalement différente, qui serait fondée notamment sur des observations systématiques des états intérieurs pendant la méditation. Cette médiation est aujourd’hui accessible au plus grand nombre, mais peut nécessiter une concentration et une préparation parfois décourageante pour les nouveaux adeptes. Il existe aujourd’hui des techniques efficaces pour aider l’entrée en méditation, notamment la thérapie sonore de Mental Waves. Ces pistes sonores diffusent notemment des ondes Alpha, observées par les scientifiques lors d’états modifiés de conscience.

Un état de conscience peut être défini comme une période de temps entre deux points de transition, au cours de laquelle la fonction de notre conscience (pensées, sentiments, motivations, sensations) peut se modifier. Ainsi, nous sommes dans un état de sommeil entre l’endormissement et le réveil. Grâce à des techniques comme la thérapie sonore de Mental-Waves, nous pouvons nous exercer à modifier ces états, s’entraîner à les reconnaître et s’en servir pour apprendre à mieux nous connaître nous –même et le monde dans lequel nous évoluons.  En devenant plus conscient de l’état dans lequel nous sommes à un instant donné, nous pouvons déployer une attention différente, et renforcer ainsi la gamme de choix que nous pouvons prendre, et assumer plus pleinement la responsabilité de l’impact de ces choix sur les autres et dans notre monde. Maitriser les états modifiés de conscience est aujourd’hui possible!

 

Alex MICHEL

Tel un train qui parcourt notre corps, notre énergie doit, d’après la médecine traditionnelle indienne, passer par des points cruciaux, qui sont censés centraliser et relier entre elles les différentes zones du corps. Ces points de la médecine indienne, visualisés par des sortes de roues, sont des Chakras, qui sont, pour les principaux, au nombre de 7. Ils sont disposés tout le long de notre corps, du bas du ventre, jusqu’au sommet de la tête, se disposant le long d’une ligne qui suit la colonne vertébrale. Si l’un d’eux est perturbé, c’est tout l’équilibre de notre corps qui peut en pâtir. C’est sur ce postulat que la médecine traditionnelle indienne préconise de travailler sur ces différents Chakras, afin de se libérer d’un stress chronique, d’une dépression, ou de tout autre mal incommodant. Beaucoup de techniques existent pour travailler sur les Chakras, et les libérer de toutes les tensions qui peuvent les nouer. Il y a la méditation, la relaxation, mais aussi la thérapie sonore, qui est une technique totalement innovante dans le domaine du traitement des maladies psychologiques. Mental Waves propose aujourd’hui une technique tout à fait particulière pour travailler sur la relaxation et les Chakras, à travers une gamme complète d'enregistrements spécifiques. Il vous est possible d’écouter des pistes sonores aux ondes particulières et ciblées, qui agissent directement sur vos Chakras.

 

Les 7 cercles invisibles

Le terme de Chakra vient du vieux sanskrit, qui veut dire « roue », ou « cercle ». Les Chakras, généralement représentés sous forme de ronds, ou de cercles, représentent nos centres énergétiques. La médecine qui les a utilisés en premier date de plus de 5000 ans. Les Chakras les plus connus, et surtout les plus utilisés sont au nombre de 7, mais beaucoup de textes anciens en dénombrent plus de 88 000 sur tout le corps humain. On parle objectivement de Chakras qu’à travers la médecine indienne, mais d’autres pratiques reconnaissent leur existence, comme l’acupuncture chinoise. Le Chakra le plus connu dans notre société est celui du plexus solaire, situé sous la cage thoracique, là où les côtes rejoignent le sternum. L’énergie circulant à travers les Chakras se diffuse par le bas du corps, en remontant progressivement le long de canaux invisibles, et passant de Chakras en Chakras, jusqu’au dernier, qui est situé au sommet de la tête. L’énergie circulant dans notre corps, et passant par les Chakras, ne doit pas être bridée, stoppée, ou déviée. Si cela se produit, un problème de santé peut survenir. Agir préventivement sur les Chakras est un des meilleurs moyens d’éviter un encrassement, et donc une maladie. Il est également possible de travailler ses Chakras alors qu’ils sont déjà partiellement ou complètement bouchés.

 

Une grille de lecture du corps

Chaque Chakra possède ces propres caractéristiques. Il est lié à un système d’organes, à des glandes, mais aussi à toutes les émotions qui interfèrent avec ces systèmes biologiques. C’est donc une véritable carte du corps que l’on peut lire à travers les Chakras. Chaque maladie, qu’elle soit physique, mentale, ou les deux, est liée à une émotion ou à un organe, ce qui permet de remonter jusqu’au Chakra d’origine. En travaillant sur ce dernier, il est donc possible d’améliorer l’état de santé de l’individu, et même de guérir totalement. Attention toutefois, il existe des charlatans qui n’hésitent pas à vous promettre la guérison miraculeuse d’une maladie grave. Travailler sur ces Chakras demande du temps, de la connaissance, et une bonne dose de spiritualité.

 

La relaxation et les Chakras

Travailler sur ses Chakras demande une certaine condition mentale et psychologique. La pratique régulière d’une méthode de relaxation est un des seuls moyens pour arriver à agir efficacement sur les Chakras. Nos pensées négatives, le stress de la vie, ainsi que les aléas du quotidien font partie des éléments qui peuvent perturber et encrasser nos Chakras. Il en résulte que l’énergie ne circule plus du tout comme elle devrait le faire, et les problèmes commencent. Stress chronique, anxiété généralisée, bouffées d’angoisse et dépression font partie des signaux d’alarme qui indiquent que vos Chakras ne remplissent plus leur rôle d’une façon optimale. L’écoute de pistes sonores spécialement étudiées pour la relaxation et la médiation est un excellent moyen de prévenir l’encrassement de ses Chakras.

Images Hypnotiques pour la visualisation et la détente

Retrouvez sur cette page les plus belles images animées hypnotiques, zen, envoutantes et hallucinogènes.

N'hésitez pas à partager sur les réseaux sociaux 🙂

 

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Aurore

 

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Descente

 

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Cascade

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Night satr

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Ocean

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Eye

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Galaxy eye

Galaxy eye

 

 

Comme des millions de gens, peut-être avez-vous quelques kilos superflus dont vous aimeriez vous débarrasser avant les vacances d’été ?

 

Si vous êtes lassé de toujours être à la recherche de nouvelles façons de perdre du poids et de regarder les étiquettes des produits pour compter les calories, alors lisez ce qui suit.

Vous êtes motivés pour perdre du poids, mais vos mauvaises habitudes et la façon dont votre esprit a été structuré au fil des ans vous ramènent inévitablement en arrière.

Si tel est votre cas, alors notre enregistrement psychoacoustique incluant des affirmations positives réalisées par un sophrologue clinicien va certainement vous intéresser.

 

Simple, rapide et efficace : prenez votre vie en main !

 

Certaines hormones ont un rôle fondamental dans la régulation de notre organisme.

Les trois principales sur lesquelles il faut travailler sont :

 

Notre enregistrement « AffirmWaves » spécialement développé pour jouer sur ces trois hormones influera directement votre comportement alimentaire.

 

Jour après jour vous constatez que les choses évoluent, et qu’au-delà du physique c’est toute votre façon d’être qui s’en trouve changée, améliorée.

 

Notre enregistrement associé à ses affirmations positives permet de programmer votre inconscient afin que vous puissiez adopter, en douceur, de nouveaux comportements alimentaires et changer certaines mauvaises habitudes.

 

Nos affirmations positives réalisées par un sophrologue clinicien incluses dans cet enregistrement agissent sur les raisons profondes qui vous ont amené à une surcharge pondérale.

Elle vous aide ainsi à visualiser le changement et à vous sentir bien et sur la bonne voie. Cette sensation de bien être améliore votre motivation et accélère les résultats.

 

Si vous utilisez notre enregistrement en soutient d'un régime doux, nous vous garantissons des résultats rapides et durables là où d’autres méthodes ont échoué.

 

Cet enregistrement est la solution idéale pour vous aider à atteindre votre objectif.

 

C’est vraiment très facile.

 

Partout dans le monde, des centaines de milliers de personnes, comme vous, ont choisi le support audio pour apporter des changements dans leur vie et ce pour une bonne raison : C’est LA solution la plus facile, la plus efficace et la mieux adaptée compte tenu des modes de vie actuel.

 

Vous pouvez écouter votre enregistrement où et quand vous le voulez. Il n’y a absolument rien à faire, juste à vous laisser agréablement guider vers le résultat que vous attendez.

 

Pourquoi avez-vous quelques kilos en trop ?

 

Ce sont souvent les émotions et le stress mal gérés qui vous amène à manger plus ou mal pour endiguer les effets de l’anxiété ou du stress.

 

La plupart des spécialistes de la nutrition savent maintenant que modifier uniquement le régime alimentaire seul ne suffit pas pour perdre du poids et NE PAS le reprendre.

 

En effet, en l’absence de travail sur les émotions et la gestion du stress, la tentative de perte de poids est vouée à l’échec à plus ou moins brève échéance…

Et souvent, vous retrouvez votre poids d’avant avec un petit bonus supplémentaire, sans parler des effets, parfois dévastateur, que certains régimes ont sur notre état psychologique.

 

En quoi les affirmations positives et les sons isochrones peuvent vous aider à maigrir ?

 

Cette technologie puissante permet à votre cerveau de se resynchroniser et d’adapter sa fréquence cérébrale afin de bénéficier d’une prédisposition totale pour accueillir ces affirmations positives et ainsi assurer un meilleur ancrage dans votre inconscient.

 

Pour simplifier, sachez simplement que le cerveau fonctionne sur plusieurs niveaux d’ondes selon son état d’éveil, et qu’en travaillant certaines ondes, qui correspondent à l’objectif souhaité, vous pouvez tout simplement changer votre vie.

 

Avec notre enregistrement, vous êtes transporté à l’état mental Alpha (relaxation, pensées claires…), favorisant l’écoute, puis vous passez progressivement à la phase Bêta (concentration) et pour finir à la phase de créativité et de dynamisme mental de l’état Gamma.

 

En écoutant cette session régulièrement, vous réduisez en premier lieu votre nervosité et votre niveau de stress.

En assimilant dans votre inconscient les affirmations positives formulées dans l’enregistrement, vous changez votre comportement alimentaire sans frustration.

Au final, vous remplacez la hantise des kilos superflus par le plaisir retrouvé de manger « normalement » et de manière équilibrée.

 

On récapitule

 

o   2 écoutes de 15 minutes environ durant la journée

o   1 écoute complète le soir avant l’endormissement

o   Dans la journée, dès que vous en ressentez le besoin ou l’envie, répétez les affirmations positives

o   Buvez de l’eau régulièrement

o   Dormez suffisamment

o   Soyez doux avec vous-même

 

o   Une perte de poids douce et durable

o   Le développement de nouveaux comportements alimentaires

o   Une réduction de la sensation de faim

o   Une meilleure élimination des toxines

o   Une assimilation des sucres optimisée

o   La disparition du sentiment de frustration

o   Une meilleure gestion du stress

o   Une diminution de l’anxiété et de l’angoisse

o   Une sensation de bien être au quotidien

o   Une confiance en soi retrouvée

 

Bien entendu, si vous êtes en surcharge pondérale importante ou si vous avez des problèmes émotionnels importants, il est préférable que vous consultiez un professionnel en complément de notre enregistrement.

Contrôler sa vie est une donnée importante dans notre société actuelle. Nous sommes poussés à la performance constante, à toujours faire mieux que notre voisin. Ce contexte n’est pas forcément agréable pour un épanouissement physique et psychologique, et ce climat stressant induit souvent des problèmes de stress et d’anxiété, de manque de confiance, de manque d’estime, ou même de dépression. Plusieurs méthodes efficaces, ou moins, ont vu le jour ces dernières années pour agir sur notre psychologie. C’est le cas de l’auto hypnose, technique que tout le monde peut pratiquer, de chez soi, sans matériel spécifique, et sans connaissances poussées particulières. Un petit tour d’horizon s’impose.

 

Qu’est-ce que l’auto-hypnose ?

L’auto hypnose est un dérivé de l’hypnose, qui lui se pratique en cabinet, avec un spécialiste de la technique, et thérapeute de base. L’hypnose permet à un individu de rentrer dans une forme de transe. L’individu sous hypnose se retrouve donc dans un état modifié de conscience, ou EMC. Dans cet EMC, l’individu a directement accès à son inconscient. L’inconscient, lorsque nous sommes dans un état ordinaire d’éveil, nous est inaccessible. Or, c’est d’un conflit généré depuis l’inconscient que surgit presque tous nos maux psychologiques, comme les phobies (phobie du vide, phobie de mourir, phobie de vomir), l’anxiété, la spasmophilie, mais aussi la dépression chronique. L’hypnose va donc permettre de régler les conflits et les nœuds de notre inconscient. Mais cette technique peut avoir un certain coût, et les charlatans ne se font pas rare. L’auto hypnose est donc la solution idéale pour contrer ce genre de problème, car cette méthode ne nécessite aucun intervenant extérieur autre que nous-même.

 

Comment pratiquer l'auto-hypnose ?

Pour entrer dans l’état modifié de conscience nécessaire à nouer un contact avec notre inconscient, il est important d’être dans un état de grande plénitude. Lors de vos premiers essais, vous n’allez certainement pas parvenir à pratiquer l’auto hypnose efficacement. Mais il est possible d’utiliser des méthodes de relaxation qui permettent de rentrer en transe hypnotique beaucoup plus facilement et rapidement. Mental-Waves propose des produits très utiles pour la pratique de l’auto hypnose, comme des sessions sonores à écouter quelques minutes avant et ou pendant la séance. Ces ondes sonores vont agir directement sur les zones du cerveau qui interviennent sur les mécanismes complexes de la transe hypnotique.

 

Les effets de l’auto-hypnose

Si vous souhaitez pratiquer l’auto hypnose, c’est que vous souffrez certainement d’un ou de plusieurs problèmes d’ordre psychologique. Cela peut être un manque de confiance qui vous handicape dans votre vie amoureuse et sociale, diverses phobies qui vous empêchent de vivre normalement, ou encore du stress et de l’angoisse qui vous ronge de façon chronique. L’auto hypnose agit positivement sur tous ces problèmes, mais cela peut prendre un peu de temps. Les conflits de votre subconscient sont parfois présents depuis si longtemps, qu’ils ne se démêlent pas du premier coup. C’est une sorte de guerre que vous allez mener. Les séances sont comme des batailles, et l’auto hypnose est votre arme principale. Il est également très important de pratiquer la thérapie sonore que propose Mental-Waves, juste avant chaque séance, afin de conditionner votre cerveau, et de le préparer à la transe hypnotique.

 

Est-ce dangereux de pratiquer l'auto-hypnose ?

L’auto hypnose n’est pas du tout dangereuse, mais il faut tout de même respecter certaines règles de base, afin d’éviter certains excès. C’est l’hypnose réelle qui présente certains risques de sécurité. Lorsque vous soumettez votre inconscient à une personne extérieure, vous prenez le risque que cette dernière prenne le contrôle de vos pensées, en vous induisant des faux souvenirs, ou bien même en abusant de vous physiquement, comme cela s’est vu récemment dans les médias. L’auto hypnose présente donc tous les avantages de l’hypnose classique en cabinet, tout en vous préservant de ses divers inconvénients, et des dangers liés à un thérapeute peu recommandable.

Ce voyage est un périple au cœur des méthodes traditionnelles de méditation et de développement personnel. Parcourir le monde était pour moi l’occasion de parfaire ma connaissance mais aussi et surtout de partager les fruits de mon travail avec de véritables figures des différents courants de la Pensée Alternative.

Ma quête m’a amené à faire des rencontres incroyables, fortes et extrêmement enrichissantes. Moines bouddhistes, Yogis, Soufis, Sâdhus, Chamans, Marabouts, Babalawo, Fakirs, Miko…

Aujourd’hui, j’ai décidé de partager mon carnet de voyage avec vous.

Pour que vous compreniez ce qui m'a poussé à me lancer dans cette magnifique aventure, je me dois de commencer ce journal en revenant un peu sur ma vie et mon métier. Moi, Alex Michel, chercheur passionné dans les états modifiés de conscience (EMC), je navigue toujours aux frontières de la pleine conscience, de la méditation profonde et du rêve lucide. Je travaille quotidiennement sur ces différents états psychiques à l’aide de diverses méthodes que j’ai spécifiquement développé. Musicien depuis toujours, j’utilise mes bases classiques pour composer des musiques à des fins thérapeutiques.

Au fil de mes études et des rencontres avec de nombreux spécialistes du cerveau, j'ai remarqué que la clé de notre bien être se situait dans la gestion de nos fréquences cérébrales. Qu'en synchronisant celles-ci correctement via une technologie psychoaccoustique, les individus pouvaient atteindre sans difficulté des états modifiés de conscience et que ces états étaient propices à la méditation profonde, la relaxation, l’exploration de la mémoire, la concentration ou encore l’apprentissage… Cette découverte m'a également permis de soigner des maux tels que la dépression, l’anxiété, le stress, les phobies, l'insomnie…

Mes 20 années de travail et ma connaissance des diverses techniques de méditation m’ont lentement amené vers le coaching cérébral avec pour objectif d’aider les gens à atteindre un niveau spirituel élevé en phase avec leur moi profond.

 

Première étape : Lhassa

 

La technologie Mental Waves au cœur du Bouddhisme tibétain traditionnel

 

moine bouddhiste tibétainJ'ai passé mes premiers jours à m’immerger dans l’atmosphère paisible des grands monastères. Après un long voyage, j’ai l'impression d'être au sommet du monde. C'est sur ce toit du monde que je vais redécouvrir cette terre de méditation immuable et reconnue dans le monde entier. Comme lors de mon premier voyage, je me prépare à vivre des expériences et des sensations qui aujourd'hui restent uniques.

C’est ici que je rencontre Lobsang, c’est un Bachogwa (moines étudiants du bouddhisme exotérique ou ésotérique, ils sont les futurs détenteurs des grades les plus élevés), nous avons longuement échangé, il m’a expliqué sa vision, sa quête et sa pratique de la méditation orientale. On est très loin d’une pratique centrée sur la relaxation « corporelle », Lobsang cherche par sa méditation un moyen de s’élever, de développer son mental pour un jour peut être atteindre le Nirvana. Cela lui demande chaque jour rigueur et force de concentration.

 

Il m'a présenté la spiritualité telle qu'il la vie quotidiennement. Il m'a expliqué que la méditation traditionnelle bouddhiste résulte d'un mélange de techniques à la fois posturales et mentales très rigoureuses. Il m'a également exposé les différentes façons de méditer par le calme, pour focaliser son attention sur un point visuel donné, ou par la vision, pour révéler la vraie nature de la réalité. « Les anciens » comme il dit, ajoutent d'autres techniques d'attention et de concentration, basées sur la respiration, l'introspection, la contemplation... Lobsang m'a ensuite affirmé que selon lui, tout le monde peut atteindre l'état contemplatif à condition de réunir deux éléments : la volonté et la détente. Nous sommes tous capables d'avoir la maîtrise mentale nécessaire à la méditation. Il a souligné que la méditation vient petit à petit, avec le temps et l'entraînement. Il insistât bien sur le fait que l'égo est un réel frein et qu'il doit donc être mis de côté pour aller plus loin et plus en profondeur dans la pratique.

Ensuite, il m'a questionné sur ma façon de pratiquer. Après lui avoir exposé mon parcours et mes découvertes, il s'est montré très intéressé par cette technique reposant uniquement sur des stimuli sonores. Je lui ai décris comment les différentes ondes (Alpha, Bêta, Thêta, Gamma et Delta) pouvaient nous faire entrer dans différents états de conscience et de concentration pour mieux méditer.

En voyant sa curiosité, autant intellectuelle que juvénile, je lui ai proposé de l’initier à ma méthode. Ce qu’il a tout de suite accepté.

Pour cette initiation, j’ai choisi d’utiliser mon enregistrement « Au-delà de l’Etre ». Une fois équipé d’un casque audio j’ai demandé à Lobsang de s’allonger et de se détendre. Après une quinzaine de minutes d’écoute, je lui ai demandé ses premières impressions et sensations. Il m'a avoué s'être senti emporté par les sons, comme par « une vague légère » m’a t’il dit. Forcément surpris par cette méthode psychoacoustique, il a vite mis le doigt sur l’un des principaux avantage de cette technique : la facilité.

Face à Lobsang, toujours aussi curieux et enthousiaste, je me suis permis de lui demander s’il aurait la gentillesse d’utiliser mon enregistrement lors d’une de ses (nombreuses) séances de méditation, j’étais convaincu que le résultat serait étonnant et extrêmement positif. Il a de nouveau accepté et nous avons convenu de nous revoir le lendemain.

Particulièrement pressé et curieux de connaître le résultat de l’expérience, j’ai très vite questionné Lobsang sur sa séance de méditation et le bilan fut à la hauteur de mes espérances. Avec son calme coutumier il m’a exposé les sensations telles qu’il les a ressenti. Ma méthode combinée à sa pratique a eu un effet « catalyseur ». Même s’il est habitué à rentrer rapidement dans un état de méditation profonde, l’enregistrement a facilité sa prise de hauteur et son immersion spirituelle.

Parmi tous les éléments positifs qu’il m’a cité, principalement centrés autour de la rapidité, de la facilité et de l’efficacité palpable au bout de quelques minutes seulement, deux effets son pour moi, et pour lui, phares dans ma méthode psychoacoustique.

Le premier est la sensation de détachement corporel en état de pleine conscience et le deuxième est l’énergie qui permet de sortir de la méditation en étant immédiatement lucide. En effet, dans la méditation traditionnelle, pratiquée par un « spécialiste » comme Lobsang, demande un niveau de concentration optimal et une discipline cérébrale parfaite, ce qui, même après des années d’entrainement, puise énormément dans notre capital énergie.

J’étais confiant dans mes programmes, mes nombreuses années de développement et d’essais ont porté leurs fruits, voir que « Au-delà de l’Etre » pouvait être efficace aussi bien sur des novices que sur des experts a été pour moi une très belle récompense.

Cette expérience et mes nombreux échanges avec Lobsang m’ouvrent de nouvelles perspectives dans la stimulation neuropsychologique.  Mon voyage ne pouvait pas mieux commencer, beaucoup de rencontres m’attendent encore dans divers coin du monde et je suis impatient.

Apprendre à être à l’écoute totale de son corps apporte de nombreux bienfaits au quotidien. En le comprenant mieux, vous serez capable de mieux gérer votre mental et certains troubles qui peuvent vous gâcher la vie : stress, angoisse, addiction, phobie…

A utiliser sans modération, ce petit exercice est basé sur la relaxation et une technique simple de respiration.

Comme dans beaucoup de méthodes de relaxation, mettez-vous en position allongée, sur le dos, le dos bien à plat.
Le confort est primordial, une bonne moquette moelleuse fera parfaitement l’affaire. Toujours pour le confort, et parce que le corps a tendance à se refroidir dans cette position, couvrez vous d’une couverture légère (ou d’un plaid).
Une fois allongé(e), écartez vos bras et vos jambes, la paume des mains tournée vers le haut.
Très bien, vous pouvez maintenant commencer l’exercice.

• Fermez les yeux et effectuez 5 respirations calmes et profondes.

• Portez votre attention sur les bruits les plus distants, puis, petit à petit, rétrécirez le périmètre de votre attention jusqu’à ce que vous ne perceviez que les bruits issus de la pièce où vous vous trouvez.

• Maintenant que vous êtes concentrez uniquement sur ce qui vous entoure, visualisez votre environnement, le sol, les murs, le plafond, la fenêtre, les rideaux, la lampe… Comme pour les bruits, rétrécissez le périmètre jusqu’à vous visualisez vous-même, allongé, bras et jambes écartés. Visualisez-vous comme si vous étiez « spectateur », comme si vous étiez sorti de votre corps.

• Emmener votre esprit sur vos points d’appui, sur les parties de votre corps en contact avec ce sur quoi vous êtes allongé(e). Votre tête, vos omoplates, vos coudes, le dos de vos mains, vos fesses, vos cuisses, les talons.

• Respirez toujours calmement et profondément. Il est temps de « décomposer » votre corps et de relâcher chacune des parties qui le constitue. Pour cela, passez les en revue méthodiquement. Enumérez chaque partie en le faisant, le but final étant de détendre vos muscles et pas de vous « focaliser » sur chaque partie du corps.

o Commencez par la main gauche. Ressentez-la. Sans doute est-elle encore un peu crispée. Aucun problème, détendez doucement les doigts, puis la main, le poignet et remontez lentement jusqu'à l’épaule.

o Procédez de la même manière avec le coté droit. Doigts, main, poignet et remontez jusqu’à l’épaule.

o Avant de passer aux membres inférieurs, relâchez les parties centrales. D’abord la tête, le front, le nez, la mâchoire, le cou, la nuque, le dos, le thorax, l’abdomen, le ventre et enfin le bassin.

o Passez à la cuisse gauche, descendez au genou, puis au pieds, jusqu’aux bouts des orteils.

o Procédez de la même manière avec la jambe droite. Cuisse, genou, pieds et descendez jusqu’aux bouts des orteils.

Si vous n’y arrivez pas encore totalement, ne vous en faites pas. Continuez l’exercice

• Maintenant que vous que vous ne faites plus qu’un avec votre corps, concentrez-vous sur les contacts entre vous, vos vêtements et la couverture. Portez votre attention sur toutes les sensations que provoquent ces contacts sur la peau au rythme de votre respiration. A chacune de vos respirations (calmes et profondes), vous sentez le glissement du tissu, l’effleurement de votre chemise, le léger frottement de la couverture… peau au rythme de votre respiration.

• Pour la dernière partie de l’exercice, vous allez modifier votre respiration. Vous allez « oublier » l’intégrité de votre corps pour ne choisir qu’une ou deux parties à écouter. Il n’y a pas de bonne ou mauvaise partie du corps, choisissez selon votre envie. Pour se mettre en écoute parfaite, vous allez prendre une grande inspiration, bloquer votre respiration et, en apnée, écouter le plus intensément possible la partie du corps que vous avez choisie.

Au fil des jours, variez les parties de corps. Une fois écoutez votre cœur et ses battements, une autre fois vos poumons et sa ventilation... Après avoir effectué cet exercice un certain nombre de fois, qu’il vous est devenu familier, passez à l’écoute de votre organe principal : le cerveau.

Une fois que vous avez terminé votre séance de relaxation et d’écoute, reprenez une respiration normale, étirez vous puis relevez-vous tranquillement.

Par le principe de la respiration bloquée, vous avez intensifié votre écoute est passé à un niveau supérieure. Vous avez amélioré votre compréhension des messages que votre corps vous envoie.

Comme pour tout les exercices de méditation, de relaxation et de développement personnel, rien ne se fera instantanément. Vous devrez faire preuve de patience et d’entrainement. Pour gagner en efficacité, pendant l’exercice vous pouvez y associer un programme audio Mental Waves spécifique. Vous pouvez visualiser en dessous de cet article les enregistrements recommandés.

Guide de survie pour les personnes « qui bloquent » lors d’événements ou de situations importantes

Amour, santé, travail, famille… Il existe beaucoup d’obstacles auxquels nous sommes confrontés chaque jour. Nous ne sommes pas tous égaux dans notre manière de les appréhender et de les gérer.
Ces situations bloquantes sont immanquablement génératrices de sensations négatives comme le stress, l’anxiété, le doute, la frustration, la nervosité, la colère ou encore l’incapacité à réaliser une tache que l’on maitrise habituellement.

Les blocages ne s’évanouissent pas en un claquement de doigts. Même si pour certain cela sera plus rapide, apprendre à y faire face demande de faire un travail sur soi. Chaque blocage à une solution adaptée. L’utilisation d’un programme d’entrainement cérébral spécifique s’est révélée pour beaucoup de personnes comme la solution idéale.
Même si chaque cas est différent, il y a quand même des bases communes. Voici 5 des situations les plus fréquentes et les petits trucs pour vous aider à les surmonter.

Situation 1
Vous êtes trop critique envers vous même. Vous ne vous accordez aucun temps mort et ne vous félicitez pas quand vous réalisez des choses positives.
• Prenez conscience de la manière dont vous vous adressez à vous même. Etre trop négatif empêche d’être constructif et donc vous ne serez pas en mesure de dépasser vos erreurs.
• Soyez plus optimiste et confiant dans vos capacités. Concentrez vous uniquement sur ce que vous contrôlez. Identifiez ce que vous ne contrôlez pas et mettez le de coté.
• Concentrez vous sur le(s) processus plutôt que sur le résultat que vous espérez. Recentrez-vous sur la façon dont vous vous préparez pour faire du mieux que vous pouvez.

Situation 2
Vous n’exploitez pas tout votre potentiel à cause d’une trop grande pression.
• La pression vient de vous, vous vous la mettez tout seul ! La pression que vous ressentez et qui vous bloque est issue de votre interprétation de la situation, de l’environnement dans lequel vous êtes ou de ce que pourrait penser votre entourage. La pression survient généralement lorsque que vous vous concentrez sur des choses qui sur lesquelles vous n’avez pas la main. Comme pour la situation numéro un, portez toute votre attention sur ce que vous pouvez contrôler.
• Ne perdez pas de vue que vous évoluez dans l’instant présent. Gardez vos pensées tournées vers le présent, si vous commencez à penser à l’avenir et à ce qui pourrait se passer, vous allez générer de l’anxiété et c’est cette anxiété qui créée la pression. Restez en contact avec le moment présent.
• Le meilleur moyen de gérer une « surpression » c’est de contrôler sa respiration. Soyez y attentif, une respiration calme et profonde vous aidera a diminuer votre anxiété et relâchera vos muscles.

Situation 3
Vous ruminez trop vos échecs et cela génère une frustration qui vous empêche d’avancer.
La frustration survient lorsque vous pensez au passé, aux choses ou évènements qui se sont déjà produit et lors desquels vous vous êtes senti en position d’échec. Cette frustration a un effet de « cloisonnement », votre esprit sera bloqué vous amènera à (re)prendre les mauvaises décisions et à oublier la stratégie que vous aviez initialement envisagée.
Vous devez impérativement reconnaitre que vous ne pouvez pas changer le passé. Pour faire les bons choix et transformer une situation négative en situation positive, vos pensées doivent être ancrées dans le présent. Là, ici et maintenant.

Situation 4
Vous manquez d’organisation, vous ne savez pas vous préparer correctement.
Dans ce cas là, on parle d’une situation prévue et connue que l’on retrouve le plus souvent dans le cadre professionnel. Pour gérer correctement des évènements planifiés la préparation est indispensable. Le meilleur moyen de s’assurer une bonne préparation pour se sentir serein le jour J c’est de développer une routine. Créez les étapes, notez les dans un carnet et suivez-en scrupuleusement le cheminement. Une fois en place et bien rodée, cette routine sera votre bible.

Situation 5
Vous êtes doué(e), efficace, confiant(e) mais face à certaines situations (ou personnes) vous devenez trop prudent(e)
C’est le genre de cas où, a posteriori, vous ressentirez de la colère. Une colère liée a cette « hyper-prudence » qui a fait que cela n’a pas fonctionné comme vous le souhaitiez.
• Soyez conscient de ce vers quoi vos pensées sont orientées. Si vous êtes trop prudent c’est que vous pensez trop au futur et que vous vous inquiétez de ce qui pourrait « éventuellement » arriver. Comme pour la situation numéro 3, restez concentré sur ce qui se passe dans l’instant présent.
• Pour éviter de vous perdre dans le doute, dédramatisez l’événement, prenez de la hauteur, ne subissez pas. Dépersonnalisez votre raisonnement et centrez votre toute votre énergie sur l’objectif et sa finalité.

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